Un film très connu, c’est vrai. Un film ne pouvant pas traduire la richesse du roman. Richesse d’écriture et de narration : un chapitre par personnage qui raconte l’histoire à sa façon. Impression d’appartenir à cette famille provençale, d’habiter ce village sous ce soleil de plomb.
Famille silencieuse, taisant les secrets. Et la vengeance, toujours la vengeance. Elle est là, elle ne disparaîtra pas. Pourtant la vie calme et tranquille sous le soleil était à portée de main. Mais non, le passé et la souffrance sont trop forts.
Photo de couverture de l’édition de poche remarquable.
« L’été meurtrier » brille d’un soleil noir de souffrance.