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Page mise à jour le 29 septembre 2003

 

 

Astro stars - L'astrologie des personnalités

 

L'Empire George LUCAS contre-attaque

Aujourd'hui, qui ne connaît pas George LUCAS ? Gagnant d'un concours pour obtenir une bourse de la Warner Bros, il put choisir de passer six mois sur un film dans le département de son choix. C'est le tournage de "La vallée du bonheur" (1968) qu'il retiendra, pour un poste d'assistant au coté d'un jeune réalisateur prometteur : Fancis Ford COPPOLA.

C'est ainsi qu'il débuta sa carrière.

COPPOLA convaincra le jeune LUCAS de participer avec lui à la réalisation d'un autre film, "Les Gens de la pluie" (1969), sur lequel il réalisera un documentaire, qui est encore aujourd'hui référencé comme un des meilleurs documentaires sur le tournage d'un film: "Filmmaker" (1968).

Cependant G. LUCAS n'a pas eu une enfance facile. Né le 14 mai 1944 à Modesto, une petite ville typique de la Californie du Nord, seul garçon d'une famille comprenant 3 filles, petit et frêle, ses parents furent toujours surpris par son grand esprit d'initiative.

Taureau ascendant Taureau, George LUCAS est un Vénusien dans l'âme, teinté par les types Solaire et Uranien. Avec une majorité de planètes dans l'hémisphère Nord-Est, qui commence à la cuspide de la maison X (jusqu'à IV pour Est), en sens direct, et se termine à la cuspide de la VII, cette partie du thème représente à la fois l'exercice de la volonté et de l'énergie dans la poursuite d'affaires personnelles ou des intérêts qui retiennent directement l'attention de l'individu, puis tout ce qui est subjectif, réfléchi et introverti, du moins au début de la vie de la personne.

Les notions d'initiative et d'entreprise tiennent une place prépondérante dans son approche de la vie.

Nous verrons plus loin que G. LUCAS a plutôt tendance à forcer sa personnalité sur son environnement plutôt que d'être influencé et modelé par son entourage. Il se montrera plutôt récalcitrant envers toute idée d'association, par souci d'indépendance. Cependant, comme l'hémisphère Nord est également accentué, les pulsions demandent une expérience profonde avant que la personne ne puisse les utiliser utilement et ouvertement dans son environnement.

L'individu est ici conditionné pour être en contact étroit avec son identité subjective. Avant toute chose, c'est quelqu'un qui a besoin de trouver une signification personnelle à sa vie.

Par nature, le Taureau est un signe porté à l'anxiété, mais c'est également un signe qui peut faire preuve d'une grande détermination, voire même d'un entêtement forcené.

Nous remarquons que Mercure rétrograde - en Taureau et en XII, révèle un personnage qui n'est pas porté à raconter sa vie, plutôt réservé en paroles avec des réactions lentes et très délibérées. G. LUCAS est un quelqu'un de très intuitif, axé sur les concepts abstraits, universels et en avance sur son temps. Cependant, c'est aussi quelqu'un de très réfléchi et qui évalue, qui mesure les choses, davantage qu'il ne peut ou ne veut. Cette tendance est confirmée par la position de cette planète en XII qui confère à George LUCAS une vie tournée vers l'intérieur.

Il a eut sa première voiture à l'âge de 15 ans. Pendant 4 ans, appartenant au mouvement des Cruising, il parcourut les rues de Modesto à faire de la figuration au volant de sa voiture.

Devenu un looser, c'est un accident survenu au volant de sa voiture le 12 juin 1962 (Saturne rétrograde transite alors sa Lune natale par conjonction, en Verseau et en X, puis Mercure-Vénus natals par carré ainsi que Pluton par opposition. Neptune transite la Lune par carré, en Scorpion, opposé à Vénus-Mercure natals. Saturne forme un carré à Neptune dans le thème annuel.) qui le fit passer du stade de l'adolescence au stade adulte, après deux longues semaines passées à l'hôpital.

