Background :

Loin au nord se trouvent les montagnes du désespoir, nom donné en raison des hurlements que l’on y entend en permanence, le vent disent certains, les esprits hurleurs pensent d’autres. Dans ces terres sauvages et désolées on ne trouvera pas un homme un tant soit peu civilisé ou avisé pour y vivre. La végétation et la faune y sont pourtant abondantes, mais le climat est rude et les plaintes incessantes du vent dur à supporter pour les nerfs. Toutefois le danger est ailleurs, on y trouve l’un des plus dangereux prédateurs qui soit : " le loup des vents ". Si lorsqu’il est immobile, rien ne le distingue de ces autres congénères, il en est tout autre lorsqu’il se met en mouvement. Sa rapidité est tout à fait hallucinante et l’on a du mal à les suivre du regard. De plus ils se déplacent par de grands bonds si haut et loin que l’on croirait les voir planer, voler. Mais la caractéristique la plus étonnante est son intelligence, ils ont une sorte d’esprit secondaire dont ils partagent tous la conscience. Cela en fait des combattants plus que redoutables à la synchronisation parfaite, en sus si l’un d’entre eux meurt tout ce qui faisait son esprit et ses souvenirs devient la propriété de la meute, en général du patriarche. L’on murmure que leurs souvenirs pourraient remonter aux origines du monde.

A l’intérieur de ces montagnes vit une petite communauté naine qui exploite une riche mine de fer très pur. Les nains s’aventurent rarement dans les montagnes et n’entretiennent pas de rapport avec les barbares, chacun jugeant l’autre trop ignorant pour comprendre son peuple.

Car clan barbare il y a, voilà dix générations, un clan barbare traversa les montagnes, ils avaient leur allégeance à l’esprit du loup. Lorsqu’ils rencontrèrent les loups des vents, les chamans purent entrer en communication avec eux et il y eu de longues discutions. Bientôt le clan tout entier fut persuadé d’être en présence des élus du loup et décidèrent de rester dans les montagnes pour y recevoir l’enseignement des élus.

Il y a 25 ans maintenant naquit le septième fils d’un noble et fier barbare. Sa naissance fut remarquée à plus d’un titre, non seulement elle eut lieu par une nuit sans lune, lors d’un orage d’une terrible violence ; mais surtout plus d’une centaine de loups des vents vinrent y assister. On avait déjà vu quelque louves venir assister à une naissance mais on avait jamais vu un tel rassemblement.

Voyant cela le chaman alla trouver les loups et sa surprise fut encore plus grande lorsqu’il aperçut " un-croc " parmi eux. " Un-croc " passait pour le patriarche et le plus ancien des loups des vents toutes meutes confondues, de plus il possédait un esprit éveillé à la manière des chamans. Ils se parlèrent :  "  Pourquoi nous honorez vous ainsi ? – Nous nous assurons que la meute protégera celui qui vient. – Pourquoi ? – Il sera le Ghorkan de ton clan et sa venue était annoncée depuis longtemps. – Qu’est ce qu’un Ghorkan ? – Tu ferais mieux de retourner là bas sinon il va mourir. ". Inquiet le chaman se précipita dans la hutte, accélérant encore l’allure lorsqu’il entendit les cris de l’enfant. Mais celui-ci se portait comme un charme, il allait d’ailleurs être un sacré costaud à en juger par sa taille à la naissance. Perplexe le chaman prit l’enfant pour la présentation à la tribu, à peine avait il franchis le seuil de la hutte qu’une gigantesque boule de feu tombait sur cette dernière. De mémoire d’homme on avait jamais vu un tel éclair, ce dernier eut en plus des conséquences tragiques car toute la famille du nouveau né périt dans l’explosion. Passé un moment de stupeur, un cri fut bientôt sur toutes les lèvres :  " Maudit, il est maudit ! A mort ! A mort ! ". Alors le chaman comprit qu’ " un-croc " savait depuis le départ comment cela finirait. Il fallut au chaman toute sa force de persuasion et son influence pour calmer la foule en colère, il fut aider dans cette tâche par les loups qui le soutenait lui et l’enfant. Se rappelant les paroles d’ " un-croc ", l’enfant fut nommé Ghorkan. Ce dernier devint fort et très agile pour son âge, mais jamais le clan ne lui laissa oublier les circonstances de sa naissance ; cela en fit un enfant solitaire et taciturne. Seul le chaman passait beaucoup de temps avec lui. Le jour de ses treize ans les loups revinrent, le chaman alla voir ce qu’ils désiraient. "  Confie moi l’enfant, dit un-croc. – Pourquoi ? – Pour qu’il suive la voix du loup. – Combien de temps ? – Le temps qu’il apprenne. " Si le chaman eu du mal à accepter la chose, la tribu elle fut trop heureuse de se débarrasser de l’enfant maudit.

