Les Radio-Amateurs

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Qui sont-ils ?

Ce sont des femmes ou des hommes de toutes les professions, agriculteurs, commerçants, médecins, ouvriers, techniciens, religieux, industriels, parlementaires, retraités, militaires, étudiants…

Ils sont de tous âges, de toutes religions et de toutes races.

Ce sont en plus des gens de coeur qui aiment le contact, ont plaisir à rendre service et à apporter de la joie dans le coeur des autres. Pour vous en convaincre, lisez cette magnifique histoire que j’ai mis en ligne sur mon site, voir ce descriptif de MIR que se trouve dans la bibliothèque de F à Z.

Loin d'être péjoratif, ce terme désigne des personnes, qui s’adonnent uniquement à l‘écoute de messages qui circulent dans le monde, à l’aide de récepteurs parfois très simples. Ainsi, jour et nuit et dans tous les pays, des écouteurs reçoivent des émissions de radioamateurs et de stations de radiodiffusion commerciale.

L’écoute est une distraction de choix qui exige une grande habileté et procure beaucoup de plaisir. De nombreux radioamateurs ont commencé par faire de l’écoute.

Des postes de radio "multi-bandes" permettent, à peu de frais, de s'adonner à cette activité culturellement très enrichissante.

Les radio-amateurs et l'ESPERANTO

Dès l'origine, les radioamateurs ont été confrontés au problème de la diversité des langues et aux difficultés de compréhension au niveau international.

C'est en 1925 que l'Union Internationale des Communications avait reconnu L'Esperanto comme "langage clair".

C'est la même année qu'a été lancée l'idée d'utiliser l'Esperanto dans les communications entre Radio-Amateurs.

En 1926, le Docteur Pierre CORRET (F)8AE, fonde l'IRA (Internacia Radio Asocio) dans laquelle se trouvaient un certain nombre de pionniers tels le savant René MESNY, Eugène AISBERG (la radio, mais c'est très simple), Ernest ARCHDEACON et l'éditeur Étienne CHIRON.

Mais les anglophones majoritaires avaient déjà réussi à imposer des abréviations et des expressions basées sur leur langue dans le domaine de la navigation maritime en particulier.

Deux guerres mondiales et les interdits d'un certain nombre de pays totalitaires ne favorisèrent pas non plus le développement de l'Esperanto dans le cercle des radioamateurs dans le monde.

Dans les années 60, un certain nombre de radioamateurs espérantophones fondèrent l'ILERA (Union Internationale des Radioamateurs Espérantophones).

Cet organisation qui regroupe plusieurs milliers de membres et fait surprenant, une majorité d'anglophones, a su tisser aujourd'hui un réseau de communication intense en téléphonie, télégraphie et naturellement en "packet-radio" en interconnexion avec divers réseaux informatiques.

Les radioamateurs français sont regroupés autour d'une association le GEPRAF (Grupo de Esperanto-Parolantoj RadioAmatoroj en Francio), membre associé à REF-Union. L'indicatif de la station du club est F5KSP.

La CB ou Citizen Band

La CB s'est développée aux US et est bien connue des routiers qui utilisent quotidiennement ce moyen de communication pour converser sur la route.

Le radioamateur et le cibiste ont en commun le même goût de la communication au moyen de la radio. Mais le cibiste n’est autorisé à transmettre que sur une courte distance.

De plus, il ne peut utiliser légalement que quelques canaux, sur une seule bande de fréquences, avec une puissance limitée et des antennes limitées en gain.

Dans les années 60, un certain nombre de radioamateurs espérantophones fondèrent l'ILERA (Union Internationale des Radioamateurs Espérantophones).


Cet organisation qui regroupe plusieurs milliers de membres et fait surprenant, une majorité d'anglophones, a su tisser aujourd'hui un réseau de communication intense en téléphonie, télégraphie et naturellement en "packet-radio" en interconnexion avec divers réseaux informatiques.


Les radioamateurs français sont regroupés autour d'une association le GEPRAF (Grupo de Esperanto-Parolantoj RadioAmatoroj en Francio), membre associé à REF-Union. L'indicatif de la station du club est F5KSP.

Il achète en général son matériel dans le commerce et n'est pas forcément un technicien chevronné en matière de radio. Il s’attribue lui-même un nom comme indicatif. Il trafique uniquement en téléphonie.

Carte de premier jour en provenance de l'Alaska
Cinquantenaire des Radio-amateurs américains (1964)