LUCAS se trouva alors un nouvel intérêt : filmer les courses de voitures avec la caméra 8 mm offerte par son père.

C'est sur les conseils de son ami John Plummer, qu'il entra à l'USC (University of Southern California), l'une des meilleures écoles de cinéma du pays.

Devenu un bourreau du travail, dévoré par sa passion du cinéma, sa discrétion dans tout ce qu'il faisait, ne l'empêcha pas de réaliser son premier film de 15 mn pour son devoir de fin d'année à l'USC en transgressant toutes les règles imposées par l'école (nous retrouvons bien ici son Uranus en I).

Le 6 août 1966, son diplôme en poche, un solide réseau d'amis issus de la même école que lui (Matthew Robbins, Randal Kleiser, John Milius, Bob Zemeckis, ...), il pouvait maintenant se lancer dans son plus grand désir: réaliser des films.

C'est pourtant en tant que monteur qu'il débuta sa carrière en étant engagé par Verna FIELDS. C'est aussi dans l'obscurité des salles de montages qu'il rencontra celle qui allait devenir le 22 février 1969 sa femme: Marcia Lou GRIFFIN, à la période ou la conjonction Jupiter-Uranus transitait Neptune natal dans le signe de la Balance en VI sur son "grand trigone" natal en Air. Jupiter-Uranus transitent également son Soleil par trigone et Mars transite par conjonction la cuspide de sa maison VII.

Le transit du Soleil en Verseau (X) sur le Nœud Sud, la part de Fortune et la Lune à ce moment là laisse penser qu'il s'agit là de la rencontre avec une personne qu'il avait déjà connu dans une récente vie (Je développerai ce sujet karmique ultérieurement).

Rejoignant la société America Zoetrope créée par COPPOLA, ce dernier lui propose de réaliser une version longue de son court-métrage "THX 1138:4EB" pour la Warner Bros.

Ce premier film, "THX 1138", un film de SF plutôt noir, que Lucas réalisa avec un budget réduit au minimum et dans des conditions difficiles, surprit les dirigeants de la Warner et ne rencontra pas le succès escompté, malgré une critique bienveillante.

Mais Lucas en retiendra quand même une chose, le public aime les histoires positives et non celles négatives. Cela ne se reproduirait plus.

COPPOLA appelé par la Paramount pour réaliser "Le Parrain", Lucas cherche alors à effacer son premier échec et à démentir sa réputation de réalisateur illuminé.

Il parvint à convaincre Universal, en compagnie de son agent Jeff Berg, de produire et de distribuer un film sur le rock'n roll, pour une valeur de 750.000$. Ce sera "American Graffiti".

Une fois encore se fut un tournage difficile, et malgré une première projection très bien accueillie, c'est sous la pression d'autres Majors comme la Warner Bros. ou la 20th Century Fox prêtent à racheter le film pour le distribuer, qu' Universal se décidera enfin de sa sortie en salles.

Le succès fut foudroyant. "American Graffiti" rapportera à Universal 117 millions de dollars de chiffre d'affaires et plus de 50 millions de bénéfices. Il fut nominé pour les Oscars 1973 dans les catégories Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario, Meilleure actrice de second rôle et Meilleur montage. Il remporta le prix du Meilleur scénario de la New York Film Critics et de la National Society of Film Critics. Ainsi que le Globe d'or du Meilleur Film de comédie de l'année décerné par l'Hollywood Foreign Press Association.

George LUCAS devint alors un homme riche. Jupiter transitait sa maison X ainsi que la Part de Fortune et la Lune en Verseau. Neptune transitait Uranus par opposition en Sagittaire et le trigone Lune-Neptune natal par sextile et Pluton transitait Neptune en VI (Balance).

Il pouvait maintenant traiter avec la 20th Century Fox pour un autre projet qui lui tenait à cœur. Ce projet aura pour nom final : "La Guerre des Etoiles".

En mai 1974, il achève le scénario du premier segment de la trilogie centrale, qu'il baptise The Adventure of the Star Killer (Episode VI: the Star Wars). Il remanie cette version en janvier 1975 et la scinde en deux parties : La Guerre des étoiles et L'Empire contre-attaque.

