«RICHARD CASSONNET...UNE ÉNERGIE À REVENDRE !»
Richard Cassonnet est aujourd'hui un des meilleurs énergéticiens de Bordeaux. Il est un adepte des thérapies naturelles de plus en plus tendance, qui soulagent les maux de notre société moderne, compétition et exigence des résultats deviennent obligatoires. Pourtant, rien ne le prédisposait à être ce qu'il est à 65 ans, à savoir «un pourvoyeur de bien-être». Richard Cassonnet se définit lui-même comme un «autodidacte», voire un «découvreur». Dès l'âge de quatorze ans, il faisait un apprentissage et obtenait un CAP de peintre en lettres, à une période la plupart des enfants tutoyait avant tout le collège. Curieux de tout, c'est toutefois vers le commerce qu'il allait s'orienter, alors que son milieu parental ne l'y prédisposait guère. L'homme a la parole facile, il est séducteur, opiniâtre, parfaitement organisé. C'est au sein du journal gratuit « Hebdo Gironde », dans les années 70, qu'il va se faire un nom et une réputation. Entré dans la société, comme simple «vendeur de pub», il révèle vite un talent de communicant, doublé d'un sens de la persuasion étonnant. On lui confie très vite la responsabilité d'une agence à Langon il «drive» trois personnes. C'est le début d'une ascension irrésistible, qui le conduit à la responsabilité des «Grands comptes» dans la capitale régionale Bordeaux. Parallèlement, il devient déjà organisateur d'événements, en étant à la base de beaucoup d'avant-premières de films. Il y rencontre le gratin du 7e art, à l'image d' Anémone , Depardieu , ou bien encore de Miou-Miou . Mais Richard est épris de nouveauté et de remise en question. Alors que tout allait bien dans son job, il décide d'embrasser la «pub», et comme il ne manque pas d'ambition, d'en devenir directeur de clientèle. Dans ces années 90, il travaille ainsi pour « Top Concept » et il y réalise des films publicitaires. Il rencontre alors un des hommes «protée» de Bordeaux en la personne de Didier Martin . Ensemble, ils lancent des événements toujours d'actualité de nos jours : « marché de Noël », « Épicuriales » sur les allées de Tourny et le « Bon goût d' Aquitaine » avenue Thiers. Son désir d'être au sommet de la «pub» n'est toujours pas assouvi pour autant. Richard Cassonnet va finalement réaliser son rêve, à 45 ans, grâce à Jean-Marc Dumontet , le créateur de « Kalios » et désormais mentor de Nicolas Canteloup . Pendant 4 ans, celui qui n'a pas de diplôme mais sans cesse en quête de formations, tutoie l'excellence. A ce poste de direction, il s'éclate, il rencontre «des gens actifs et créatifs». Le globe-trotter prend alors le relais. Un nouveau défi s'offre à lui, vendre de vieux meubles chinois. Il décide d'aller les chercher lui-même, ce qui lui donne l'occasion de découvrir l'«Empire du Milieu» et l'Asie plus largement. Richard Cassonnet ne le sait pas encore, mais sa vie va alors prendre une forme inattendue au tournant de la cinquantaine. Cinq de ses meilleurs potes décèdent en quelques mois. Ils avaient tous comme lui brûlé la vie par les deux bouts. Alors fidèle à lui-même, il change tout. Il supprime les cigarettes, il réduit la consommation d'alcool, il mange plus équilibré, sans tomber dans l'ascèse toutefois. Il rencontre par hasard, même s'il décrète «qu'il n'existe pas», une certaine Martine, qui est énergéticienne, et qui le prépare au mieux à une opération d'une hernie. Richard Cassonnet est désormais entré dans une autre dimension. Il multiplie les formations en perfectionniste qu'il est, en particulier celles liées à l' hypnose . Il se rend en Chine de nouveau et en Inde, il s'initie respectivement aux arts du Qi Gong et du yoga . Le «découvreur» impénitent apprivoise aussi les arbres de la forêt, grâce à la Sylvothérapie . C'est cependant, dans le domaine de la Sonothérapie (les soins par les sons) qu'il va vite exceller. Il soulage les insomnies, les Tocs, l'anxiété, le stress, les douleurs, les phobies de tous ordres. Cassonnet prend toute sa dimension, quand il tape sur ses gongs ou qu'il flatte ses bols de cristal ou tibétains ! Un sentiment de sérénité vous saisit alors et vous transporte loin dans les montagnes himalayennes hors du temps. Sa clientèle en redemande, a fortiori, quand il célèbre le retour de la nature. Il convie ainsi les férus de dépaysement à le retrouver le 21 mars 2019 pour la renaissance de la végétation. A cette occasion, il vous plonge collectivement dans un « Bain de gongs » dont la méditation sonore vous apporte relaxation et plénitude. Oui, décidément, il est loin le temps des contrats de «pub» en pleine ère de « Bernardtapisme » ! Richard Cassonnet telle la chrysalide s'est transformé en un papillon qui vous frôle de ses ailes ! Tour à tour commercial, publicitaire, et dorénavant « coach de vie », il dispense sans parcimonie une «énergie... qu'il a à revendre !» Christophe GAMEIRO