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commentaires, fichier créé en août 2001

-JANVIER 2004
*le bulletin du bureau du CS (18/01/2004)
-MARS 2004
*réunions avec le syndic (11/03/2004)
-AOUT 2004
*le bulletin du bureau du CS (25/08/2004)
-NOVEMBRE 2004
*lettre ouverte au CS (30/11/2004)
-DECEMBRE 2004

*l'assemblée du 11 septembre (13/12/2004)
*assemblée spéciale du 5octobre (29/04/2005)new


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2001 2002 voir sommaire

FEVRIER 2003
*une décision (B1 à B6)
*un syndicat secondaire
MARS 2003
*les réunions de février et mars
AVRIL 2003
*
les candélabres sur l'allée du Bâtiment "E"

MAI 2003
*les façades du B1 à B6 : le procès
*l'assemblée generale ; les réserves
*l'allée du bâtiment "D"
JUILLET 2003
*un élu non candidat (assemblée générale 17 mai 2003)
AOÛT 2003
*un projet pour le super-rouvière
SEPTEMBRE 2003
*un projet pour le centre commercial
*climatisation des appartements
NOVEMBRE 2003
*quoi de neuf
(conseil syndical)
DECEMBRE 2003
*alors (gestion à la louche)
*courrier de la préfecture
*respect du règlement (conseil syndical)

JANVIER 2004
* le bulletin du bureau du conseil syndical
(18/01/2004)
MARS 2004
*
réunions avec le syndic (11/03/2004)
-AOUT 2004
*
le bulletin du bureau du conseil syndical (25/08/2004)
-NOVEMBRE 2004
*
lettre ouverte au CS (30/11/2004)
-DECEMBRE 2004
*
l'assemblée du 11 septembre (13/12/2004)
*l'assemblée spéciale du 5 octobre(27/04/2005)

AVRIL 2005
* le

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bulletin du bureau du conseil syndical
pm : Le conseil syndical est un organe collégial consultatif de liaison et de contrôle

Bien que le budget 2004 n’ait pas été voté (nous reviendrons sur ce fait après vérification des textes) nous venons de recevoir notre appel de charges pour le premier trimestre
et,
l’inévitable bulletin réalisé par le bureau du conseil où, à l’habitude et malgré les promesses faites à de multiples reprises par ses membres sur une véritable communication, aucune information n’est faite. Encore un bulletin sans intérêt
mais,
ce bulletin était accompagné d’un texte séparé qui porte un jugement de valeur sur un copropriétaire qui est clairement nommé, et contient des propos indignes voire diffamatoires.

Ainsi, si certains copropriétaires croyaient encore pouvoir faire crédit à ce bureau du conseil, ils savent clairement aujourd’hui ce qu’il est en réalité… ignorer ce chiffon de papier est sage d’autant que certains propos ne sont pas exacts ! Dont acte !

la Rouvière le 18/01/2004

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compte rendu de 4 réunions avec le syndic

COMPTE RENDU DES QUESTIONS - REPONSES
au cours de réunions des 16 et 27 janvier et des 3 et 24 février 2004 avec
monsieur xxxxxxxxxx syndic en exercice de la copropriété de la Rouvière
monsieur Pierre Longayrou copropriétaire à la Rouvière
madame Monique Cléren copropriétaire à la Rouvière
 

••• : nos remarques hors réunion
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1er sujet :
BUDGET du syndicat
notre demande : supprimer du budget les fonds de prévoyance et dépenses inhabituelles, faire voter
un fonds de roulement
réponse du syndic : le budget ne comportera plus les fonds de prévoyance qui seront votés à part.

••• Mais aucune réponse nous a été donnée concernant la création d’un fonds de roulement.

