Pensif !
Tu te
sens aussi utile
Que ces
souvenirs que tu empiles
Souvent
d’une manière peux habile
Tu cache
ton coté fébrile !
Tu vie au
rythme des jours qui ce profiles
En
équilibre comme sur un fil !
Le cœur
en chamade et fébrile
La peur
de dévoilé ton coté infantile !
Alors tes
rêves défilent
Et tu
deviens cinéphile
En son
cœur tu te faufile !
Et tu l’emmène sur ton ile
Mais au
réveil tout vacille
Seul en
ton domicile
Tu ne
te sens que fragile
Aimer
peut être mais ignoré comme tout fossile !