effet analytique
a2
la
forme est à peine esquissée ou elle est instable visuellement.
Elle est certainement présente, donc faite, mais elle se dissout
facilement ou disparaît facilement si l'on n'est pas très attentif
1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 2 entraîné / retenu :
nous sommes entraînés à lire qu'une forme est
présente, donc faite, mais elle est tellement imperceptible que
sa présence se défait aussitôt qu'elle semblait
faite, ce qui nous retient de considérer que la forme est
réellement présente
2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe
effet d'ensemble / autonomie : les aspects qui signalent la
présence de la forme et ceux qui sont contraires à cette
présence se complètent de leurs différences pour
faire ensemble l'effet d'incertitude
3 - il s'organise au moyen du paradoxe
ouvert / fermé : si la forme est faite, ses diverses parties
suivent le tracé ou la surface qui lui correspondent, mais si la
forme est défaite elles ne suivent plus les mêmes
contours
4 - il est noué par le paradoxe clef ça se suit / sans se suivre : idem que pour le paradoxe ouvert / fermé
Justification du caractère analytique de type lecture :
il faut choisir de lire que la forme est faite ou bien choisir de
considérer qu'elle n'est pas suffisamment faite pour être
lue en tant que telle |