Musique: Astor Piazzolla
Quando la vita è poesia
la vivi e non ci pensi mai,
un corpo sa in un altro corpo
come la pioggia sta dentro il mare;
Poi qualche piccola vilta
nascosta della cortesia
e l'emozione di mentire,
ma non lasciarti mai.
Quand la vie est une poésie
On la vit et on n’y pense jamais
Un corps est dans un corps
Comme la pluie est dans la mer
Puis quelques petites lachetés
Cachées par la courtoisie
Et l’émotion du mensonge
Mais ne jamais te laisser
Si je pouvais te dire
Si je pouvais t’avouer
Que je te cherche et ne te trouve plus
Si je pouvais te faire
Revenir l’étranger (faire revenir en toi l’étranger)
Qui a dévoilé le monde entier à mes yeux …
Mais ce n’est pas facile,
Tu pourrais ne pas te comprendre
Tu pourrais aussi penser que
Il y a un autre en moi
Mais si je pouvais te dire
Sans te faire trop mal
Que je te veux encore
Et que je ne te veux plus
Si je pouvais encore t’effacer
Et puis te chercher, et puis te blesser
Et puis te posséder, je le ferais
Et je voudrais te résister
Et je voudrais t’offenser
Et puis je voudrais mourir moi aussi
De toi.