PRESSE DE AICHA CHIBANE

 

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Créations artistiques diverses de Aicha Chibane d'Art contemporain et de poésie

Créations artistiques diverses de Aicha Chibane d'art contemporain et de poésie, peinture, art numérique, photos, calligraphie, sculpture

AICHA CHIBANE

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Le Cri de l'Indignation

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Le Cri de l'Indignation

 
 
 
 

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Dossier de Presse de Aicha Chibane

 
 

1/ A LA Télé

 
 

2000

Interview france 3 télévision Par ANDRE GRANDIS 2000

 
 

2001

Interview Nice Télévision canal 40 par Victor Varjac Poète et journalis 2001

 
 

2003

Nice Télévision canal 40 par NATALIE 2003

2/ A la Radio

 
 

2005

AICHA CHIBANE à la RADIO TSF Côte d'Azur (06) à 14h

Interview Marilia Delaroche2005Juin

 
 

2007

FRANCE CULTURE

JANVIER 2007

 
 

3/ Sur Journaux

1999

Art jonction journal

 
 

Aicha Chibane Shéhérazade du temps présent

D’un ange sans sexe mais au plumage si doux, il nous faut voler. Brûler ses ailes, encore une fois et de combats .disparaître au seuil de sa souffrance. De désirs improbables en fictives passions, terrestre en nuées ardentes, l’expérience est extrême, le plaisir plus intense, la sensibilité orientale

Conteuse universelle et libre amazone, Aicha rêve, un peu plus loin. Au rythme de césures impromptues, les phrases hésitent, s’élancent, s’emballent avec fougue et caprice, soudain se taisent. Scansion du verbe entre échappées lyriques et chutes amères. Voyage d’aveugle tenu en haleine ou de funambule égaré, chaque poème est une aventure sans nom. Au final, un titre en majuscule pour clore l’expérience, surprendre une dernière fois. Epilogue coup de poing ou pied de nez, inattendu, logique, équivoque, décalé. Le jeu varie. Un cache-cache avec le lecteur qui au-delà du récit, s’interroge et se perd. Pour lire une seconde fois et rechercher le sens premier. Et s’échapper de nouveau.

Esclave ou maître, femme et rebelle, Aicha nous montre tour à tour la prison et l’évasion, la peine, une délivrance, le fantasme et l’illusion. Un melting-pot d’objets et d’actualité. Pourtant, l’envie persiste, la caresse revient sensuelle et réconfortante. Poésie-sortilègede sable et de béton qui dénonce ou envoûte de ‘MIETTES DE Pain’ à ‘Narcisse’ un monde nouveau crée par une Shéhérazade du temps présent.

                                                 Renan Tanguy JOURNALISTE

Art jonction journal 1999

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2002

 
 

Article de Gérard Rucker / Poète et journaliste indépendant et critique d’art 2002

Aicha Chibane n’en a jamais fini avec ceux qu’elle aime ou ceux qu’elle combat, faisant aussi bien face à Dieu qu’à diable, et souvent les deux à la fois.

Elle a la grâce et l’élégance des femmes de l’orient mais son regard vif scrutateur, parfois même acéré est celui d’un être une fois pour toute libéré de toute contrainte. Elle est libre le proclame haut et fort ; elle chante sa liberté avec des mots savamment ciselés, polis, qu’elle nous livre parés des parfums de toutes les audaces qui ne choqueront que les prudes et les frileux. Les bourgeois bien-pensants ne se compteront sans doute pas parmi ses lecteurs, d’ailleurs Aicha en voudrait-elle ?

En réalité la tendre gazelle est un félin. La vaillante abeille qui nous nourrit du miel de ses vers se révèle parfois particulière où si les émotions ont une place prépondérante être une sacrée guêpe qui butine les mots pour nous en restituer les sucs essentiels, mais à sa manière bien ., des positions très fortes souvent s’affirment

Aicha ne vous caressera pas dans le sens du poil/ Elle vous fera ouvrir les yeux, et tant pis si cela quelquefois fait mal.

Araignée de charme, elle tisse sa toile tramée d’amour, de visions, de rêves éveillés, de révolte tous azimuts, de violence à fleur de peau contre tout ce qui cloche, ce qui est mensonge, ce qui ne va pas, ce qui horrifie sur cette foutue planète.

