Petite
réception municipale en l'honneur de l'arrivée de l'abbé Mouhicat dans
la paroisse d'Arcangues. C.C-E
Lors de la réunion du conseil municipal le 22 septembre, il a été annoncé que
l’entreprise retenue après consultation pour restaurer les
fonts baptismaux est la SARL Atelier Dufon de Latresne, pour un montant
de 13 106,96 €. La commune change de fournisseur de logiciel pour
le cadastre. Après consultation, c’est l’entreprise
I.F. Technologies de Dax qui est retenue, pour un montant de 2 696,98 € TTC
la première année, et 161,46 € TTC de maintenance annuelle à partir
de 2011. Les voiries interrompues en raison des travaux d’élargissement
de l’autoroute A63 seront rétablies et les désenclavements
effectués. Une convention sera signée entre la société ASF
et la commune pour régler leurs conditions d’entretien ultérieur.
La somme de 3 975 € a été comptabilisée à un
poste de produits irrécouvrables. 
En effet, une société organisatrice
de mariages a été poursuivie par une quinzaine de couples
pour escroquerie. Ayant réservé le Théâtre de
la nature d’Arcangues en laissant impayées quelques locations,
la commune a également porté plainte contre cette société,
afin de recouvrer les dettes si un changement se produit dans la situation
financière des débiteurs. La commune va louer une place de
parking souterrain de la résidence Ibar Gaïna II à un
locataire qui en a fait la demande, au tarif de 220 € par trimestre.
Une convention va être signée entre Mme Paulette Gauthier,
le syndicat URA et la commune, afin de renforcer le réseau d’eau
potable nécessaire pour permettre la desserte incendie qui se trouve
le long du chemin de Larre, en domaine public, et bénéficiera
au lotissement qu’elle réalise. C’est Mme Gauthier qui
financera l’intégralité de ces travaux. Suite au contentieux
qui opposait Mme Blanchard à la commune, un protocole transactionnel
sera réalisé au bénéfice de la plaignante.
Une erreur de calcul avait en effet laissé croire que sa demande
(créer une buanderie à la place du local à vélo)
dépassait les capacités de la SHON (Surface hors œuvre
nette) alors qu’elle disposait de 59,55 m² de SHON résiduelle.
Cathy Constant-Elissagaray