Le plus dur reste à faire : convaincre la 20th. Lors de ses précédentes démarches, LUCAS a constaté que ses interlocuteurs sont incapables de visualiser ce que sera son film. Il demande alors à l'illustrateur Ralph MC QUARRIE de peindre les cinq scènes principales de Starwars. Ces images enthousiasment la Fox, qui lui confie 10 millions de dollars. Un budget moyen qu'il faut gérer astucieusement.

LUCAS n'engage alors que des acteurs inconnus (dont un certain Harrison FORD), aux cachets raisonnables et tournera son film en Tunisie et en Angleterre, où les salaires des équipes techniques sont moins élevés qu'aux Etats-Unis. Il lui reste à régler le problème des truquages. Il engage John DYKSTRA, qui a fait ses preuves sur 2001, l'Odyssée de l'espace, et une bande de jeunes fans d'informatique pour fonder un studio d'effets spéciaux : Industrial Light and Magic (Lumière et magie industrielles).

Lorsque LUCAS montre un premier montage du film, sans truquage, ni musique, ni effet sonore, aux dirigeants de la Fox, un silence glacial accueille la fin de la projection. Nombreux sont ceux qui pensent devoir dire adieu aux 10 millions de dollars investis. Lucas propose alors de rendre les 500000 $ de son cachet de réalisateur en échange des droits de suite de Starwars et de tous les droits relatifs aux produits dérivés. Les dirigeants de la Fox acceptent : à l'époque, personne n'a jamais gagné un seul dollar avec les figurines et les T-shirts à l'effigie d'un héros de cinéma (sauf DISNEY !). La 20th misa sur le court terme, LUCAS sur le long terme ...

Le tournage eut lieu entre mars et juillet 1976 (Uranus transite alors Mercure-Vénus par opposition au moment ou Neptune transite sa maison VII et forme une opposition à Uranus natal).

Malade, épuisé, le film et les effets spéciaux prenant de plus en plus de retard; LUCAS dut encore se battre avec la Century Fox (Saturne transite Mars par conjonction, ainsi que le Nœud Nord, Pluton puis Jupiter en IV (Lion)) pour obtenir une rallonge de budget afin de tourner la scène de la cantina et celle des Jawas avec leur char du désert. Le tournage terminé, vint les problèmes posés par la bande son et la musique; et enfin le mixage de tous les éléments.

Pourtant, et malgré un accueil des plus réservés par la direction de la Century lors de la première, le film s'annonçait comme un grand succès.

Six mois avant la sortie officielle, la bande annonce passa dans des milliers de cinéma et le 25 mai 1977 "La Guerre des Etoiles" sortit enfin dans 32 salles aux Etats-Unis : Jupiter transite Uranus en I par conjonction.

Après une semaine, le film rapportait déjà plus de 3 millions de dollars, à la fin du mois d'août on en était à plus de cent millions, plus vite qu'aucun autre film en 80 ans d'histoire d'Hollywood. Le bouche à oreille fonctionna comme jamais. Il n'y avait aucune distinction d'âge ou de culture dans les gens qui venait voir le film. Mais la surprise fût encore plus grande lorsque le film, pur produit américain, rencontra aussi un succès phénoménal dans le reste du monde.

Les dirigeants de la Century Fox n'en revinrent pas. Ce petit cinéaste qui n'avait à son actif qu'un seul succès commercial, après un échec cuisant il est vrai, venait de vendre pour plus de 524 millions de billets de part le monde avec un film de SF dans lequel ils ne croyaient pas, et permettait à la Century d'empocher 262 millions de dollars et de devenir l'une des compagnies les plus riches.

LUCAS lui, redistribuera une grande partie de ses bénéfices aux acteurs et à ceux qui contribuèrent au succès du film, allant à contre courant des idées hollywoodiennes établies.