L’adolescent possédait déjà la fierté et l’orgueil de son peuple. "  me comprends tu louveteau ? – oui, un-croc. Le chaman m’a appris ta langue. – Sais tu pourquoi tu es là ? – je dois apprendre. – Tu ne sembles pas convaincu ? – Je heu , vous êtes un loup et je suis un homme ! – Et donc tu penses être meilleur ? Meilleur combattant que moi par exemple ? – Je suis le meilleur de mon clan ! ! ! – alors battons nous. "

Le combat dura longtemps, plus d’une heure avant que l’enfant ne s’écroule mort de fatigue, les nombreuses blessures qu’il portait attestait de sa défaite. "  Tu possède la vitesse et la force, ainsi que l’endurance. Pourtant je t’ai vaincu, pourquoi ? – Je ne sais pas. – Tu m’as cru vieux et faible, moi un animal ! Tu me croyais sans défense face à ton épée. Certes je n’ai qu’un croc et c’est ainsi depuis ma naissance, mais aucun ne se risquerai à me provoquer à la légère parmi la meute.

Voilà donc ta première leçon ne sous-estime jamais ce que tu ne connais pas et utilise toujours au mieux ce que la nature t’as donné. "

Le lendemain, ils étaient au pied d’une falaise et attendaient. L’adolescent avait essayé de savoir ce que l’on attendait mais la réponse avait été laconique, " attends et tu verras ". Soudain un grondement souterrain, une avalanche de pierre surgit de la paroi de la falaise, une silhouette s’écrasa sur les rochers, c’était un nain et il semblait mort. Plusieurs heures plus tard dans une grotte, il se réveilla et constata que contre toute attente il était vivant et que l’on avait soigné ses blessures. Intérrogatif il regarda le jeune barbare. Un-croc s’avança, " c’est moi qui t’es soigné. – Je dois perdre la boule, voilà que j’entends parler un loup ! – Allons tu connais la règle. – Oui, je te dois service jusqu’à ce que tu estime la dette payée. – Bien alors nous sommes d’accord. – Que veux tu de moi ? – Tu dois le trouver toi même. ".

Au fur et à mesure que le temps passait le jeune homme se développait et ses rapports avec le nain se détendait. Lorsque ce dernier vit que les loups avaient entrepris de former le barbare au combat, il ne put s’empêcher de s’emmêler, montrant au jeune homme la technique qu’il utilisait avec sa hache de bataille. Ghorkan dut admettre que le nain se battait très bien et il commença à voir les avantages et inconvénient de chaque arme, que ce soit la hache ou l’épée, mais il adorait son épée et tout cela le laissait perplexe.

