Je m'étais
juré,
De ne plus m'engager,
De ne plus m'attacher,
Mais, toi, tu me fais changer.
C'est grâce
à toi que je re-apprends à rire,
C'est dans tes bras que j'arrive à guérir.
Tu me donne l'envie de te découvrir,
Tu me donne envie de m'ouvrir.
Tu me dis, que près
de moi tu n'arrive pas à t'endormir,
Mais moi, loin de toi je ne peux que souffrir.
J'en arrive même à envier Morphée,
Car c'est dans ses bras que tu finis de rêver.
Lorsque je sens la
caresse de tes doigts sur mon corps ;
Je me surprends à dire, encore, encore.
J'aimerais que le temps suspende son passage,
Pour que je puisse garder la tête dans les nuages.
J'ai envie de me
blottir au creux de tes reins,
Il n'y a que là que je me sens vraiment bien.
Lorsque le long de ton corps courent mes doigts,
Je ressens toute la douceur de ta peau, on dirait de la soie.
Lorsque la passion
cède la place à l'extase,
C'est pour nous retrouver tous les deux, en phase.
Et là, loin de ce monde empli de haine,
J'ai envie de te dire que peut être, je t'aime.
Frédélrick