Elle dénonce ce monde ubuesque, vaste désert peuplé de six milliards de frère et sœurs, dont seul le sort des plus démunis, des plus fragiles la préoccupe.

Elle ne croit ni au bien ni au bonheur, elle ne « s’installera » sans doute jamais ; elle court et se bat avec l’espoir, qui sait d’attraper l’aile d’un ange qui  sans cesse passent au-dessous de sa mince silhouette.

Sa poésie se veut très construite, avec la sentence juste, l’accent sensible, la métaphore inspirée, l’image hardie fin du poème, et suggestive. Elle déroule ses strophe avec une facilité qui peut paraître trompeuse, mais quand on arrive à la poésie a eu lieu, on est alors totalement conquis par les derniers vers qui vous sautent au visage. La magie de la transfigurant la réalité par le jeu des mots :

_En vain tu cherches dans ce jardin du mal les fleurs du bien

_qu’on face le bien sans intérêt nous intrigue

_Et je suis la bête cruelle peut-être

Te tenant toi ma proie sexuelle masculine

entre mes griffes et mes canines.

_Toi tu aimes jouir de ta propre douleur

_Et vos splendeurs désagréables sont l’image de mon âme courageuse.

_Je construit et je sème à ma guise le doute et la traîtrise

Et pour finir ce cri animal d’une âme blessée qui pleure sa douleur avec pathétisme.

_ Dans ta joie il y a tant de peine

Tu m’as donné ton amour

Et je l’ai trouvé farci de haine

Aicha Chibane n’est pas une âme simple, et si sa poésie est belle, lumineuse, profonde, il vous faudra saisir le privilège qu’elle a de savoir trouver le mot juste qu’elle n’offre pas à n’importe qui

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Mars 2002

exposition Antibes et slam

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Quelques ARTICLES

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2003

Article italie/exposition

Art in mostra d’all’acqua dolce

  Colori dalle Riviere

Aicha Chibane rinnova l’incontro tra le culture del mediterraneo

ungustoso cnnubio. Nell’ambito deglia scambi tra gli artistiArtisi e ristoranti in e dellariviera ligure, l’accogliente sala del ristorantel’AcquaDolce    della costa azzurra15 giugno un interessante mostradi Aicha Chibane, pittrice e poetessa di cellospitafinoal di chevive e lavora e Nizza. La presenzadi Aicha prosegue un discorso origini magribine artisticoche anniha portatoall Acqua Dolce esposizionidi artisti come negli ultimiAlbritoultimamenteuna bella retrospettiva di Rocco Borella.      , Laveri, moyaet    I.RItalie

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2003

Article dans le journal PCA

Aicha Chibane propose une poésie brute, inspirée, coupante comme un silex et véritablement unique . On y trouve une originalité à fleur de peau et une singularité indescriptible.
A écrit PHILIPPE DE NANS dans un article sur son choix de dix oeuvrages de qualité

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2004

Denis Chollet journaliste à NICE a écrit

Princesse Chibane Aicha from san Jazz Babtiste

Les lunedistes princesse Chibane Aicha
Ouvert leur boites de couleurs
Devant les visages gris des percepteurs des taxes
Les lunedistes dont vous êtes l’ambassadrice
Vous envoient le mercredi dans le quartier déjà célèbre
Le san Jazz Babtiste
Qui ressemble comme deux gouttes d’eau
Au sacré-cœur de monmartre
Nous prendrons avec vous le funiculaire inauguré
Par l’archange Gabriel anfosso très exactement en 1873
A san Francisco
Et nous tous
Du San Jazz Babtiste
Saluerons
Le délicieux Egben suisse comme Marta Wydler
Egben ne jouera point de sa contrebasse Princesse Chibane Aicha
Egben inventa pour nous le funiculaire
Et à Monmartre une pente de 35% sur 100m
En votre compagnie nous remonterons la pente
Du San Jazz Babtiste
Quintessence pour le néonizz
Du Montmartre à Nice, Sud-Est de l’Europe
Princesse Chibane
Caligraphiez
Tandis que nous lisons l’absurde dans « Caligula »
Nous ferons des portraits déchirés
Nous les néonizz du San Jazz baptiste
En buvant du quinquina
Plus forts que les zazous