2ème sujet
CHARGES IMPAYEES
notre demande : pourquoi ne sommes-nous pas informés des dispositions prises par le syndic concernant
les mauvais payeurs, qui se retrouvent des années durant dans la liste des débiteurs ?
réponse du syndic : pour la prochaine assemblée et les suivantes un tableau sera présenté
aux copropriétaires où l’on trouvera :
-.le numéro du copropriétaire
-.son nom
-.le solde de ses charges
-.les actions judiciaires entreprises
-. les jugements rendus

3ème sujet
SECURITE IGH
suite à la résolution présentée à l’assemblée générale 2003, à notre visite à la sous-commission de la
préfecture le 30 octobre 2003, à la remarque du président de la commission des travaux du conseil
syndical concernant le montant exorbitant de la résolution précitée :
<…nous avons fait un prix à la louche…>
notre demande : que comptez-vous faire pour la sécurité IGH (sous-entendu : les alarmes)
réponse du syndic : m’en tenir aux textes, ainsi je vais présenter deux résolutions à la prochaine
assemblée lesquelles sont :
a- désignation suivant l’article R122-14 (voir infra) du code de la construction et de l’habitation du mandataire et de son suppléant pour agir en ses lieu et place et correspondre avec l’autorité administrative
b- désignation suivant l’article R122-16 (voir infra) du code de la construction et de l’habitation d’une personne ou d’un organisme agréé par le ministère de l’intérieur afin de répondre aux dispositifs de cet article.

••• Ce point de vue du syndic, astreignant strictement le syndicat aux textes, ne peut convenir à nos immeubles car il nous entraîne à des dépenses terriblement élevées sans commune mesure avec nos besoins. Or, il faut bien comprendre que si nous prenons d’emblée un organisme agréé (bureau d’études) pour répondre aux exigences de ces textes il ne pourra que les appliquer sans restriction. Par contre, on peut constater que ces mêmes textes trouvent une application plus justifiée pour des immeubles du type du bâtiment « A » lequel comporte plusieurs appartements par niveaux, ce qui n’est pas le cas du
super-Rouvière. D’autant, qu’en ce qui concerne le bâtiment «B » , notre visite à la préfecture nous a fait apparaître que, tout en respectant un maximum de précautions concernant la sécurité, une application stricte des textes dépasse ce que la sous-commission a préconisé.
Donc, pour essayer de prévenir cette dérive qui peut être pour certains d’entre les copropriétaires du super-Rouvière une charge financière excessive, madame Cléren demande à être nommée par l’assemblée générale comme mandataire des copropriétaires du super-Rouvière, afin d’entretenir avec la direction de la sous-commission des rapports tels que nous les avons obtenus lors de notre première visite (30/10/03).

4ème sujet
REVISIONS DES TANTIEMES DE CHARGES ASCENSEURS
notre demande : quel est le résultat de la réunion « juge, avocats, expert » demandé par courrier par madame Cléren le 15 décembre 2003
réponse du syndic : la réunion n’a pas encore eu lieu, les deux copropriétaires auteurs de la procédure refusent un accord; à ce jour il n’a aucune clé pour faire la répartition des charges ascenseurs; il va demander au juge de lui signifier un barème dans l’attente de la décision finale; il nous signale qu’en plus de la provision de 3000€ pour l’expert, les géomètres vont nous facturer 130 000€ et qu’il ne peut faire cette dépense sans l’accord de l’assemblée générale.
De ce fait, il va y avoir deux résolutions sur ce problème à l’assemblée générale 2004 :
a- Autorisation à donner au syndic d’engager une dépense de 150 000€ afin de satisfaire dans un premier temps aux demandes d’honoraires de l’expert et du géomètre.
b- Mandater le syndic représentant le syndicat des copropriétaires afin de préparer un protocole d’accord amiable avec les plaignants. Ce protocole d’accord écrit sera ensuite présenté au conseil syndical qui aura à donner son avis sur le fond et la forme puis soumis au prochain vote de l’assemblée générale qui se tiendra au cours du premier semestre 2005. Si l’assemblée générale entérine le protocole d’accord il sera présenté au tribunal compétent pour validation. La nouvelle répartition ne prendra effet qu’à compter de la décision du tribunal qui entérinera l’accord.