Un-croc vint le voir, "  Dis moi, n’as tu qu’un croc ? " Ghorkan réfléchit avant de répondre, "  Certes j’ai plus d’un croc, mais je ne possède qu’une seule arme. – N’as tu qu’un bras ? – Non. – Alors . . . ? – Alors, je suppose que je dois réfléchir, mais j’aimerais les conseils d’un expert, heu un expert avec des bras. – Pourquoi pas notre ami nain ? – Pourquoi pas en effet. "

C’est ainsi que Ghorkan développa une technique unique de combat, un combat de combinaison de deux armes épée batarde et hache. Les années s’écoulèrent et il apprenait un peu plus chaque jour. Alors que dix ans allaient bientôt s’être écoulés, le nain eu une intuition subite. Dès cette dernière, il se mit au travail dans la forge qu’il s’était confectionné, ne parlant plus à personne pendant plusieurs jour. Il offrit le résultat à Ghorkan pour son anniversaire, une épée batarde, une hache de jet modifiée pour sa technique de combat et trois haches de jets, toutes ces armes étaient en acier. Ghorkan en fut très ému, mais fidèle à sa nature pris les armes sans mot dire. Il alla ensuite trouver un-croc, " Je voudrais rentrer parmi mon peuple. – Tu le peux, je n’ai plus rien à t’apprendre. Tu reviendras me voir lorsque tu sauras pourquoi tout cela est. Quand à toi ami nain, tu peux rentrer. La dette est amplement payée. "

C’est ainsi qu’ils se séparèrent, Ghrokan reprenant la route de son clan. Il n’y fut pas très bien accueillis, car nul ne l’avait oublié, même si tous espérait qu’il était mort depuis longtemps. On lui refusa l’accès et l’on voulut le chasser ; arguant qu’il ne faisait plus parti du clan. Le chaman bien que très vieux intervint encore une fois ; " Qu’il subisse les épreuves pour être admis parmi nous ". Ghorkan refusa, " je vous défie en combat et vous prouverais que le loup est bien mon clan ! – Choisis ton adversaire. – Selon la loi je défie la meute ! ". A ces mots plusieurs furent surpris, le défi de la meute était une épreuve que bien peu pouvait gagner. Il s’agissait d’un combat contre six guerriers, c’était un duel d’honneur et donc l’on s’arrêterait dès que les six seraient gravement blessés ou que Ghrokan le soit. Le combat fut long, très long. Les guerriers chargeaient de façon furieuse, mais Ghorkan était trop rapide, sa hache et son épée parant les attaques furieuse dans un superbe balai, avant que la riposte ne prenne ces adversaires au dépourvu. Bientôt un, puis deux, puis trois barbares furent gravement blessés. Les survivants commençaient à se fatiguer et accumulaient les erreurs, leur adversaire semblait encore en grande forme. Dans un dernier assaut les trois chargèrent simultanément, une erreur de plus, ainsi ils se gênaient mutuellement. Ghorkan esquiva, puis la hache s’envola, quittant sa main et blessant gravement l’un des trois. Le mouvement n’était pas finis, un arc de l’épée, large et bas vint cueillir un barbare dans les jambes ; avant que d’une formidable impulsion un saut en arrière ne permette à Ghorkan d’esquiver l’attaque du dernier revenu à la charge. Celui-ci fut tellement surpris à la fois par le mouvement que par le fait que l’insolent soit encore en pleine forme, qu’il en resta coi quelques instants. Ghorkan bondit sur l’occasion, mais son adversaire n’était pas un débutant et il fallut encore une demi-heure de combat avant que ce dernier trahis par son corps ne s’écroule de fatigue et ne s’avoue vaincu.

Alors on organisa une grande fête et comme si le vent avait chassé les mauvais nuages de la crainte et de la suspicion, on oublia le passé. Ghorkan fut admis dans le clan et il reçut les tatouages rituels. Sur son visage on lui fit la marque du loup (quatre balafres parallèles), ses bras reçurent l’esprit du loup (une suite de symbole pictographiques et runiques symbolisant le vent, les steppes et les montagnes), sur son torse il reçut le triptyque du loup (scène où l’on voit l’Esprit Loup, les loups et les barbares), sur ses jambes deux meutes furent dessinées. Sur sa jambe droite la meute des loups des vents en l’honneur de ceux qui avait transformé un enfant maudit en homme d’honneur du clan. Sur sa jambe gauche une meute de barbare de son clan, en l’honneur de sa réussite au défi de la meute.

