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commentaires, fichier créé en août 2001

-NOVEMBRE 2001
- suspension : la méthode
(2/11)
- les poubelles
(8/11)
- le gâchis
(8/11)
- les garde-corps B1/B6
(14/11)
- des réactions positives
(15/11)
- la sottise (16/11)

- 400 000 francs
(18/11)
- pas trop tard (18/11)

décembre voir sommaire

AOUT 2001
* le tapis du premier sous-sol du B12
* les ascenseurs du bâtiment B
* les totems
* l'assemblée générale 2001
* le minibus
* courrier (cleren) du 5 juin au conseil
* le bassin
* des comptes vraiment spéciaux

SEPTEMBRE
* les loyers des conciergeries
* questions sur les fonds de prévoyance
* loyers des conciergeries (complément)
* vente des loges

OCTOBRE
* si on reparlait de l'eau
* quelle aide attendre du Conseil Syndical ?
* actualisation des ascenseurs :
-- critères
-- le déroulement des interventions
-- économie potentielle
-- conclusion
* en marge des ascenseurs


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SUSPENSION : LA METHODE

Depuis des années je me bats contre l’inertie des membres du Conseil Syndical qui vit sur l’acquis et ne se rend pas compte que la Rouvière manque cruellement d’un entretien sérieux et programmé dans le temps.
Les interventions dans la copropriété n’observent aucune logique, tout se fait sur l’inspiration ou la nécessité du moment, sans aucun programme.
En ce qui concerne les gros travaux, inutile d’essayer d’intervenir, on ne veut pas vous écouter et pire on est prêt à faire n’importe quoi plutôt que de suivre vos idées.

Personnellement j’ai demandé à l’assemblée Générale mandat pour participer à l’entretien et à la sauvegarde de la copropriété, malheureusement cela s’avère difficile et cette lutte me semble vaine. On essaie de m’évincer à toute force !
L’année dernière, un conseiller a pris des contacts et étudié la mise en place d’un site pour la copropriété, le dossier bien ficelé a été présenté au Président du Conseil qui l’a rejeté !
Lassée d’écrire, d’intervenir en réunion, de me voir interdire l’accès aux documents comptables, de ne pas obtenir les conclusions de notre avocat, ou les relevés bancaires de notre trésorerie, d’être contrée systématiquement et pour finir de m’époumoner inutilement pour me faire entendre en Assemblée Générale, l’idée m’est venue de créer moi-même le site refusé par le Président et ainsi peut-être de réussir à faire entendre raison au groupe qui mène le Conseil.
La réaction attendue ne m’a pas surprise : menace d’exclusion (je crois que c’est la troisième
fois !)
Pour commencer, je n’ai pas été convoquée aux réunions de travail de la commission des
finances : j’avais pourtant demandé à m’occuper du dossier «trésorerie / fonds de prévoyance» il faut dire que ce dossier est intouchable !
De même pas convoquée à la dernière réunion de la commission des travaux...
De quel droit peut-on agir ainsi ? Est-ce honnête ? Est-on sûr de l’impunité ?

Le Président a demandé ma suspension lors de la réunion du 13 septembre, quelques voix s’élevèrent non sur l’idée mais sur la forme qu’il employait, et de ce fait cette demande a été reportée pour la réunion suivante.
Or, j’ai appris que tous les Conseillers avaient reçu une convocation (vers le 8 octobre) pour venir au bureau <…consulter un dossier «volumineux »!!!…> qu’il avait monté contre moi ! Bien entendu, je n’ai pas été convoquée et ne sais ce que ce dossier contient, mais à coup sûr le néant ou alors des faux.

A la réunion du Conseil du 22 Octobre la question fut posée au conseil pour ou contre ma suspension des commissions ! Pas une voix ne s’est élevée contre au moins pour la forme puisqu’il existe ce dossier que je n’ai pas vu, et que le motif invoqué :
< désinformation > ne veut rien dire !!
J’ai donc été suspendue par 27 voix pour, 10 contre, et une abstention.
Et voilà comment on traite ceux qui protestent au Conseil Syndical, on les jette, ou on les lasse tellement qu’ils partent d’eux-même, et les autres regardent, et muets, subissent !

Mon mandat n’est pas terminé, et je continuerai à me battre pour la copropriété envers et contre tout jusqu’à la prochaine Assemblée.