Mais la plus grande surprise viendra d'un George LUCAS qui, ayant enfin acquis son indépendance et étant alors au sommet de sa gloire, préférera prendre sa retraite de réalisateur et devenir simple producteur indépendant.

C'est ainsi qu'il réinvestira tous ses bénéfices dans la production de "L'Empire contre-attaque". Sans l'aide d'aucune autre compagnie. Prenant tout le monde à contre-pied. Ce fut le triomphe de l'indépendant sur les Studios.

Ce contrôle total sur le film lui permit de peaufiner les relations et les émotions des personnages, de surveiller de près l'élaboration des décors et des effets spéciaux et surtout de créer une nouvelle fois une œuvre originale qui ne serait pas une pâle copie du premier film, mais bel et bien une suite.

Le tournage commencera le 5 mars 1979 sous la direction d'Irvin KERSHNER, pour une durée de 4 mois. Disposant au départ d'un budget de 18,5 millions de dollars; les 3 lieux de tournage, les 64 décors et les 250 scènes lui coûtèrent en fait 33 millions de dollars.

Mais dans les 3 mois qui suivirent la sortie du film (21 mai 1980), LUCAS récupéra entièrement les sommes investies grâce à l'énorme succès de celui-ci et une nouvelle fois il partagera une partie des bénéfices avec les gens du tournage.

Parallèlement, grâce à la réputation de Starwars, les commandes affluent pour ILM : Poltergeist, E.T., etc..

Bénéficiant des budgets colossaux débloqués par les grandes compagnies pour doter leurs films des meilleurs truquages, le studio acquiert une expérience unique à un rythme accéléré. Les techniciens de LUCAS peaufinent leurs technologies, créent leurs propres machines, raflent des oscars par dizaines et font d'ILM le meilleur studio d'effets spéciaux du monde.

C'est aussi durant la préparation de "L'Empire contre-attaque" que Lucas et Steven SPIELBERG décidèrent de faire ensemble un grand film d'aventure.

"Les Aventuriers de l'Arche perdue" sera lui aussi un succès colossal.

Viendra enfin l'élaboration du dernier volet de la trilogie, "Le retour du Jedi", dont il confiera la réalisation à Richard MARQUAND et qui sera lui aussi un succès sans précédent pour un troisième volet.

Que dire de plus, si ce n'est que durant toutes les années qui suivirent la sortie du premier chapitre de la "Guerre des Etoiles", LUCAS contrôlera lui-même tout ce qui touche de près ou de loin à sa création. D'une part pour ne pas s'écarter de la ligne de conduite qu'il s'était fixé, mais surtout pour que l'univers qu'il avait conçu soit respecté sous toutes ses formes (jeux vidéo, jeu de rôle, bandes dessinées, etc ...). Le meilleur exemple étant le contrôle qui est fait sur la traduction des modules composant le jeu de rôle, dont les sorties françaises ne peuvent se faire qu'après accord de LUCAS lui-même.

A la fois réalisateur, producteur et chef d'entreprise, George LUCAS, malgré sa discrétion et ses secrets, a pu réaliser tous ses rêves (ILM, le Ranch Skywalker, LucasArts, Lucasfilm, la technologie THX) tout en conservant sa liberté de choix.

Mais l'aventure est loin d'être terminée.

G. LUCAS sait qu'il devra attendre le perfectionnement des effets numériques pour lancer sa seconde trilogie. Il gèle pour un temps le développement de Starwars et bâtit un complexe où ses équipes travailleront avec les meilleurs équipements : le Skywalker Ranch. C'est là que naît le système sonore THX, aujourd'hui mondialement répandu, qui donne du relief au moindre bruit.

Il crée ensuite "Star Tours", avec des simulateurs de vol pour propulser les spectateurs dans l'univers sidéral de La Guerre des étoiles, et une série de spectacles "Indiana Jones".

A la sortie de chaque attraction, il impose la présence de boutiques de produits dérivés "Starwars" ou "Indiana Jones" ... d'où une manne financière qui va lui permettre non seulement d'écrire, de réaliser, mais aussi de financer lui-même le nouvel épisode de Starwars.

