La rue Albert Boensche (ancienne appellation)
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L'ancienne poste devenue habitation et dont l'accès principal a été condamné
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La parfumerie qui était tenue par madame Mégie (où ma mère m'avait acheté mon premier poupon en celluloïd)
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La boutique du mzabite où se trouvaient les bonbonnes en verre remplies d'eau de Cologne. Des gouttes parfumées s'échappaient du robinet en étain... |