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Cette page a pour but de vous montrer que je sens certaines fois des variations dans le style d'écriture, la force, la lenteur ou la vitesse, sans que cela soit forcément flagrant à la lecture.

Il arrive aussi que le stylo m'échappe et se retrouve tenu bizarrement par ma main devenue incontrôlable, pour autant l'écriture n'a pas été atteinte...

Cela se manifeste à la réception et attire mon attention. Je le signale toujours au destinataire du message et il arrive qu'on m'en donne une explication. Comme un clin d'œil supplémentaire et une preuve de plus !

 

Marie, la sœur de Maman dont je porte le prénom, écrit avec force d'une écriture penchée. J'ai réécrit tout de suite le message pour pouvoir le relire car c'était difficile à déchiffrer.

 

En 1996 il y a à peu près un an que je reçois en écriture automatique. Il faut préciser qu'à l'époque je doute trop de ce que je reçois, j'ai même peur de ce qui m'arrive et, certainement, je "brouille" la réception.

Des messages arrivent pour des personnes que je ne connais pas, avec des adresses. Ces rues (que je ne connaissais pas ou que je n'aurais pas su  situer) existent  bien mais je n'ai toujours pas trouvé les personnes indiquées dans les messages.

Alors je lance une bouteille à la mer, qui sait ?...

Le 13 Janvier 1996 j'ai reçu un message de Philippe pour sa sœur Georgette Alberti rue Émile Duclos - 13005 Marseille (l'adresse existe bien mais dans le 4ème arrondissement - quartier de la Blancarde)

Philippe se présente comme le frère de

Philippe veut parler à sa sœur Georgette ALBERTI

 (Qui est-elle ? est-ce que je la connais ?)

non tu ne la connais pas encore mais tu vas la rencontrer

alors dis-lui que son frère Philippe est vivant et heureux de le lui

faire savoir

Je veux lui dire que je l'aime et que je ne veux plus

la savoir triste. Georgette est encore déchirée par mon départ en mai 94

Georgette ne doit plus être triste, je suis vivant

et heureux auprès de notre mère

apprenez à être plus apte à croire en notre

survie. Philippe Alberti

 

André est présent et il veut parler à

sa mère qui a du chagrin

Elle s'appelle Christine

pardonnez-moi

Christine Amama (?)

AMANIA

(je demande confirmation - oui)

 

 

 

 

Le même jour André s'adresse donc à sa Maman Christine Amania ou Amdania (?) et à Albert  rue de la Palud -  13006 Marseille (la rue de la Palud traverse à la fois le 1er et le 6ème arrondissement ... ce que j'ignorais)

 

 

Je veux dire à ma mère que je suis vivant et

que je l'aime, je suis près d'elle mais elle

ne le sait pas parce qu'elle ne croit pas à

la survie. Maman je suis vivant

ne pleure plus, je t'aime André

André Amania

 

 

Georgette habite dans ton quartier

elle est au 24 rue Émile Duclos

dans le 5ème

 

 

Christine habite au 47 rue Amdania (??)

46 rue de la Palud

dans le 6ème         Amdania

Christine et Albert

ne pense pas à les chercher tu vas les rencontrer

cette semaine

Ton père te dit à bientôt

Je veille sur vous     Ange

 

 

 

Des enfants se sont manifestés spontanément mais je n'ai malheureusement pas pu identifier les parents.

 Il y a la petite Marie, de quatre ans ... qui s'adresse à  ses parents Christophe et Lydie...

Une autre enfant, Isabelle, se manifeste et, là non plus, je n'ai pas pu trouver ses parents Jean et Annabelle...

Mon amie Thérèse a accompagné la fin de vie d'Éva-Marie une fillette qui, après son "départ", se manifeste dans ce message en laissant entendre qu'elle a rejoint sa sœur disparue avant elle.

 

Gérard, le Papa de mon amie Jackie a la particularité d'écrire avec une force énorme, j'en ai parfois mal aux articulations  des doigts ou une sensation de crampe au niveau de l'avant bras... C'est le cas ce jour-là où nous sommes quelques amies réunies.

J'ai avec moi un cahier autocopiant qui me sert à envoyer des messages par courrier tout en gardant un double en cas de perte. Pour la réception de message, comme je ne sais jamais d'avance combien de pages seront nécessaires, j'intercale d'emblée plusieurs de ces pages cartonnées qui évitent la duplication sur les pages suivantes.

Le message adressé à Jackie s'écrit avec une force impressionnante (et douloureuse...). En riant je dis à Jackie demander à son Papa d'y mettre un peu moi de force. Elle joue le jeu et s'adresse à lui. La sensation douloureuse diminue instantanément mais alors qu'elle se plonge dans la lecture de la première page, cela repart de plus belle.