••• Si la résolution « a » ne semble pas poser de problèmes, considérant que le syndicat ne peut que refuser cette demande, il n’en est pas de même pour la résolution « b » : en effet ce protocole, avec la partie adverse, peut être fait immédiatement pour être présentée au juge, qui, seul, a pouvoir de décision. De quoi s’agit-il ? de demander que les tantièmes de charges pour les ascenseurs prennent en compte la surface totale y compris les balcons de chaque appartement, ainsi pas de frais de géomètres et la fermeture des balcons n’aura plus d’incidence sur les charges ascenseurs, cela relève du bon sens. On peut ajouter qu’il n’appartient pas au syndic de décider de la date d’application des nouveaux tantièmes de charges ascenseurs, mais bien au juge qui est en droit de faire partir cette application de la date de la plainte.

De plus, le syndic nous remet un texte sur les évènements en amont et en aval concernant ce problème.
••• Ce document ne reflète pas la vérité en ce qui concerne les évènements en amont de la procédure estime madame Cléren, qui remarque :
Les deux copropriétaires responsables de cette procédure ont bien signalé à toute la copropriété, par tracs et visites au conseil syndical, le dysfonctionnement de la répartition des charges en désaccord avec l’article 10 de la loi du 10 juillet 1965, la réponse habituelle « si vous n’êtes pas contents allez au tribunal » leur fut donnée par le bureau du conseil
Ces deux copropriétaires n’étaient pas membre du conseil à l’époque.
Le conseil syndical n’a fait aucune étude au sujet du règlement de copropriété pour ce cas précis (ascenseurs) ni pour le reste. La seule action du bureau du conseil syndical a été d’obtenir copie du règlement de la copropriété par l’intermédiaire d’un notaire qui a probablement pris au passage des honoraires alors qu’il suffisait d’aller à la conservation des hypothèques pour le commander. Ce même bureau a dû demander un devis au notaire pour établir les rectificatifs à ce règlement et a fait un chiffrage du coût des impression et expédition aux copropriétaires puisqu’au cours de la réunion du conseil précédent l’assemblée générale (2002) ces coûts on été donnés aux conseillers, à savoir :
200 000€ pour l’impression et expédition + 70 000€ pour les frais d’établissement
Or le montant de 200 000€ est manifestement erroné (l’erreur provient du nombre de pages multiplié par le nombre de lots) on sait qu’il faut moins de 22 000€ pour l’impression. Aussi plusieurs copropriétaires se sont émus de ce chiffre à l’assemblée générale où on leur aurait répondu que l’appel de charges serait ajusté après contrôle avec devis (madame Cléren n’était pas présente lors de cette assemblée)
Le montant total 270 000€ divisé par trois (pour un règlement sur trois ans) n’a pas été voté séparément puisqu’il était inclus dans le budget (2002) qui a été voté par l’assemblée générale. Il est bon de se souvenir que le budget qui a suivi (2003) a vu ce montant réservé au coût du règlement réduit de moitié sans aucune explication, mais toujours inclus dans le budget ! Donc, là aussi : pas de vote spécifique.

5ème sujet
ASCENSEURS
Beaucoup de pannes continues à exister sur nos ascenseurs
notre demande : allons-nous avoir des factures à payer ?
réponse du syndic : non, ces dysfonctionnements sont pris en compte par le contrat d’entretien

6ème sujet
ELECTRICITE DES COMMUNS
notre demande : quel est votre programme pour la rénovation des installations des communs ?
réponse du syndic : refaire les tableaux, et pour le super-rouvière distinguer deux réseaux l’un pour les garages, l’autre pour les communs de l’habitat.

••• Nous souhaitons que plusieurs sociétés soient consultées avec une demande d’étude détaillée à leur charge. (nous avons déjà désigné au syndic dès le 16 janvier une première société habilitée à réaliser ces travaux)
Un regard rapide demande de prévoir par immeuble :
- un tableau pour les garages avec un compteur par immeuble et un disjoncteur par garage.
- un tableau principal avec, 5 dérivations avec disjoncteurs à la suite du compteur pour :
• La cage d’escalier et paliers d’étages
• Le hall d’entrée et locaux annexes (sauf complexité auquel cas les lier avec la cage d’escalier)
• Les caves et leurs accès plus les 4 allées de garages
• Deux en attente (tenir compte d’une possible installation de climatisation commune)

7ème sujet
ECLAIRAGE DES VOIES DE LA COPROPRIETE
notre demande : pourquoi la remise en état des câbles souterrains n’a pas été prévue lors du vote pour la pose de nouveaux candélabres ? Ainsi les nombreuses interventions qui ont été nécessaires vont aggraver le coût et, une fois de plus, le budget ne sera pas respecté.
réponse du syndic : nous avons trouvé la panne maintenant, elle était au « E5 » c’était difficile…( ?)

