
RADIKAL CRITIK !
Ne touchez plus
le fond
en allant au cinéma,
donnez une chance
aux bons films !
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Mes
explications des critères des listes.
Titre
du film >> pays >>
note >> à
revoir >> acheter le DVD ou
Blu-Ray >> réalisation
>> année / mois >>
rédaction >>
commentaire >>
titre
>>
Pas
la peine d'expliquer le titre, quoique, il est en Français
dans le texte, je ne me suis pas donné la peine de mettre
l'original à chaque fois au début, je n'achète
que les zones 2 (qualité parfois meilleure parce qu'encodage
plus tardif) et comme je vais les voir sur (très) grand
écran, je ne suis pas pressé de les regarder en import
à 10 fois le prix de ma séance ! Surtout sur une
diagonale de 1 mètre 20 maxi...
Ensuite, sur
les chaînes hertziennes ou numériques, c'est le titre
français qui prime et c'est tant mieux. Si l'Europe doit
devenir anglophone, personne n'aurait voté pour elle (enfin
ceux traîtres à leur nation qui ont votés !
Humour, quoique il y a 40 ans personne n’aurait trouvé
ça drôle !).
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pays
>>
C’est
surtout pour savoir quelle est ma consommation de films hamburgers,
moi le pourfendeur des amerloques, et bien ... un peu plus de la
moitié en moyenne, j'ai honte, mais c'est parfois si bon...
Et finalement, cela permet de savoir quels sont les plus petits
exportateurs de pellicules. Mais hélas avec le temps et
l'expérience, en regardant la date des films à leur
sortie, on s'aperçoit qu'on ne peut juger la force
cinématographique d'un pays par les sorties sur le territoire
national, pour cause de manque de courage des distributeurs. On ne
voit un film d'un pays autre qu'américain en France que le
jour où il reçoit un prix international ou européen,
et que le jour où un acteur a fait un carton dans un film
occidental. Comme on fait tout pour que les films sur-subventionnés
de chez nous prennent la moitié de la place des salles, on
peut se demander si c'est différent ailleurs, mais avec la
prédominance US, ça ne doit pas être autrement.
Triste sort pour le cinéma mondial qui, entre la Corée
du Sud, l'Argentine, la Suède, l'Australie et même
l'Allemagne, peut être si superbe et si mal distribué.
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note
>>
En
2004, mon classement se faisait sur 5 puis 10 étoiles,
c'était surtout un classement par comparaison, et ainsi avec
autant de graduations, il devient plus précis. Et il est
évidemment flottant, une fois par an je prends le temps de
relire un peu à la lumière d'un nouveau navet ou chef
d'œuvre.
C'est
pourquoi je le fais désormais avec des notes de 0 à
20. Il y avait trop de 5 étoiles et je n'arrivais pas à
une précision satisfaisante pour mon psycho-rigidisme
maniaque. Évidemment, aucun film des six dernières
années n'atteint 20/20 (le winner est ... « Blade
runner »,
20 ans plus tôt). Mais je ne désespère pas de
voir un film qui vaut 0 !
Beaucoup de
mes amis plus ou moins proches sont choqués de certaines
notes pour des films qu'ils ont trouvés acceptables ou même
adorés. Mais ils ne voient pas autant de films contemporains,
tandis que mes appréciations se font « par
rapport » aux 80 autres toiles des 5 derniers mois...
Après c'est un problème de goûts individuels,
mais ce n'est pas sur ce point que je détermine mes notes. Il
faut aussi noter un phénomène désagréable,
certains disent j'ai vu « Truc », sauf que
c'était en Divx le jour de la sortie en salle (ou avant),
mais je ne fais de critiques que de films que j'ai vu au vrai
cinéma, et quoiqu'en disent certains, ça n'a rien à
voir. La qualité de l'image et du son bien sûr, mais
surtout l'attention du spectateur est différente.