De retour chez moi, voulant relire ce qui nous a été donné, je remarque quelque chose qui m'intrigue : sur les doubles, certaines phrases ont traversé la page cartonnée !

Gérard conserve toujours cette force impressionnante pour écrire à sa fille ! Par contre...

 

Lors d'un message reçu dernièrement pour Jackie cela s'était écrit avec beaucoup de légèreté, j'avais même eu le sentiment qu'on soulevait ma main et cela m'a frappée. Quand j'ai vu s'inscrire la signature de Gérard, j'en suis restée bouche bée !

Je l'ai signalé à Jackie qui ne comprenait pas pourquoi, d'un coup, son Papa écrivait différemment des autres fois. Spontanément elle me dit : "Tu n'as pas demandé pourquoi  cette fois il a écrit avec... légèreté !? Cela m'intéresserait de savoir " (Il ne m'était pas venu à l'idée de chercher à savoir, elle a bien fait d'en parler !)

Je promets de poser la question... et Gérard  est visiblement heureux de répondre...

 

Il poursuit avec ... à peine moins d'insistance et se moque carrément de nous à la fin !

Le stylo effleure à peine la page pour écrire "léger ! léger !!!"

Un moment après il continue de plus belle... alors que je cherche encore à comprendre

 

Jackie confirme : " Il avait un poigne de fer... mais c'était aussi un sacré farceur ! Il adorait faire des blagues "

Pour ce qui est de nous faire des blagues déjà, un soir de 2002, Francis a joué avec ma lampe !

Jeanne et Jean Luc viennent me voir pour parler de mon expérience au travers de la réception des messages, c'est la première fois que nous abordons vraiment le sujet. Alors que je parle de mes différentes étapes je les vois tous les deux se figer avec des yeux ébahis, un air interloqué.

Effectivement ce que j'ai vécu est surprenant pour une cartésienne mais cela ne mérite pas une telle réaction ! Je leur demande donc ce qui leur arrive. Ils ont du mal à articuler... dans mon dos la lampe vient de s'éclairer, passer par les trois intensités plusieurs fois avant de stopper, visiblement éclairée sur la position la plus forte.

Cela me fait rire ! C'est une des premières fois où cela se produit en présence d'autres que moi ! Ils sont médusés !

Jean Luc a reçu des messages de sa Maman, le premier qu'il a reçu commençait par une expression qu'elle employait souvent. À la fin d'un message je sens que la tension dans ma main ne s'atténue pas, à ma question "quelqu'un veut-il s'exprimer ?", la Maman de Jean Luc  répond "Avec Joie... "

Ces messages ont impressionné Jean Luc alors ce jour-là je lui demande si, à l'occasion, il veut que je pose une question précise à sa Maman et il me répond : "j'aimerais plutôt un message de Francis, un ami très cher, un frère".

Puisque la lampe s'est allumée, après leur départ je me mets devant mon cahier , et c'est Francis délivre un message de huit pages.

Moi aussi je suis fascinée, c'est la première fois que j'ai des points sur le i ou des barres sur les T ! Et sur les doubles, il y a aussi comme un dédoublement de certains mots sur la droite ou au-dessous, parfois au-dessus...(pourquoi?)

(Une semaine plus tard mon écriture sera entièrement détachée ... et moi aussi !)

 

À l'époque je n'attends pas pour remercier et l'éteindre, c'est mon "signal"  pour la réception d'un message.

Ce jour-là la lampe recommence à s'affoler ! Mais lorsque je l'éteins, elle se rallume, et c'est Francis qui s'exprime, si bien qu'après le message de 20h15 en souriant je dis : "Francis, pas toute la nuit quand même !". Mais il voulait cette fois s'adresser à son épouse, Jean Luc me dira plus tard que c'était le jour anniversaire de leur mariage.

 

Francis se sert à nouveau de la lampe car il veut parler à Jeanne !

Ensuite il promet de ne plus jouer avec la lampe et il tiendra sa promesse. Jean Luc me dit qu'il adorait les gadgets...

 

 

On m'a affirmé :

"Vous devez aller encore plus LÉGÈREMENT VERS VOS ASPIRATIONS car plus vous serez LÉGERS et PLUS CELA SERA FACILE.

À MÉDITER car : vous encombrer et vous cantonner dans le matériel et le mental ne fait que vous alourdir.

Le SPIRITUEL EST LÉGER

Soyez LÉGERS et vous serez SEREINS.

Bon travail et continuons la Route

"

Bonne méditation donc !

mthé

 

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