••• Nous ne pouvons accepter cette réponse sans explication. En effet pourquoi un courrier du syndic laisse t-il entendre que dès la pose des nouveaux candélabres, les pannes n’existeraient plus, alors que les interventions qui ont été réalisées depuis des mois l’ont été après la pose desdits candélabres. Cela veut bien dire que ces pannes étaient connues, mais que rien n’a été prévu, et nous ne savons pas sur quelle base ces travaux de recherche des dysfonctionnements provoquant ces pannes ont été commandés, ni comment ces travaux vont se terminer : va-t-il falloir maintenant déposer les candélabres devant le « E » pour changer le câble souterrain ? Et combien va coûter la dépose du câble aérien ? Ainsi comme à l’habitude on ne peut que constater que les travaux dans la copropriété ne sont pas étudiés et qu’ils sont faits au coup par coup. Quelle a donc été en l’occurrence la préoccupation de la commission des travaux du conseil syndical ?

8ème sujet
CHAUSSEES DE LA RESIDENCE
notre demande : qu’avez-vous prévu pour les chaussées qui se délitent un peu partout ?
réponse du syndic : les chaussées sont en bon état !!!

••• Ce n’est certes pas notre avis

9ème sujet
RESEAU D’EAU POTABLE
notre demande : Quelle solution allez-vous adoptez pour ce réseau qui commence à prendre de l’age ? Au super-Rouvière, suite à l’intervention de la «Sté XXX», la citerne a t-elle été nettoyée par cette société ? le brassage a-t-il été contrôlé ? une analyse de la potabilité de l’eau a-t-elle été faite ? Lors des fuites telles que celles de l’alimentation des immeubles « B4 et B5 », quelles protections ont été prises par le plombier pour éviter la pollution de la tuyauterie d’alimentation ? Est-ce que ces tuyauteries sont contrôlées etc… ?
réponse du syndic : les réparations se feront au coup par coup.

••• Pour le reste pas de réponse. Nous lui avons demandé de faire analyser l’eau, ce sera un premier pas.


10ème sujet
EAU USEES DU « B »
notre demande : depuis des mois un écoulement d’eaux usées visible au tournant du « B12 » premier et deuxième sous-sol délite la chaussée, des nids de poules apparaissent. A noter que ces eaux coulent vers le bassin et les jours de pluie se mélangent aux eaux pluviales ce qui est formellement interdit : quand interviendra t-on sur ce problème ?
réponse du syndic : aucune réponse

••• l’indifférence du conseil syndical devant cette pollution de notre environnement est pour le moins scandaleuse


11ème sujet
notre demande : pourquoi le pavage des îlots de l’entrée de la Rouvière a-t-il été supprimé ? où sont entreposées ces pierres ?
réponse du syndic : des racines ont soulevé ce pavage et des personnes ont faillis tomber, et pour qualifier l’aspect esthétique j’attends que ce soit fini pour me prononcer…(?)

