effet analytique
a16
une
partie des formes se lit rapidement car on peut la suivre aisément
des yeux, tandis qu'une autre partie ne peut se lire qu'en faisant de nombreuses
opérations visuelles saccadées qui nous retiennent de la lire
vite
1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 16 relié / détaché :
certaines des formes se lisent commodément et nous
entraînent à les suivre des yeux, tandis que d'autres retiennent longuement
notre attention pour les déchiffrer visuellement et pour passer de
l'une à l'autre. Toutes ces formes, détachées les
unes des autres, sont visuellement reliées dans une même forme d'ensemble
2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe
le centre / à la périphérie : l'unité de la
forme d'ensemble est stablement assurée, mais elle est déstabilisée par
l'obligation de la décomposer en deux types de formes qui ne se
lisent pas de la même façon
3 - il s'organise au moyen du paradoxe entraîné / retenu : il est lui-même en cause dans l'appui,
ce qui implique que cela retient et que cela entraîne en des endroits bien séparés
4 - il est noué par le paradoxe clef
effet d'ensemble / autonomie : la partie qui se lit rapidement et la partie
qui se lit laborieusement sont complémentaires l'une de l'autre, elles
se complètent pour réaliser ensemble la forme globale
Justification du caractère analytique de type identification :
il n'y a pas de rapport visuel obligé entre les formes qui sont
faciles à lire et celles qui sont d'une lecture laborieuse |