Les
jeunes de Bazteak ont eu un accueil très chaleureux. C.C-E
« La Maison des associations était comble, nous avons constaté que
notre action humanitaire a été comprise et soutenue par les
gens du village. Ils ont été très intéressés
par notre expérience qu’ils ont un peu partagée en
regardant le film monté à partir de nos prises de vue du
Bénin » se réjouit Julien Combes, l’un des jeunes
de la junior association Bazteak. « Nous sommes à l’origine
de ce projet, mais rien n’aurait pu se faire sans l’aide de
toutes les personnes ici présentes » rappellent Marion Bedat,
Haize Duhalde et Marie Damestoy, ses trois compagnes de voyage. Sont présents à leur
côté les étudiants de l’IUT de gestion de Bayonne
qui sont partis avec eux, ainsi que des représentants de l’association
AHSM (Actions Humanitaires en Santé Mentale, Santé Publique
et Vie Sociale), présidée par Gisèle Auckenthaler,
qui leur a permis de concrétiser leurs souhaits d’agir en
faveur de pays en développement en mettant à leur disposition
leur connaissance du Bénin, leur infrastructure et leurs contacts,
notamment auprès de l’Union des Jeunes de l’Arrondissement
de Possotomé.
Parmi
l’assistance, il y avait aussi les familles, les animateurs,
les autres jeunes de Bazteak, ceux du club jeunes, de l’école,
du CLSH, du comité des fêtes, du catéchisme, les associations,
les commerçants, les élus et enfin tous ceux qui ont contribué par
des fournitures, aides et dons divers à la bonne conduite du projet.
«
Cette action humanitaire doit être poursuivie, nous nous y sommes
engagés auprès de l’UJAP. Nous faisons un appel auprès
des jeunes du village, mais également des moins jeunes, car nous
aurons besoin de toutes les bonnes volontés pour être efficaces
: une réunion avec tous les intéressés se tiendra à la
salle du Batzoki de la Maison pour Tous à Bassussarry le 4 avril à 20h » déclarent
Julien, Marion, Haize et Marie. Une autre soirée avec présentation
du film, ouverte au public, se déroulera le jeudi 3 avril à 19h
dans l’amphithéâtre de l’IUT de gestion de Bayonne.
Cathy Constant-Elissagaray