••• Notre opinion diffère complètement à cet effet :
*cela fait quarante ans que ce pavage est en place et personne ne s’en est plaint
*une personne aurait trébuché, mais ce serait sur les plots mis pour empêcher les voitures de stationner, et non à cause du pavage.
*à un endroit, sur cinquante centimètres, on aurait pu remarquer qu’une racine avait soulevé ce pavage que l’on aurait dû remettre simplement après avoir enlevé la racine incriminée.
*comment peut-on admettre qu’un copropriétaire, alors que la résidence en comporte plus de 2000, puisse s’arroger le droit de modifier notre environnement sans consultation du syndicat l y a là faute très grave. (Entre particuliers isolés, cela se terminerait devant les tribunaux.)
*qui va payer ces frais et ceux à venir ?
*pourquoi la pose de ces horribles barrières dans l’axe de ces îlots ? peut-on dire que c’est pour éviter que le passant ne traverse ? car avec ces bordures bois qui ont été mises en place, à n’en pas douter les chutes seraient loin d’être rares !
*et où sont d’ailleurs ces pavages que l’on devrait pouvoir installer devant l’escalier à double volée qui monte vers le « E » ? ! ?
*et quand fera t-on le nettoyage et la réparation des trottoirs, chaussée, portail de cette entrée ? et quand supprimera t-on ce totem pouilleux des commerçants ?

12ème sujet
notre demande : que comptez-vous faire avec la résolution de madame Cléren pour l’aménagement des allées des sous-sol du super-Rouvière
réponse du syndic : il n’y aura pas de suite

13ème sujet
notre demande : que fait-on pour le bassin d’agrément dans le parc, pourquoi n’est-il pas nettoyé ?
réponse du syndic : il y a un gros problème de pollution avec les eaux pluviales qui entraînent des hydrocarbures présents sur les chaussées, il va falloir installer une filtration.

••• notre opinion est que ce soi-disant problème n’empêche pas de nettoyer le bassin d’une part et qu’à ce jour les poissons et canards sont toujours présents et cela depuis bientôt trente ans d’autre part. Un chiffrage pour la mise en place d’un système de filtration aurait pu être présenté aux copropriétaires pour qu’ils puissent prendre une décision, mais à ce jour rien de semblable ne leur a été présenté !

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Voilà, bien d’autres questions étaient en nos esprits, mais il faut savoir juste mesure gardée, nous avons passé de nombreuses heures dans les locaux de notre syndic, car il est difficile de ne pas dériver tant il y a de problèmes à la Rouvière.
Nous espérons pouvoir renouveler ces rapports, et attendons l’ordre du jour de la prochaine assemblée pour savoir si nous avons été réellement entendu.
--Pierre LONGAYROU --Monique CLEREN

compte rendu remis au syndic le 11 mars 2004

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à propos du bulletin du bureau du conseil syndical

A PROPOS DU BULLETIN TRIMESTRIEL DE JUILLET DU CONSEIL SYNDICAL
Curieusement, sur ce bulletin aucune signature n’apparaît


On se défile :
… mais auparavant on a pris soin de faire prolonger son mandat…(la réunion du conseil syndical de mai 2004 a eu pour objet la prolongation des mandats venant à expiration du président, des vice-présidents du conseil et des présidents des commissions : c'est-à-dire, les membres du bureau)

On se justifie :
… en réécrivant l’histoire… mais…
Il serait bon de savoir :
• qu’à aucun moment le bureau du conseil syndical n’a émis la possibilité de modifier la répartition des charges ascenseurs en fonction des étages. (malgré des incitations répétées quant aux charges par étage de la part de certains conseillers)
• que rien n’a été décidé au conseil syndical au sujet de la FACILITE que nous offrait la loi SRU de décembre 2000 pour rectifier les éventuelles erreurs incluses dans le règlement de copropriété de la Rouvière.
• que jamais les différences de prestations entre des appartements, par exemple du type 5, n’ont été soulevées aux réunions du conseil syndical alors qu’on trouve à la Rouvière des appartements cotés 50 tantièmes ayant des surfaces différentes et un ou pas de vide-ordures. On trouve également des différences de tantièmes non proportionnelles à la superficie pour d’autres appartements …
Mais de cela aussi le bureau du conseil syndical n’en a cure :
Que cessent alors ces affirmations inexactes que « tout avait été étudié », et ces sous-entendus concernant des copropriétaires qui ont osés défendre leurs intérêts sans se référer d’ailleurs à la loi SRU, mais bien et uniquement en se basant sur l’article 10 de la loi du 10 juillet 1965 comme le manifeste tous leurs tracts et le jugement n°91/2003 du 15 avril 2003 contre le syndicat.
• que d’une part aucun projet de réfection du bassin n’est présenté et, que d’autre part la Rouvière est au bord d’un gouffre, puisque les caisses sont vides. Comment peut-on oser parler de réaliser des travaux sans ordonnancement logique et nécessité absolue ? nous dirigeons-nous vers d’autres chantiers du type B1/B6 ?

