La Photo d'art de Aicha Chibane

   

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AICHA CHIBANE

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Créations artistiques diverses de Aicha Chibane d'Art contemporain et de poésie

Créations artistiques diverses de Aicha Chibane d'art contemporain et de poésie, peinture, art numérique, photos, calligraphie, sculpture

AICHA CHIBANE

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Créations artistiques diverses de Aicha Chibane d'art contemporain et de poésie, peinture, art numérique, photos, calligraphie, sculpture

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SOMMAIRE

 
 
 
 
 

Les photos publié sur le journal Le Patriote

 
 

Les photos publié sur le journal" dévelppementdurable lejournal"

Les photos publié sur le journal" dévelppementdurable lejournal"(une autre page)

 

Les photos publié sur les catalogues d'artistes

 

Collection des photos non retouchées de Aicha Chibane

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Photos des All Blacks à l entrainement le 10 Septembre 2007 à Marseille

 
 

Et les aullblacks au restaurant le fétiche le 7 septembre 2007

 
 

Photos de la féria de Nime Mai 2007

 
 

Photos de la fantazia fête populaire du Maoc

réalisées en 2005 à El Kalaa

 
 

Photos du Maroc

 
 

La musique et les jeunes

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Photos d Aart de Aicha Chibane

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La photographie d’art de Aïcha Chibane

Aicha Chibane utilise la photographie comme moyen d'expression artistique.

Aicha nous livre plusieurs façons d’aborder l’art photographique :

1) La première où elle nous « Apporte » la photographie sans la « Toucher » ce sont là des mots très importants pour elle. Car c’est une photographie non retravaillée, non retouchée. elle nous la livreSans la « toucher » c’est le mot que Aïcha m’impose, car elle la considère comme une vierge.  la photo n’est pas recrée, elle est apportée dans sa création originelle

2)      La deuxième où elle nous  montre un résultat, une conséquence d’une  des photographies « touchées » et «retouchées » par l’ordinateur. Des photographies retravaillées par l’intermédiaire de l’ordinateur et qui relève de l’art numérique. Des photos recrées.

3)  La troisième où elle nous apporte une image « loin d’être innocente » une image choisie pour sa souillure, pour son cachet corrompu 

1-La première la photo « non touchée »

Elle immortalise avec la photo ce qu’elle appelle une image « don » « une innocence éphémère ». Saisir une image qui lui est donnée par une force qu’elle ne peut nommer et qui ne lui est pas extérieur. Peut-être sa propre obsession ? Une force qui émane d’elle-même et la pousse à photographier, photographier, photographier, pour oublier sa salissure et se purifier, me dit elle. « Saisir ma propre innocence. Celle que le monde m’a fait perdre et que je ne peux intercepter qu’en saisissant la virginité d’un moment de la vie par une photographie, au moment de sa naissance pour le posséder après sa mort. Une façon de surmonter la mort, ou de triompher sur elle.Intercepter mon innocence avant la souillure, avant le cri d’indignation que j’ai poussé quand j’ai compris que j’étais maculée par un monde mauvais.

Ou alors cette force est-ce Dieu si l’on considère qu’il est en chacun de nous et que seuls les inspirés comme Aïcha osent l’activer pour leur insuffler l’art des choses dissimulées ? … En tout cas c'est dans la rapidité qu'elle doit agir, c'est à dire elle saisi vite cette image vierge qu’elle considère comme un don. C'est pour cela qu'elle doit avoir toujours son appareil prêt à photographier automatiquement. Elle, ce qui l'intéresse, ce n’est pas le réglage, ou la lumière ou bien l’ombre, mais c'est de saisir ce don au vol, entre le moment où son œil entrevoit une image à venir, à naître innocente, dans le grand mouvement de la vie et celui où son esprit lui suggère de la saisir en tant que œuvre vierge avant la souillure, comme un arrêt sur image. Mais ce n'est pas un arrêt sur image. L'image qu'elle prend elle la voit venir. C'est là tout le miracle du don. Elle la voit venir comme une prémonition. Le temps de lever son appareil et la voilà qui se passe chargée de candeur et de naïveté. Pas une seconde avant et pas une seconde après… Son oeil a d'avance recadré l'oeuvre qu'il ne lui restait qu'à rapidement brondir, l'appareil, et cliquer sur le bouton et l'oeuvre et dans la boite. D’où l’intérêt de sa démarche. Et c’est impressionnant le résultat ! Saisir les détails dans une harmonie presque calculée alors qu’ils sont saisis au vol. Moi je pense que tout chez Aïcha et calculé inconsciemment. Mais alors un calcul qui frôle la vitesse de la lumière qu’il est imperceptible ou bien perçu comme une image « donnée » comme elle dit. Aicha a cette rapidité et précision qu’à le rapace qui fonce dans l'eau profonde et attrape un poisson en fuite et remonte avec une vitesse incroyable la proie au bec. Dans la fuite de la vie, aicha ne rate pas son "image proie". Une prise qui soit une pièce unique dans tout le sens du terme. Unique dans la création du monde et unique dans la marche de la vie. Saisir un moment innocent qui trépasse. Une vie qui meurt, sur laquelle on ne peut pas revenir. Oui, son œuvre lui est donnée, imposée telle quelle est. Aicha éternise l'éphémère. Elle empêche ainsi la vie de mourir. De disparaître sans laisser de trace comme sa mère.

