Jaimerais caresser ton corps
nu,
Parsemé de milliers de paillettes dor fin,
Brillantes telles des étoiles inconnues,
Pleines de promesses et dinterdits chemins.
Jaimerais parcourir tes
courbes infinies,
Risquer de me perdre entres les collines de tes seins,
Découvrir les plaines verdoyantes aux nombreux interdits,
Mimmerger dans la chute de tes reins.
Jaimerais, lentement, te
découvrir,
Passer mes mains dans la cascade de tes cheveux,
Laisser les parfums de ta peau menvahir,
Et enfin, pouvoir appeler lextase de mes vux.
Jaimerais contempler sans
fin ton sourire,
Qui exerce sur moi cette attraction fatale,
Qui laisse monter en moi le désir,
Ce désir animal, ce désir un peu bestial.
Jaimerais mimprégner
de toi sans limite,
Ne plus pouvoir décoller ma bouche de ta bouche, mes lèvres
des tiennes,
Que nos curs semballent et battent de plus en plus vite,
Pour sentir dans la chaleur de tes mains ce changement subtil qui te fera
mienne.
Frédélrick