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LOTUS FORD 79 by STUDIO 27
l’assemblage à blanc du cockpit montre que de petits
ajustements sont nécessaires au niveau des joints. On constate également l’état
de surface des pièces avant préparation.
Photo 2 : les deux moities de cockpit sont collées
avec de la colle époxy et un ponçage est effectué avec du papier de verre de
plus en plus fins.
Photo 3 : Il en est de même pour le triangle de
suspension inférieur. Les joints de collage sont comblés avec de la colle
cyanoacrylate.
L'assemblage à blanc montre la faisabilité du montage des suspensions supérieures alors quee le cockpit est assemblé. L’axe des triangles de suspension est ajouté, il contribue efficacement à la tenue du modèle assemblé. Dry run shows the feasibility of the assembly of the higher suspensions whereas the cockpit is assembled. The suspension axis is added, it contributes effectively to the behaviour of the assembled model..
Photo 5 : Les coquilles inférieures M06 et M08 sont
collées avant le montage des suspensions.
Photo 6 : Le rivetage du châssis et reproduit à
l’aide de petits trous de diamètre 0,4mm.
Photo 7 : La poutre supportant les triangles de
suspension est mise en place avant peinture. Elle sera masquée avec du Maskol
Humbrol.
Photo 8 : Le châssis est alors apprêté avec de
l’apprêt Tamiya blanc.
Photo 9 : Puis le châssis est peint en noir brillant
polyuréthanne ou enamel. Ce type de peinture est obligatoire afin que la teinte
Alclad II soit efficace.
Photo 10 : Le choix de la teinte Alclad II Chrome est
délicat car chacun sait que les châssis étaient en aluminium. Une teinte
Aluminium poli semble donc plus indiqué. Mais les photos de la lotus montrent
que le métal du châssis est très brillant. Au final, c’est à chacun de décider
en son âme et conscience.
Photo 11 : Les pontons nécessitent une préparation
assez sérieuse. Les vides, sur les cotés des sorties d’air, sont comblés avec de
la carte plastique.
Photo 12 : la pose des jupes latérales est très
astucieuse car elle autorise une translation verticale des jupes, ce qui garanti
un bon contact avec le sol.
Photo 13 : L’assemblage de l’échappement est assez
simple. Un bon surfaçage des pièces est nécessaire afin d’avoir un bon rendu de
peinture noir mat.
Photo 14 : Des tiges en laiton sont utilisées pour
réaliser l’admission d’essence.
Photo 15 et 16 : le moteur et la boite de vitesse
sont collés en même temps sur le châssis afin d’être correctement alignés.
Photo 17 : Le moteur est terminé. Les pièces fournies
dans la boite (trompette d’admission et grillage de protection) lui donne une
fière allure.
Photo 18 : Les suspensions de la boite de vitesses
semble assez complexe mais le montage ingénieux produit par Studio 27 simplifie
agréablement la tâche.
Photo 19 : Les amortisseurs en métal tourné sont
magnifiques, ils rendent la boite
de vitesse très réaliste.
Photo 20 : Le cockpit est presque terminé. Les
harnais sont fournis dans la boite et sont identique à ceux vendu séparément en
tant qu’accessoires.
Photo 21 : Le marquage des pneus est réalisé à l’aide
de pochoirs Museum Collection et de blanc mat Tamiya dilué à 50% avec de
l’alcool à 90°.
Les canalisations de refroidissement sont assez
difficiles à mettre en place. Ils frottent contre les échappements. Ceux-ci ont
été repeints au pinceau afin d’effacer les traces de lutte…
Photo 23 : A ce stade du montage, la lotus peut être
mise en situation dans un diorama « stand ». Les trépieds utilisés proviennent
de la FW24 Tamiya.
Photo 24 : Les pontons et les roues sont collés avec
de la colle époxy. Les bavures de colles sont immédiatement nettoyées avec un
mélange à 50% d’eau et d’alcool modifié à 70°.
Photo 25 : La préparation de la pose du support de
l’aileron arrière et de la carrosserie commence à ce stade. La pose de cette
dernière sur le nez n’est pas immédiate et du métal et enlevé à l’intérieur de
la carrosserie avec une mini-perceuse.
Photo 26 : L’oxydation à la surface du métal est
enlevée à l’aide de limaille de fer. Les trous éventuels sont comblés avec de la
superglue et poncés avec du papier de verre 1000.
Photo 27 : Afin de maintenir le support d’aileron en
place, des rectangles de cartes plastique sont collés sous le support et
viennent s’insérer sans les pontons.
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