Comparaison
n'est pas raison comme disait l'autre, sauf que dépenser 10
Euros pour un film que l'on trouve correct alors qu'il y en avait un
autre que votre serviteur (et beaucoup d'autres) ont aimés,
c'est du suicide économique impensable en temps de crise!
Par
ailleurs, j'essaye de ne pas mélanger mes passions ou mes
loisirs avec mes amours cinématographiques, ce n'est pas
parce que je chasse les vampires le WE que je vais apprécier
ce produit pré mâché jeux vidéos qu'est
« Blade » par exemple.
Je
connais d'autres pans de la culture et les notes sont là pour
signifier la qualité de divertissement. C'est l'essentiel du
cinéma, la réflexion est trop polluée par
l'image pour qu'il devienne le livre, même dans les films arts
et essais (auxquels je n'ai de toute façon plus accès
avec Le Pass, sauf dans certains indépendants parisiens). A
priori, 9/20 correspond à un film faible mais divertissant.
11/20, ça ne devrait laisser personne mécontent. Au
dessus de 14, on accède à une autre dimension du
cinéma, en dessous de 8, j'aurais pu attendre de le voir (ou
de l'éviter) à la TV un long soir froid et humide
d'hiver !
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à
revoir >>
A
revoir, c’est à la télévision ou en
vidéo, c'est d'ailleurs l’une des raisons principale de
cette liste. Les cinq films que j'ai vu deux fois au cinéma
sont « Matrix
Reloaded »,
« Matrix
revolutions »,
« Sur
mes lèvres »,
« Les
Triplettes de Belleville »
et « Nid
de guêpes »
ou « The
Dark Knight »,
évidemment ça se ressent dans les notes !
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acheter
le DVD ou le Blu-Ray >>
C'est
en fait uniquement pour ça que j'écris ces critiques,
avoir une idée de l'intérêt d'acheter le DVD
quatre, vingt ans plus tard (mais ce ne seront plus des DVD et ça
sera donné directement aux caisses en promotion pour l'achat
de 3 bouteilles de Pastis !), quand je voudrais me constituer une
dvdthèque idéale. Le DVD ne correspond pas à un
classement, ça peut-être simplement le besoin de revoir
des cascades au ralenti, un superbe visage féminin ou pour le
souvenir d'un lieu ou encore pour la qualité de la
photographie du film, sans oublier enfin la musique.
En règle
générale, j'attends de plus en plus pour acheter un
DVD, parce que jouer au pigeon en achetant un coup de cœur à
22 € fin 2003 pour le voir en librairie à 7,5 € en
2004, puis 3 Euros chez CDiscount en 2006 pour finir à 0,99€
chez Saturn en 2010, c'est un jeu où une seule personne
gagne, et ce n'est jamais le consommateur ! De toute façon,
même sans regarder la TV, je n'ai pas le temps de regarder des
DVD, carte Pass oblige.
Il serait
temps que l'industrie du cinéma se rappelle de la
signification du mot divertissement populaire, à bientôt
10 € la place, la crise des salles est installée pour un
bon bout de temps. Et le piratage aussi. Si on peut imaginer payer
9,99 Euros un cd musical qui dure toute une vie, une séance
cinéma ne donne pas exactement la même satisfaction.
Vive Le Pass !
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réalisation
>>
C'est
nouveau depuis que j'ai Internet à la maison, je marque
maintenant les réalisateurs, cela me permet de faire un tri
rapide pour savoir si ça vaut le coup de prendre le risque
sur certains nouveaux films. Mais aussi de comprendre le niveau des
réalisateurs dans le temps.
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année-mois
>>
Ce
n'est pas une encyclopédie, elles sont pour la plupart
fausses et à la louche, c'est surtout le mois et l'année
où je l'ai vu ce qui permet le classement « je
sors ce soir »
... à Paris bien évidemment.