Alors que la cérémonie des tatouages allait s’achever, les loups vinrent et déposèrent une dent devant Ghorkan, Un-croc n’était plus.

Une grande tristesse s’empara de lui, les loups lui rapportèrent ces dernières paroles " Ghorkan tu es et tu restes, tu dois retrouver ce que nous avons perdu. Sinon plus aucun ne suivra le chemin de loup ". Alors par respect et pour le souvenir de celui qui avait été son mentor, Ghorkan se fit tatouer sur l’ensemble de son dos le portrait d’ Un-croc.

Demandant conseil au chaman sur les dernières paroles d’un-croc, ce dernier lui répondit qu’il savait reconnaître une quête lorsqu’il s’en présentait une. Ghorkan devait partir et trouver au travers de l’aventure son chemin et les réponse à cette quête.

Deux semaines plus tard il partait. En chemin il rencontra un autre guerrier humain, maniant l’épée batarde comme lui. Leur rencontre fortuite au cours d’un combat les amena à très vite lier connaissance. Ce compagnon venait du royaume nain où il avait été élevé, il était orphelin de naissance également dans des circonstances étrangement similaire à Ghrokan, sauf que c’était par une nuit de pleine lune. Ensemble ils prirent le chemin de la civilisation.

1ère aventure :

alors qu’ils arrivent en ville, nos deux compères décident de vivre de leur épée en s’engageant dans la toute nouvelle armée de mercenaire. En effet la situation politique instable avec le royaume du Nord, a amené la création en urgence de cette armée.

Attiré par les promesses d’aventure et de trésor, ils s’engagent.

Hélas que l’on soit barbare ou élevé par les nains, il est une chose qui ne fait pas parti de l’éducation c’est l’obéissance à une autorité. Chez les deux on apprend à respecter celui qui fait ses preuves, mais comment respecter un ventripotent braillard de sergent sans doute incapable de se battre correctement. Dès les premiers jours les choses ne se passent pas du tout comme prévues, ils apprennent quand même les rudiments du combat en groupe et font la connaissance d’un prêtre de Gael .

Un jour d’exercice alors que le sergent frise l’apoplexie, un visiteur inconnu l’interpelle. De quoi ont ils parlé nul ne le sait mais voilà nos gaillards libre de faire ce qu’ils veulent et content qu’il en soit ainsi. Cette personne leur présente un rôdeur du nom de Dale et leur donne leur mission. Accompagné de Dale et du prêtre ils doivent effectuer une reconnaissance dans les montagnes du nord.

Le voyage s’effectuera au départ sans histoire jusqu’à ce qu’il rencontre un groupe d’hobgobelins escortant un mage. Essayant d’appliquer les leçons d’un-croc, Ghorkan prudemment se cache avec les autres dans les hautes herbes et les laisse passer sans dommages. Mais le mage les a repéré semble-t-il et les hobgobelins les chargent. S’en suit un combat où Il tuera deux de ses adversaires avant que le mage ne lance un terrible sort plongeant Ghorkan dans le noir et l’inconscience.

Bien plus tard il se réveille dans un abri fabriqué par Dale, le mage est mort tué par lui. Ghorkan retiendra deux choses de l’incident, toujours frapper le premier sans attendre et ne jamais se fier à un mage. Ils reprennent leur route, en chemin il voit un dragon au loin et Ghorkan doit attendre que ses amis se remettent de cette vision (comprendra-t-il jamais pourquoi on peut être figé de peur devant la vision d’un grand lézard volant ?). Ils arrivent alors dans une cuvette où se trouve une ancienne bâtisse, un lac et une forêt Dale s’en va discuter avec ce qu’il semble être des petites fées des bois, ces dernières leur apprenant que la bâtisse est occupé par des arques.

