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Bonjour, c’est SquallKJ !
Je vais vous parler
de l’un de mes auteurs préféré, le grand maître Masakazu Katsura, l’auteur de
vidéo girl Aï. Puisse son talent ne pas obscurcir mon jugement lors de cette
critique ! Lol
La fille du futur
DNA² est une série en
2 parties ; en effet la première comporte 12 épisodes et la seconde 3 ; ce qui
donne au total 15 épisodes pour cette série (quel pro du calcul).
Elle raconte l’histoire de Junta, garçon allergique à la gente féminine et qui
vomit chaque fois qu’il sent l’excitation monter en lui ; une situation
difficile, vous en conviendrez.
La situation se corse avec l’arrivée de Karine, un agent du futur qui manipule
l’ADN. Elle se rend dans le passé afin d’éliminer le mega-playboy qui va
surpeuplé la terre dans l’avenir. Pour y arriver, elle doit lui injecter un
sérum à l’aide d’une balle DCM. Ce sérum transformera l’ADN du mega-playboy le
rendant inoffensif. D’après elle, le mega-playboy en question serait Junta !
Mais il y’aura un problème, cette injection aura l’effet inverse de celui
espéré, Junta se transformera en mega-playboy chaque fois qu’il sera ému par une
fille…
Un manga fleur bleu
Ce manga s’adresse principalement aux garçons, il faut bien le dire ; mais
aussi aux sentimentaux ! DNA² a tous les atouts pour plaire… au public masculin
en mal d’amour !!
Une histoire où se croisent les déboires et les chassés croisés amoureux,
(pour ceux qui connaissent Vidéo Girl, sachez que c’est dans le même style) et
qui est souvent prétexte a montré de jolies filles en tenues pour le moins
révélatrices.
Cependant, ce qui n’en
fait pas un manga à publique exclusivement masculin, c’est l’humour omniprésent
qui se dégage. Les situations cocasses s’enchaînent et on n’est forcé de rire
devant la maladresse du héros (un jeune lycéen qui vomit c’est lourd mais ça
fait toujours rire).
Les personnages
Junta Momonari : Jeune
lycéen peureux et maladroit avec les filles, il a la malchance de vomir
lorsqu’il ressent de l’excitation. De se fait, il n’a pas beaucoup de chances
avec les filles.
L’arrivée de Karine et
son produit vont tous changer. Le mega-playboy va se réveiller et séduire bon
nombre de femmes.
Karine : Jeune opératrice
ADN, elle se rend dans le passé afin de modifier l’ADN du mega-playboy. Sa
maladresse lui feras se tromper de balle DCM et transformera le héros en ce qui
devait être éliminé. Ainsi, elle doit rester auprès de Junta pour faire en sorte
qu’il reste ce lycéen allergique et maladroit sous peine de voir ses rêves
envolés : avoir une maison avec un gentil mari et mignon petit chien. Elle
finira par succomber, comme beaucoup, au charme du mega-playboy.
Ami : amie d’enfance de
Junta, elle a un faible pour lui depuis qu’il sont tout petits. Elle est
sérieuse et serviable mais jalouse des fréquentations de Junta. C’est la seule
qui ne succombera pas au charme du mega-playboy, lui préférant le vrai Junta.
Saeki Tomoko : Jeune
lycéenne adulée pour sa beauté, elle tombe amoureuse du mega-playboy au
détriment de Ryuji, son petit amis cavaleur. C’est une fille superficielle qui a
beaucoup de détermination.
Ryuji : Petit ami de Saeki, il ne supporte pas qu’elle s’intéresse a quelqu’un d’autre que lui. Pourtant il ne se gène pas pour trompé Saeki grâce a son physique avantageux ou, comme il dit, a cause de son ADN qui attire les filles. Il est possessif et vantard, prêt a tous pour reconquérir Saeki.
Kotomi : meilleure amie de
Ami (ça fait bizarre la similitude des mots), elle tombe amoureuse elle aussi du
mega-playboy. Jeune fille timide et réservée, elle a, comme Junta, un problème
qui lui pourri la vie : lors de forts moments d’émotion, elle ne peut s’empêcher
de faire des pets. Un handicap gênant qui la pénalise pour son activité : la
danse.
Des bô dessins
Ils sont beaux les dessins, c’est le moins que
l’on puisse dire ! Dommage que l’ensemble fait un peu vieillot. Cependant, les
personnage féminin sont de toute beauté (le héros ressemble a un sangoku roux)
et on admire le trait de Katsura. L’ensemble manque malgré tout de détailles.
La musique quand a elle
n’accroche pas vraiment, c’est une musique de fond sans plus, seul quelque
mélodies, assez belles, m’ont attirée l’attention.
Mon avis sur cette
œuvre
Un manga agréable qui
fait passer un bon moment au début mais qui s’essouffle sur la fin. De bons
moments de plaisirs avec de l’humour bien lourd, bien comme on l’aime. La gente
féminine, a part si elle est touchée de romantisme aiguë risque de ne pas
appréciée la mise en valeurs des formes de ces héroïnes.
Bref, un manga a voir mais
il y’a d’autres priorités.
Ma note attribuée : 14/20