Depuis des années, les bénéfices de toutes les filiales de son groupe sont sévèrement ponctionnés pour constituer le budget de La Menace fantôme. D'abord estimé à 70 millions, il atteindra la somme de 115 millions.

Le 20e anniversaire de Starwars approchant, LUCAS propose à la Fox de débloquer un budget pour restaurer digitalement les négatifs de ses anciens films. Il profite des 9 millions de dollars alloués pour tester ses effets numériques avant le début de la nouvelle trilogie.

Des combats spatiaux en images de synthèse remplacent des plans peu réussis, des créatures virtuelles sont ajoutées, et des scènes inédites amplifient l'impact de séquences célèbres. Lors de sa sortie, l'" édition spéciale " de la trilogie coiffe au poteau des films nouveaux et totalise 250 millions de dollars de recette. Du jamais vu. LUCAS touche de somptueuses royalties sur les nouvelles gammes de produits dérivés, et quelques mois plus tard s'enrichit encore grâce à la vente de millions de cassettes vidéo.

La tirelire de Lucasfilm est pleine, la réalisation de La Menace fantôme peut débuter. Pendant que LUCAS l'artiste peaufine son rêve, LUCAS le PDG prépare les détails de la sortie de son film comme s'il planifiait une campagne de guerre. Les mesures de sécurité sont extrêmement strictes. Aucune information ne filtre, à l'exception de scénarimages diffusés sur Internet par une employée mécontente aussitôt renvoyée.

Mais cette agitation forcenée fait surgir un doute : et si la montagne accouchait d'une souris ?

Sur Internet, des échos de tournage relatent les piètres performances de certains acteurs. LUCAS se fâche et clame qu'il est ravi de ses comédiens et de son film. Il joue même les bateleurs lors de la convention annuelle des exploitants de salle américains, pour les convaincre de tout miser sur La Menace fantôme.

C'est bien le moins qu'il puisse faire, car jamais un producteur ne leur a imposé autant de contraintes. Chaque bande-annonce du film a été numérotée pour être identifiée salle par salle. Si elle était restituée mutilée ou déclarée volée, l'exploitant incriminé n'obtenait pas de copie du film. De surcroît, les directeurs de salles devaient s'engager à garder La Menace fantôme à l'affiche de huit à douze semaines, à ne pas diffuser de publicités avant la projection, à limiter à huit minutes la durée des bandes-annonces des autres films.

Le compte à rebours de la sortie du film, fixée au 19 mai 1999, est habilement ponctué d'avant-premières commerciales. Les spectaculaires démos des nouveaux jeux vidéo de LucasArts, Racer et La Menace fantôme, font office de bandes-annonces dans des centaines de milliers de magasins.

Après une telle opération commerciale, le succès annoncé de La Menace fantôme prenait l'allure d'une simple formalité.

Pourtant, dès sa sortie, le film a été accablé de critiques. Ses effets spéciaux, certes magnifiques, n'ont pas réussi à faire oublier la faiblesse du scénario. Le LUCAS PDG de 1999 semble avoir perdu l'aisance et la capacité de renouvellement du LUCAS cinéaste de 1977.

Malgré un fulgurant départ au box-office, il est devenu évident que La Menace fantôme ne battrait pas le record du Titanic de James CAMERON, soit 1 milliard de dollars de recettes. Mais ce n'est là que la partie émergée de l'iceberg de LUCAS, car la vente des produits dérivés du film générera un chiffre d'affaires de plus de 2 milliards de dollars d'ici à la fin de l'année. Il va pouvoir financer son prochain grand projet : le " tout numérique ".

Une version entièrement digitale de La Menace fantôme existe déjà. Il sera possible de la visionner dans certaines salles équipées de projecteurs vidéo haute définition. En avril 2000, George LUCAS a réalisé l'Épisode 2 de Starwars avec de nouvelles caméras numériques ...

Après lui avoir arraché son indépendance financière, LUCAS pourrait bien enterrer Hollywood ...

A suivre ...

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