_ " Mais me dit AICHA tout ceci n'est en quelque sorte que la conséquence de ma grande obsession pour la photo. Et la cause de cette obsession c'est ma mère. Je ne possède aucune photo de ma mère. J'ai perdu ma mère à l'âge de huit ans. Et je n'ai d'elle aucune photo. C'est comme si elle n'avait pas existé. D'où mon acharnement pour garder en photo tout ce qui va disparaître. Je capte l'éphémère aimé pour qu'il ne me quitte pas. Pour prouver son existence à un moment donné. Pour le posséder à jamais. Le revoir... et le partager. Je capte des scènes inocentes pour retrouver mon équilibre, et ces moments d'avant sa mort.

 Les photographies artistiques obtenues de cette catégorie ne sont ni recadrées ni retouchées par ordinateur. C'est ce que son pressentiment a vu venir et que son esprit a décidé de saisir et de produire par le medium appareil qu'elle veut rendre, avec ses couleurs son mouvement son encadrement. C'est ce qu'elle appelle une œuvre photographique vierge, toute chaude, sortie du ventre, avant le cri. Car elle l'a vue avant qu'elle naisse et elle l'a saisie pendant sa naissance.

Comme le chasseur qui atteint la cible au premier tir, elle nous apporte le gibier tel qu’il est avant de mettre le couteau dans sa chair. Vierge, elle nous apporte la photographie sans la soumettre à l’ordinateur.

Chaque image résulte d’un don dans le sens de « donné » et non d'un ensemble de réglage et de calcule. On peut dire que aicha ne connaît pas la loi de la photographie. Elle obtient du simple regard le cadrage juste, la couleur voulue, la précision précise sans manier le menu. Et la photo nous est apportée par elle parfaite. Sa photo ne résulte pas de ce certain nombre de décisions de réglage prises par le photographe en général. Non Aicha n’a aucun savoir photographique pour maîtriser ce moyen d'expression, elle ne cherche pas à comprendre les conséquences de la lumière qui peut révéler les détails, qui peut aider à créer l'ambiance souhaitée, qui peut définir les couleurs, ou bien qui peut créer les ombres. Elle sait ce qu'elle veut et elle l'obtient par un savoir inconscient ou inné, comme vous voulez.

Aïcha croit croit à cette chose qu’elle ne peut nommer à laquelle elle est connectée et qui lui donne cette spontanéité créative.

                                                    Fin de la photographie vierge

La photographie « touchée » de Aicha Chibane

Mais quand Aicha Chibane retouche les photos c'est pour servir l'art numérique et Aicha Chibane a un art numérique très particulier aussi vous trouverez tout sur la page aicha artiste numérique dans le sommaire

Retoucher une photo pour Aicha Chibane c’est lui ôter sa virginité. C’est comme toucher à la nature, lui changer la couleur, la mettre en noir et blanc, la recadrer. L’œuvre photographique retouchée pour elle n’est plus la même, repensée, re-regardée : Elle devient une autre œuvre tout simplement. Elle n’est plus ce don initial et vierge qui lui a été donné dans la rapidité et par la simple entrevue. mais c'est ce don qui lui est suggéré par la reflexiton et l

3)  La troisième où elle nous apporte une image « loin d’être innocente » une image choisie pour sa souillure, pour son cachet corrompu. Alors là c’est une photo choisie réfléchie saisie pour une raison et pas pour une autre. 

     

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