Dale les laisse là avec pour mission de voir ce qui se passe dans la bâtisse. Après quelques jours d’observation ils passent à l’attaque.

Escaladant la paroi rocheuse, Ghorkan réussit à s’infiltrer dans le bâtiment à l’aube. Il s’ensuit un combat furieux qui verra la mort de 3 orques et deux guerrier demi-orques des mains du barbares. Explorant le fortin, il découvre des souterrains et une grande porte de métal inconnu fermée. Derrière cette dernière un humain a trouvé refuge, c’est le leader des orques et il demande coopération.

Après bien des discutions et atermoiements ils décident d’accepter une trêve pour chercher les trésors des souterrains.

Après un passage sombre au milieu des goules, tenues à distances par un sort du mage. Sa compagne une habile voleuse leur ouvre la porte secrète menant au laboratoire secret.

Alors que chacun fouille et remplit son sac de ses trouvaille, la voleuse poignarde le prêtre, qui disparaît brutalement, avant de se ruer sur Ghorkan tandis que le mage attaque son compagnon. Le combat qui s’en suit est d’autant plus bref que furieux et les deux traîtres meurent. Mais là, une surprise de taille attends nos amis, le prêtre est devenu invisible ou plutôt une sorte de fantôme. Ils peuvent l’entendre et vaguement le voir mais pas le toucher, ils décident alors de s’enfuir et d’aller demander conseil aux fées.

Ces dernières font alors appel à un gnome magicien qui en échange d’une partie de leur découverte, leur révèle qu’ils sont victime d’un sort puissant. Celui-ci les affecte depuis un moment et si ils ne retrouvent pas leur corps, car ils ne sont que faussement tangibles en ce moment, ils deviendront pour toujours des esprits errants. Ils comprennent alors que cela doit être le mage rencontré quelques jours auparavant qui doit être responsable. Rebroussant chemin immédiatement, ils finissent par retrouver leur corps dans un abri non loin de celui où ils s’étaient réveillés. Le plus curieux est qu’ils trouvent également sous le cairn, où Dale a dit avoir enterré le mage, un second exemplaires de leur corps. Perplexes devant tout cela, ils décident de repartir vers le sud, en ville et que si d’aventure ils rencontrent Dale, il aura des explications à fournir !

De cette aventure Ghorkan a gagné quelques 500 po et quelques armes (dagues) trouvées dans le laboratoire.

 

2ème Aventure :

Ghorkan est à Berrabes, une grande ville où il a malheureusement perdu son compagnon dans la foule. Cela fait un moment qu’il est là s’adonnant à de nombreuses fêtes et beuveries. Il a ainsi dilapidé toute sa fortune et déjà gagé l’une des dagues qu’il avait ramené de sa précédente expédition. Il est au cheval noir et se demande bien comment il va pouvoir payer.

Là il fait la connaissance de Calgarius et de frère Tuck, lorsqu’un inconnu bedonnant et chauve rentre dans l’auberge. Tout le monde s’éclipse sauf nos trois amis. D’emblée Ghorkan trouve cet homme éminemment sympathique, ce dernier leur propose pour mission de ramener chez lui un jeune Leprechaum en échange de quelques menus émoluments. Ils acceptent et partent aussitôt. Le voyage au départ se passe sans accroc, jusqu’à la rencontre d’un brigand leur posant la question rituelle, la bourse ou la vie. Alors que ses compagnons en sont encore à réfléchir comment régler la chose, Ghorkan attaque aussitôt le chef. S’en suit un combat où il a la mauvaise surprise de se retrouver face à la voleuse qu’il avait déjà occis. Il élimine promptement 2 bandit puis cette dernière, le combat tournant à leur désavantage, les brigands survivants s’enfuient. Par sésurité il décapite la voleuse, brûle son corps et enterre sa tête. Le leprechaum si il dort la journée n’est pas sans poser des problèmes la nuit refusant de dormir, Ghorkan résout le problème en s’en occupant comme s’il s’agissait d’un louveteau qu’il faut savoir occuper. Toujours sur leur trajets les voilà cette fois ci confronté à des ogres, fidèle à sa technique Ghorkan charge les outrecuidants, ces derniers sont quatre. Dès les premiers instants du combat il en abat deux et blesse un troisième, achevé par Calgarius, le dernier s’enfuit ; ils reprennent leur route. Un peu plus loin le jeune leprechaum leur est enlevé par un ogre-mage qui s’enfuit en volant. Rapidement ils le perdent de vue, mais un gnome rencontré (où est ce que Ghorkan a bien déjà pu le voir ?) leur confit un objet magique capable de localiser la tanière de l’ogre.