Aussi,
Nous devons dire aux membres du bureau du conseil :


« à l’impossible nul n’est tenu, partez et laissez la place à d’autres copropriétaires qui auront peut être le bon sens de faire appel à ceux qui peuvent les aider »

en effet, il faut aussi savoir que les copropriétaires qui souhaitent agir au sein du conseil sont chassés et que ceux qui veulent faire un travail de contrôle sont conspués… Pourquoi ??

Mesdames et messieurs les copropriétaires, venez à l’assemblée du 11 septembre, sinon ne remettez vos pouvoirs ni au syndic ni aux membres du conseil syndical, et soyez très circonspects dans le choix de votre mandataire pour la défense de vos intérêts.

distribué dans toutes les boîtes à lettres du super rouvière le 25 août 2004

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lettre ouverte au conseil syndical

La loi est « muette » sur le mode de fonctionnement d’un conseil syndical. Elle en impose la création avec l’élection en son sein d’un président, et la création éventuelle de commissions…pour le reste ce ne sont que recommandations… lire l’article 22 du décret du 17 mars 1967 qui suit :
<< A moins que le règlement de copropriété n’ait fixé les règles relatives à l’organisation et au fonctionnement du conseil syndical, ces règles sont fixées ou modifiées dans les conditions de l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965 par l’assemblée générale qui désigne les membres du conseil syndical. [le décret du 27 mai 2004 modifie la condition de vote qui passe à l’article 24 toujours de la loi du 10 juillet 1965.] >>

L’assemblée générale de La Rouvière n’a validé aucun règlement pour le conseil syndical. En conséquence, ni le bureau du conseil, ni le président du conseil ni le conseil syndical lui-même ne peuvent opposer, un règlement qu’ils pourraient modifier à la demande et suivant les circonstances. Or, le procès verbal de la réunion du conseil du 15 novembre était accompagné d’une énième mouture de règlement invalide sur lequel il a été supprimé : la commission de communication, les vice-présidents, et ajouté une commission qui a fait l’objet d’un vote en AG de 2003 mais vote sans l’accord du conseil et quasiment en aveugle pour les copropriétaires…
Il convient donc de dire que dans l’attente d’une écriture du règlement de fonctionnement du conseil syndical, accompagné d’un vote article par article en assemblée générale, seul le règlement de copropriété reste applicable à la Rouvière et que, la résolution votée en AG de 1975 qui exclu du conseil un conseiller non à jour de ses charges est une clause abusive et donc réputée non écrite, que le nombre de conseillers voté à cette même assemblée est à revoir car il ne semble pas avoir été déterminé sur des bases précises de calcul.
Pour conclure, seul le règlement de copropriété est à ce jour applicable, règlement qui précise que les décisions du conseil se prennent à la majorité des présents.
Pour en revenir au nombre de conseillers, il devrait être basé sur le nombre de tantièmes de chaque immeuble, ce qui tend à dire, avec une fourchette de 1500/1700 tantièmes par conseiller :
4 conseillers pour le « A » , 2 conseillers pour le « CC » , 20 conseillers pour le « B »
7 conseillers pour le « C » , 9 conseillers pour le « D » , 11 conseillers pour le « E »
2 conseillers pour le « F » , 3 conseillers pour le « G» 1 conseiller pour les « garages du C»
Ce qui ferait un nombre total de conseillers de 61 plus autant de suppléants
Une autre méthode de calcul (solution 2) prévoyant un conseiller par immeuble, donnerait :
3 conseillers pour le « A », 1 pour ses garages, 12 pour le « B », 4 pour ses garages,
7 pour le « C », 1 pour les garages, 7 pour le « D », 9 pour le « E », 2 pour le « F »,
3 pour le « G » Ce qui nous amènerait à un total de 49 conseillers plus autant de suppléants.
Ce nombre de conseillers n’étant pas défini par le règlement de copropriété d’une part, et celui qui a été voté en AG de 1975 ne correspondant ni au nombre de tantièmes des immeubles, ni au nombre de lots d’autre part, il conviendrait donc de revoir cette répartition des conseillers.
Dans l’éventualité de l’éclatement de la Rouvière en syndicats secondaires, il faut craindre des problèmes importants de représentativité au sein du conseil syndical principal et également par bâtiment*. En ce sens, la solution 2 semble la mieux adaptée puisque chaque conseiller sera élu par les copropriétaires de son immeuble (ou entrée) qu’il représentera à la fois au sein du conseil de son syndicat secondaire et dans celui du conseil du syndicat principal.
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Ne pas oublier : les pouvoirs pourraient être acceptés à condition qu’ils soient distribués systématiquement et par tirage au sort aux membres présents avant les délibérations!!!
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INFORMATION :
Une copropriétaire (mme Cléren) a été expulsée inopinément et brutalement (traumatisme au bras, au genoux, et à la tête) du bureau et en présence du syndic le mardi 16 novembre 2004, vers 12 heures par le nouveau président du conseil syndical de la Rouvière.
Une plainte a été déposée.
La Rouvière le 30 novembre 2004
distribuée à tous les membres du conseil syndical