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LES POUBELLES
Il faut savoir que depuis des années, certaines concierges font sortir les conteneurs à ordures de leur immeuble par un homme de main qu’elles réglaient elles-mêmes.
Cet homme très sérieux (handicapé) à fait ce travail aux cours des années sans causer aucun problème à qui que ce soit : régulier, jamais de retard, travail fait en silence.
Or cela déplaisait à un conseiller qui n’a eu de cesse de faire interdire cette pratique aux concierges.
Bien entendu celles-ci, avec l’appui de l’inspecteur du travail, ont refusé de sortir ces conteneurs et le syndic a pris une société depuis juillet 2001 pour exécuter ce travail que maintenant nous payons.
Cette société ne se gêne pas certaines semaines pour sortir ces poubelles vers les 21 heures le vendredi!
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LE GACHIS
Après les garde-corps B1 à B6, le premier sous-sol du B12 et les ascenseurs, et pour eux ce n’est pas fini, on a pas tout vu!
Aujourd’hui ce sont les conteneurs à ordures :

Ils sont hauts et ont donc un centre de gravité relativement haut
, ainsi avec ces plans inclinés qui viennent d’être faits et qui ne sont pas plans c’est le moins que l’on puisse dire, il y a un fort risque de dévers qui fera basculer le conteneur et par voie de conséquence : un risque de poignets foulés.
Ensuite à certains endroits le passage est restreint entre ce plan incliné et la limite du trottoir matérialisée par les blocs de pierre, et la nuit (même de jour) le passant risque fort de chuter en venant buter sur ledit plan incliné !
Et enfin l’esthétique, alors là! je dirai que ce n’est pas leur problème : on pourra bientôt nommer la Rouviere : la copropriété rapiécée!

Et pour conclure l’argent : on commande les travaux, quand ils sont faits on s’aperçoit qu’il y a un problème, alors les ouvriers reviennent
... Mais attendez il faut le payer tout ça! Les charges augmentent mais l’entretien ne suit pas!!!
D’abord, avant de démolir cela va de soi, il faut savoir comment on va remplacer!
Or, depuis l’existence de la Rouvière il n’y a jamais eu de problèmes de poubelles que je sache?
Si on voulait imposer aux concierges de manipuler ces containers il fallait :
-1- Réfléchir!
-2-
Faire un chariot adéquat, tout simple
-3- A la rigueur un chariot avec pédale de levage
-4- Reprendre le sol sous l’auvent pour le rendre incliné
En définitive étudier le problème et ne pas faire n’importe quoi, car, personnellement j’appelle cela se moquer du monde !
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LES GARDE-CORPS du B1 au B6

Lorsque j’ai vu les plans concernant le projet pour la refonte des garde-corps du B1 à B6, je n’ai pas été étonnée que les copropriétaires refusent ces travaux, mais quand j’ai su par le syndic que ce projet avait été accepté et discuté par les membres de la commission des travaux, j’ai compris que cette commission manquait de techniciens capables de réaliser ce chantier.
J’ai donc fait une note au syndic, lui expliquant le mode opératoire pour réaliser la refonte de ces garde-corps, note accompagnée de quelques croquis succincts donnant la base de l’étude qui devait être réalisée par un nouvel architecte.
Le projet qui a été produit par l'architecte allait exactement dans le sens que j’avais indiqué.
Un essai a été effectué par la société « SPIT » pour la fixation des chevilles dans le muret. (manquant de confiance en ce type de fixation, j’avais prévu des boulons traversant le muret pour la fixation des montants en façade, ainsi que pour la fixation de la main courante sur les filants verticaux).
Cet essai, réalisé sur le muret du premier étage du B1 au B6, en présence de SOCOTEC, fut concluant. Il ne restait donc plus à l’architecte qu’à terminer son projet.

Des problèmes de santé m’ont tenue éloignée de Marseille et je n’ai plus suivi ces travaux.
A la demande d’un copropriétaire et à l'occasion d'un court séjour à la Rouvière, j'ai assisté à une réunion les concernant. Constatant que le projet avait été modifié, j’ai mis en garde l’architecte. Après mon départ, je n’ai plus entendu parlé de quoi que ce soit !

Mais ce que j’ai vu l’été dernier m’a fait frémir. Fort heureusement ce début d'intervention sur les murets s’est arrêté ! Au mois d’août, le syndic, à qui je demandais pourquoi les travaux n’avançaient pas, m’a parlé de problèmes pour la fixation des garde-corps sur les filants ! Plutôt surprise de m’entendre dire qu'ils étaient bloqués pour un problème aussi infime, je lui indiquais la façon de le résoudre.

Il se trouve qu’au cours de la réunion du conseil syndical du 13 septembre il nous a été dit :
que :
Les travaux allaient commencer le 18 septembre
Le retard pris était imputable au bureau de contrôle SOCOTEC !
La fixation du garde-corps sur le filant vertical sera faite suivant le croquis joint à la convocation (ce croquis n’a rien de créatif et rejoint celui que j’avais donné il y a plus d’un an !)
La longueur des éléments de garde-corps passera à 7 mètres au lieu de 3,50 mètres (c'est en effet recommandé !)
La lisse passera de 40x10 à 80x10 pour raidir (cette charge supplémentaire est-elle bien utile ?)
MAIS,
on ne nous parle pas de la façon dont vont être fixés les garde-corps ? Est-on revenu à ma proposition initiale ou maintient-on la solution bâtarde dont j’ai eu connaissance par l’intermédiaire d’une note de la commission datée du 31 mai 2000 ?

