introduction

La Calculatrices et ses calculs A la fin du 20ème siècle, des calculettes ordinatrices sortent enfin. La nouvelle mode des calculatrices ont envahi la Terre entière, ses calculettes peuvent effectuer des calculs très importants, et même résoudre des problèmes très complexes. Ces machines ont une étonnante capacité, performance et puissance.

A) La Calculatrice électronique

Les calculatrices électroniques arrivent dans les années 1940, l'une des premières fut la calculette expérimentale. En 1942, les calculettes sont mises au point par J. Desh. Les calculatrices furent alors des milliers de fois plus rapides que les machines à calculer. La deuxième génération fut créée aux États-Unis à la fin des années 1950. Cette calculette avait un clavier complet et un viseur unique. Sur cette calculette, il y avait 12 tubes à néon, où l'on pouvait voir les chiffres lumineux. Plusieurs machines furent construites comme cela.

B) Développement des calculettes imprimantes

Une amélioration a été de munir les machines d'une imprimante, elle permet une conservation permanente des opérations, des résultats de calculs, la technique fut d'abord électronique? Mais par la suite de l'incommodité d'emploi. L'une des innovations marquantes a été constituée par le développement « des imprimantes thermiques ». Cette technique a donc du coup rendu les dispositifs plus silencieux et plus fiables.

C) Additions et soustractions des nombres décimaux

Pour additionner des nombres décimaux, il faut qu'ils aient le même nombre de chiffres après la virgule. Apprendre à gérer la virgule lors des calculs, notamment casser la règle trop souvent utilisées par les élèves. Une virgule sépare le nombres en deux parties : -partie entière, -partie décimale.

D) La soustraction

On calcule cette opération lorsque l'addition est bien comprise. Comme pour l'addition, on mettra en place des stratégies, des calculs réfléchis. Exemple type: 44 – 33// 44 est un nombre entier 33 est nombre entier «-» le signe Puis on calcule, 44 – 33 = 11, 11 est le résultat

E) Les Décimaux

Lire les nombres décimaux, c'est reconnaître des chiffres caractérisés par un nombres décimal. Par le fait qu'il change pas, si on ajoute des zéros à la fin, le nombre change. La virgule est considérée par la plupart des élèves comme un séparateur : le boulier permet de voir que la virgule n'est qu'un indicateur, un symbole, résultant d'un choix du calculateur. On sait qu'une boule sur une barre vaut dix unités de la barre à sa droite. Inversement, une boule sur une barre vaut un dixième d'une unité de la barre de gauche. Il est facile de comprendre qu'un dixième de dizaine, c'est 1.

F) Les additions

Le calcul écrit permet un contrôle avant de conclure. Les additions commencent très simplement sans retenue. Puis petit à petit, puis deux, puis trois. Dès que les manipulations compliquent, on met en place des stratégies de calcul réfléchi, qui pourront être réinvesties pour les calculs habituels. Addition sans aucune retenue du type : 121+123. Addition avec retenue «quinaire» du type : 534+245. Additions avec une seule retenue décimale du type 437+249. Et aussi : addition avec plusieurs retenues du type 658+1567.

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