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dans l'attente du PV de l’AG du samedi 11 septembre 2004
En l’absence du PV de l’assemblée générale du samedi 11 septembre 2004,
Pas une assemblée comme les autres ! … en effet :
Si nous avons vu comme à l’habitude un syndic maîtrisant bien la situation, toujours très calme et courtois.
• Nous avons vu un président de séance manifestement ignorant de « la chose » qu’il avait prise en charge.
• Nous avons vu des conseillers syndicaux inhabituellement silencieux. Aucune des habituelles réflexions ironiques, agressives ou irritées en réaction aux remarques des participants dans la salle.
• Nous avons vu une assemblée relativement calme à l’exception de deux ou trois copropriétaires bien décidés à mettre à mal le syndic.
Donc une assemblée différente des précédentes. L’analyse de son déroulement nous fait apparaître ceci :
< Aux premiers dépouillements, l’approbation des comptes, le quitus, puis l’élection des conseillers syndicaux, rien ne marchait comme par le passé, alors le président de séance, les conseillers dans la salle, le syndic, tous sont restés silencieux. Les votes des résolutions inscrites à l'ordre du jour se sont poursuivis mais aucun résultat n’a été donné >
Une question se pose : qui a décidé de ne pas annoncer les résultats des votes ? le président de séance? les membres du bureau du conseil sortants ? le syndic ? De toute manière on peut avancer que :
• le président de la séance a failli car il entre dans sa position de donner les résultats des votes.
• les scrutateurs ont été dépassés car ils auraient dû s’inquiéter de ne pas entendre les annonces des résultats par le président.
• le syndic, accepté par l’assemblée comme secrétaire, a failli à son devoir de conseil !
< C’est sur la demande réitérée d’un copropriétaire dans la salle, (la réunion était déjà au trois quart avancée) que nous avons entendu le président déclarer qu’il allait annoncer le résultat des votes pour les résolutions dont les délibérations avaient été réalisées, et interpeller la sténotypiste pour lui dire qu’elle pouvait se reposer pendant qu’il annoncerait ces résultats >
Mais pourquoi la sténotypiste ne devait pas enregistrer les résultats des votes ? Qui autorisait le président à agir de la sorte ? ou quoi ? Pourquoi a t-il annoncé les chiffres à si grande vitesse, malgré des protestations de copropriétaires dans la salle, et pourquoi sans préciser élu, pas élu, en ce qui concernait l’élection des conseillers, et adopté, pas adopté pour les autres résolutions ?
Certains évènements survenus dans les jours qui ont suivi cette assemblée nous mettent mal à l’aise :
•1• Comment se fait-il que le lundi 13 septembre qui a suivi l’assemblée, le président sortant et le vice-président également sortant connaissaient le nom des copropriétaires qui avaient voté contre eux ???
•2• Contrairement à l’attente de tous, le président sortant a refusé de convoquer le conseil syndical comme c’était son devoir…
•3• Le syndic qui s’est substitué à lui a convoqué les conseillers pour le 8 novembre, mais deux conseillers pourtant élus si l’on se réfère au nombre de tantièmes annoncés au cours de l’AG non pas été convoqués. Ils figuraient comme non élus sur les feuillets du PV qui étaient joints à cette convocation du conseil ! On peut remarquer qu’aucun copropriétaire n’a reçu ce PV.