 Et les existentialistes nous somme là au café Moka
Da sein
Ka
Mo
Ka

Da sein
Nous les néonizz
Nous écoutons lee konitz
Zen écoutons lee konitz
En nétoyant au pliz
Les traces de fromages
Sur le comptoir de la
Be bop Jazz Galerie
Nous les néonizz
Aux airs de ZAZous
Entre deux bisous
Princesse Chibane Aicha
Riff and riff
Riverside
Et autre senteurs de jasmine ou du « raisin de colère »
Nous vous avons élu princesse of baptiste
 
Et tandis que de retour d’istanbul
A l’estomac une boule
De trop de sardines grillées ingurgitées
Nous les agités
Princesse Chibane Aicha
Nous inviterons le shah
Nous chanterons comme Chaliapine
Princesse Chabine
Et tout en haut des marches du cœur sacré comme un chat
L’archange Gabriel Anfosso
Vous fera très diablement danser
Princesse chibane Aicha
Un étonnant Cha Cha Cha
Qui amusera Distel Sacha

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2004

Denis Chollet journaliste à NICE a écrit EN

La Galerie du Lundi

la semaine des quatre Jeudi(préambule pour un manifeste)

Depuis plus de dix ans ils et elles se sont réunis derrière des candélabres et mis de sur l’ivoire des la couleur sur le vers-de-gris des cuivres arrachés aux veuves, plaqué des accords mineurs cristal, souvent échappés des cours de récréation plutôt que des écoles pianos à queue, versé des larmes de crocodile sur les carafes en objet ancien. Autour d’une idée transversalement opposée à l’histoire de la brocante et de l’art moderne Mauro Alpi a ouvert un espace dédié aux artistes du jourd’art. Chaque lundiils jouent des fausses notes ou aussi des en guise d’enterrement de l’art du vraies, musique entre le jazz, la java et la fanfare de cirque mardi soir ou du théâtre d’après-demain soir

Les œuvres sont vues le lundi, en face de la Civette du Cours, le Flore du Cours Saleya. Peintres ironiques, ymagiers du héritiers d’Alfred Jarrychaland qui passe, , , nostalgiques de Jean Vigo, fumistes bronzés tropéziens narguant les bronzes heure de l’anisette.quelconques du chiffre onzeporteurs de noires lunettes pour un soleil de midi à l’faïence revisitée par la main du broc sur le banc de poisson, toute la Méditerranée sur un banc de broc, tout le bleu d’une

Equivoque du nouveau au milieu des cadres anciens ?

Adieu du vétuste vers l’infini ?

Constellation d’étoiles dessinant un cygne en stuc ?

Sans doute deux douzaines de vivantes comètes dont les plus régulières ont leurs noms gravés sur la toile : Le Malin, Alpi, Chaix, Moya,

Champollion, Ferrari, Calassi, Thibaudin, Maubert, Lagalla, Colorado, Chibane...

Les « lunedistes » sont ceux du lundi qui sont encore dans la lune du dimanche  maire du San Jazz BaptistesoirluJacques lle (abbé, . Les italiens ont compris cela depuis longtemps, eux qui disent «nedi ». L’année dernière, Princess Aïcha Chibane a été élue ambassadrice des lunedistes par le plusieurs fois la place Garibaldi pour atteindre la rue , li, Barbarin. Elle a eu le courage de traverser académicienDetraducteur en alexandrins de Virgile et de Milton).

Elle a exposé il y a peu de temps ses peintures de femmes sur la plage, le temps d’un dimanche éphémère, au Cabaret Poivre. J’avais déjà confirmé cette nomination en un texte qui a été plusieurs fois dit sur scène dans un brouhaha jazzistiq. En voici le début :

« Les lunedistes Princess Chibane Aïcha

Ouvrent leur boîte de couleurs

Devant les visages gris des percepteurs des taxes

Les lunedistes dont vous êtes l’ambassadrice

Vous envoient le mercredi dans le quartier déjà célèbre

Le San Jazz Baptiste

Pour une mission magnifique

Calligraphier très sûrement

L’intérieur de notre église

Qui ressemble comme deux gouttes d’eau

Au Sacré-Cœur de Montmartre

(…) »

 

Denis Chollet

 

exposition Antibes et slam

2002

LE PRINTEMPS DES POETES

ANTIBES 2004

art jonction journal

2001

ART FLOTE italie

Nice matin Monacco

salon du livre Antibes

SALONEUROPE ART

2002GENEVE

AICHA CHANTE SON PROPRE

POEME

DANS UN FILM

DU LIVRE DE NICE 200

Journal la str

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