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rédaction>>
Pour
l'instant nous sommes 3, mais je suis seul à faire en sorte
de souvent mettre à jour. Avec une spécificité,
c’est le webmestre qui a priorité sur l’écriture
(comme c’est lui qui en regarde le plus c’est pas grave)
mais ça peut changer maintenant que l’organisation
informatique a un peu changé. Sous entendu, à vos
marques. Néanmoins, vu le manque de réactivité
des internautes et la lourdeur de publication sur mon site, j'ai été
contraint et forcé de rejoindre le pays d'Allociné, où
l'on trouve désormais toutes mes critiques rapidement à
jour. Ce site ne garde que les notes.
retour
commentaire
éventuel >>
Désormais,
faute de temps, le commentaire est publié sur AlloCiné,
mais les anciens sont toujours disponibles, et il y en a au moins
1400, ce qui n'est pas si mal ! On les reconnaît à
la petite flèche « < » qui fait
savoir qu'on peut cliquer sur le titre du film.
Pour les
autres, le lien AlloCiné permet d'aller sur mon compte, rien
de plus, il n'y a pas de liens permanents sur AlloCiné, pour
l'instant ?
Avant
tout, pour dissiper tout malaise. Les réalisateurs ont tout à
fait raison de considérer que la critique est aisée
mais que l’art est difficile, et que faire un film n’est
décidément pas à la portée du critique
amateur de films (encore que Boon et Canet soient la preuve que ce
n'est pas si difficile). Le problème, c’est qu’il
existe tellement de bons réalisateurs que l'objection est
aussi aisée, on n'a plus le droit aujourd’hui de faire
du cinéma simplement parce que l’on se sent artiste ou
qu’on est fils à Papa du producteur. Le niveau est
devenu très élevé et avec tous les navets déjà
réalisés depuis les années 60, leur argument ne
tient pas. Qu’ils se bougent le matin, et fassent simplement
de bons films !
Sur
des sujets précis qui m'énervent profondément,
il arrive que le film passe à la trappe, la mièvrerie
dans la réflexion ou l'absence totale d'idées un peu
originales peuvent expliquer les étoiles de « AI »
et « Épisode
2 ».
A bon entendeur salut. De là à dire qu'il ne faut pas
être trop riche pour faire un film digne de ce nom, je
commence à me le demander. Quand Gates devient milliardaire,
il arrête de travailler comme PDG, il donne même son
oseille aux pauvres, certains devraient s'en inspirer...
Enfin,
je suis (trop) bon public... ceci explique sûrement certains
classements un peu trop laxistes du point de vue cinéphile
pur !
Même
si quelques incohérences arrivent. Par exemple « Spy
games »
où l'on voit Brad Pitt mettre son pantalon blanc par terre en
pleine fusillade dans les décombres à Beyrouth et
arriver une demi-heure plus tard flambant propre à une
terrasse. J'essaye de mettre les notes en pensant à
l'ensemble.
Par
contre, dans la mesure du possible, j'essaye de ne jamais faire un
résumé fouillé ou de dévoiler l'histoire
et encore moins les coups de théâtre, pour ça,
il y a Libération, Télérama ou les sites
officiels. A part les rencontres sur Internet où l'on connaît
la couleur du string ou du boxer de son futur conjoint sans jamais
l'avoir rencontré de visu, je pense que la magie du cinéma
vient de la surprise, et son ouverture d'esprit, tout comme sa
diversité, découlent du fait que l'on peut aller voir
des sujets qui ne nous intéressent pas, tout en étant
séduit par la maestria du réalisateur.
Bref, le
sujet est une chose, le cinéma en est une autre, comme si
l'on disait que Turner est un peintre mineur par rapport à
Manet parce qu'il n'a jamais peint de nus !
Le
commentaire est souvent rapide et un peu épidermique, il
reste toujours le film ou le résumé sur Zurban ah bah
non, Zurban aussi c’est fini, décidément, le
parisianisme est de plus en plus sauvage et prolétaire.
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