•4• Quand on sait qu‘il est impossible de modifier un résultat de vote après la tenue de l’assemblée, on s’interroge : comment cette modification du nombre de tantièmes a pu avoir lieu, et surtout que nous connaissons au moins un scrutateur qui n’a pas été prévenu de cet « évènement », et que le PV de cette assemblée n’a toujours pas été diffusé !
•5• Le syndic a démarré cette réunion en annonçant qu’il ne pouvait pas la tenir car il y avait des personnes dans la salle étrangères au conseil, c’étaient les deux conseillers ‘‘litigieux’’ plus deux auditeurs taisant, la réunion a été reportée.
Cela est incompréhensible, aucun texte n’est à l’appui de cette décision !
•6• Une seconde réunion a eu lieu avec les mêmes personnes, mais sans le syndic, des échanges verbaux ont été faits dans tous les sens, et nous avons entendu le président de l’AG dire aux deux conseillers ‘‘litigieux’’ < de toutes façons vous n’êtes pas élus, et moi à l’assemblée j’ai annoncé des chiffres mais je n’ai pas dit que vous étiez élus…> (sic) De même nous avons entendu un membre du bureau du conseil sortant dire que tous les décomptes des votes des AG de la Rouvière des dernières années étaient faux , et que seuls ceux de cette année étaient bons ! (resic) On reste muet devant une telle inconséquence. Après 40 minutes de conciliabules le doyen d’age a présidé la séance et a lancé le vote pour l’élection d’un bureau provisoire dans l’attente de la régularisation de la situation des deux conseillers litigieux.
In fine la réunion s’est terminée par l’élection du président du conseil qui n’est autre que le président de l’assemblée général ! ainsi que l’élection des membres du bureau, suivi par un tripatouillage d’un soi-disant règlement du conseil, non valide au demeurant, puisque pas présenté à l’approbation de l’assemblée générale, mais encore remanié à l’envie pour les besoins de la cause…
•7• La réunion suivante du conseil syndical du 2 décembre a vu un certain nombre de protestations concernant le compte rendu de la précédente réunion ou le terme provisoire concernant le bureau du conseil avait été supprimé……
•8• Le mardi 16 novembre, une copropriétaire (mme Cléren) se rend chez le syndic pour connaître l’heure et le lieu de la réunion qui doit se tenir avec des copropriétaires du bâtiment « B ». La porte du bureau était ouverte et le nouveau président (provisoire) du conseil syndical était assis face au syndic, elle pénètre dans le bureau, échange quelques mots avec le syndic, et avant de comprendre ce qui lui arrive, se retrouve projetée et coincée entre le chambranle et la porte du bureau par le président qui à deux reprises force avec violence sur ladite porte pour probablement la faire sortir. Résultat : traumatisme au genou, à la tête, et au bras.
tract qui sera distribué à la Rouvière à partir du 13 décembre 2004
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assemlée spéciale du 5 octobre 2004 à la demande
de plus de 25% de copropriétaires du Super Rouvière

Cette assemblée avait pour objet la création d'un syndicat secondaire pour le bâtiment «B» désigné sous le vocable «Super Rouvière» [12 immeubles : B1 à B12]

Nombre de tantièmes du Super Rouvière = 33955/95405

Nombre de tantièmes représentés à l'assemblée = 19369/33955

La décision a été prise par = 12575/33955

Le syndic désigné C...-F... a été élu par = 12188/33955

La date d'effet est le 1er janvier 2005 et une prochaine réunion est prévue pour l'élection des conseillers syndicaux et choix des banques début 2005
mis en ligne le 29 avril 2005

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