Et pourquoi repeint-on les murets avant d'y avoir fixé les nouveaux garde-corps ? par plaisir de les voir se salir au moment des travaux de fixation ?

Vraiment, voilà une bien curieuse façon de mener un chantier !

TOUT CELA EST BIEN INCOHERENT ! et on perçoit nettement que le blocage est dû au manque de techniciens parmi les membres de la commission.
Confier de tels travaux à une équipe qui refuse toute aide de qui veut bien la donner est quelque peu hasardeux. Comment peut-on rendre responsable le bureau de contrôle SOCOTEC des déboires de ce chantier alors qu'il n’est qu’un bureau de contrôle et non pas un bureau d’études ?
On aimerait quand même en savoir plus, car enfin ces travaux représentent un investissement important.
Un rappel : ces travaux devaient être terminés en janvier 2001

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ENFIN DES REACTIONS POSITIVES

Deux courageux copropriétaires et un groupe de quarante résidants ont décidé de réagir contre certains points de la gestion de la copropriété.

Le premier sur les travaux pour le bassin
Le deuxième sur la répartition des charges concernant les ascenseurs
Et le groupe de quarante sur la répartition des honoraires du syndic

Il y a donc sur le bureau du syndic trois assignations à comparaître devant le tribunal de Grande Instance de Marseille.
Que ces actions aboutissent ou non, elles ont le grand mérite d’exister.
Rien ne sert de critiquer s’il n’y a pas d’actions qui suivent. Or ces personnes nous montrent le chemin.

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LA SOTTISE

C’est su maintenant, pour aller au sous-sol nous devrons utiliser une clé pour appeler le monte-charge et, aujourd’hui, le 16 novembre, nous ne pouvons que constater qu’il faudra, pour faire bonne mesure, introduire cette même clé dans une autre serrure à l’intérieur de la cabine pour choisir le niveau de sous-sol souhaité ! Sottise !

Il faut se souvenir que l'ascensoriste avait prévu un simple bouton sur les paliers dans son offre pour annuler la fonction "duplex" !

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ENVIRON 400 000 FF

eci concerne uniquement les immeubles B7 à B12

Aux environs de 400 000 FF par immeuble, voilà ce que va nous coûter la remise à niveau des ascenseurs.
On aurait aimé avoir :

Les portes palières repeintes, ou tout au moins celle du rez-de-chaussée,
(déposée réglée sablée et peinte, il y avait un mois pour le faire)
La poignée de cette porte redorée.
Une plaque de propreté pour l’indicateur de position et le bouton d’appel dans le style de la poignée
MAIS NON, nous avons :
Des portes avec la peinture écaillée, des poignées usées après plus de trente ans de service.
Et pour les plaques de propreté rajoutées, pas de doré comme les poignées, non, de l’acier
brossé et, pire, une plaque de propreté pour l’indicateur de position, une plaque de propreté pour le bouton d’appel, en deux dimensions différentes, décalées l’une de l’autre et fixées avec deux énormes « vis » comme pour l’ascenseur d’un atelier... pour lequel elles doivent avoir été créées.
L’esthétique ?
Inutile pour La Rouvière, du matériel ordinaire est amplement suffisant, de toutes façons "ils"
paieront !

Attendons la suite, mais on est en droit de s'inquiéter !

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PAS TROP TARD

eci concerne uniquement les immeubles B7 à B12

Quel a été le travail de la commission des travaux sur ce dossier ascenseurs ? RIEN n’est au point. Où que l'on se tourne, il y a manifestement un manque de réflexion et un désintéressement total tant pour la résidence que pour le résidant !

En plus du côté esthétique dont il a été fait mention précédemment, quel est mon souci ?
J’ai peur que les portes palières continuent à nous causer des désagréments. Je ne sais si l’ascensoriste s’est occupé du réglage ou s'il va le faire mais je vois bien que la commission des travaux elle, les a oubliée et pourtant, elle avait un mois pour le faire.

Alors aujourd’hui, il n’est pas trop tard, il reste encore la moitié de nos ascenseurs à installer ! Messieurs et mesdames les conseillers de la commission des travaux, occupez-vous vite de ces portes ! Il faut quand même savoir qu’en réunions du Conseil Syndical les dysfonctionnements de ces portes ont été signalés à plusieurs reprises, toujours par les trois mêmes conseillers, mais ils n’ont pas été entendus une fois de plus !

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