Alors qu’ils se rapprochent de la porte de cette dernière ils entendent distinctement l’ogre arrivé, ses camarades souhaitent se cacher et attendre, Ghorkan n’attends pas, ne se cache pas. Dès que l’ogre sort il engage le combat, le combat fut rude mais il vit la victoire de Ghorkan et ses amis. Pénétrant à l’intérieur de la tanière, ils ont vites la mauvaises surprises de se rendre compte que les pièces n’arrêtent pas de changer de position rendant l’exploration difficile. Malgré tout ils trouvent le leprechaum ainsi que de nombreux trésors, ce dernier leur révèle aussi que les ogres sont deux et qu’il vaudrait mieux partir. Un autre jour Ghorkan aurait discuté et voulu combattre mais il est blessé, ses amis sont eux aussi blessés et leur mission doit passer en premier.

C’est ainsi qu’ils remettent le petit à ces parents et rentrent à Berrabes. Là un ennui mineur les attends, ils ont complètement oublié de demander le nom de leur employeur, ce dernier ne leur a donné que son adresse, une tour de magie.

Ils y laissent un message et attendent à l’auberge, quelle n’est pas la surprise pour Ghorkan de voir arriver Dale. Ce dernier semble travailler pour le régent, et très bien connaître le Mage (leur employeur), il s’explique également sur ses agissements passés (confronté à deux corps, l’un mort et l’autre vivant et leur esprit désincarné, il n’a pas su quoi faire).

De cette aventure Ghorkan retirera encore une fois de l’or et surtout la découverte d’une magnifique épée batarde à la lame noire et gravée de runes. Etant devenu un peu plus mature, une grand partie de son argent lui sert à prendre des leçons auprès de maîtres d’armes, et quand même de faire un peu la fête.

3ème aventure :

Alors qu’il est au cheval noir, pour prendre un verre avec son maître d’arme, un inconnu les rejoins. Ce dernier est vêtu assez disparate presque de haillons, son visage porte de grandes cicatrices, plus tard il apprendra qu’il se nomme Moog-lee et qu’il connaît le maître d’arme (ami de son père ?). La soirée est très animée ce soir là, deux prêtres offrant régalade sur régalade ; une superbe brune invite nos trois amis à se joindre aux prêtres pour une histoire de pari, le reste de la soirée devient confus et est une longue succession de verres. Réveillé par la jeune femme brune, alors qu’il gît par terre, on lui explique qu’une récompense en ville est offerte à celui qui résoudra un petit problème. Deux marchands de la ville sèment le trouble en ville par leur querelles incessantes, en fait ils s’accusent mutuellement d’avoir volé l’autre dans une affaire d’objet convoyé dans un coffre. Très rapidement Ghorkan acquiert la certitude de leu innocence et ses soupçons s’orientent sur les convoyeurs. Après avoir interrogé le premier, ses soupçons se confirment mais il veut quand même voir le second, ce dernier lui semble innocent. Il est déjà tard et pour être sur de son fait il vérifie grâce à Dale si le coffre à bien transporté quelque chose et n’a pas été trafiqué par magie. Dale lui confirmera que ce n’est pas le cas, ajoutant que l’objet transporté était très puissant et qu’il doit le retrouver au plus vite, Ghorkan lui parle de ses soupçons.

Il va se reposer et attends le lendemain pour aller revoir le premier convoyeur, surprise ce dernier vient à sa rencontre en lui annonçant que Dale a été assassiné. Ghorkan ne le croit pas mais joue le jeu et le suit, il arrive ainsi dans une impasse ou gît un corps, surprise c’est celui du second convoyeur, son collègue se transforme alors en rat-garou. Rapidement son épée vient à bout de la créature maléfique et il part avec un prêtre de Gael pour la maison du convoyeur.

Là ils découvrent des souterrains et doivent mener de nombreux combats contre les fils et filles garou du convoyeur, Ghorkan les abattra tous (13 au total). Enfin il tombe dans une dernière salle, après que Dale les ai rejoins en renfort, où se trouve la mère des créatures ainsi qu’un mage appelé Antiles. Le combat s’annonce désespéré, lorsqu’apparaît le mage bedonnant. Un terrible affrontement de mage commence, Ghorkan ne peut rien faire il est immobilisé par magie. Alors que le combat tourne à notre désavantage, le prêtre de gael profite de ce qu’antiles est occupé pour l’assaillir par surprise et lui briser sa baguette de pouvoir. Une réaction en chaîne en découle manquant de nous tuer et permettant à antiles de fuir.

Cette aventure rapportera encore une fois de l’or pour payer ses leçons et la conviction à Ghorkan, qu’il n’aime pas les mages et se souviendra de celui-là. Il a aussi sentit le pouvoir de l’épée, ayant l’impression qu’elle l’a guérit en partie de ses blessures.

4ème aventure :

Ghorkan est remonté vers le nord pour retourner chez lui, il est à deux rivières lorsqu’il rencontre à nouveau Moog-Lee et un compagnon elfe (ils ont l’air fragile ces elfes), il rencontre aussi trois marchands leur demandant escorte jusqu’au royaume des nains, puis de là jusqu’au contrée elfique et retour à Berrabes. Après quelque discussion sur le prix, ils se mettent en route.

Ils n’ont pas fait beaucoup de chemin qu’ils tombent sur une embuscade, heureusement sons sens inné du danger a avertit Ghorkan.

Moog-lee part en éclaireur mais se fait repéré et ce sont plus d’une vingtaines de voleurs qui les chargent.

Ghorkan en abat quelques un et commence à se poser des questions sur la suite, lorsque la chute d’un rocher au milieu des voleurs les encouragent grandement à fuir. Apparaît alors un géant de 8m qui compte bien se faire un festin de leur carcasses.

Les marchands s’enfuient, moog-lee et l’elfe commence à emboîter le pas, mais Ghorkan ne fuit pas, il charge le géant.

Commence un combat de titan, si le géant a l’énorme avantage de sa force, le barbare a pour lui son extrême rapidité. Malgré tout il reçoit de sérieuse blessure, mais ce n’est rien en comparaison de celle qu’il inflige au géant. Ce dernier blessé très gravement préfère fuir.

Les marchands de retour, l’elfe lui préfère rentrer chez lui, moog-lee et ghorkan reprennent leur mission. Ils arrivent sans encombre à un village autour d’une citadelle habité par des prêtres. Après une courte halte ils reprennent leur route, mais ils tombent face à une grande troupe de kobold. Fort heureusement, ces peureuses créatures lorsqu’elles voient un terrible barbare les charger en hurlant préfèrent prendre la fuite. Malheureusement un des marchands a été gravement blessé, il est au porte de la mort. Ghorkan n’est pas un chaman, mais un-croc doit lui envoyé l’inspiration et il réussit à stabilisé le moribond. Toutefois il faut faire demi-tour vers la citadelle. Là en échange d’offrande de nourriture, les prêtres acceptent de soigner le marchand. Pendant que ce dernier est en convalescence Ghorkan décide de partir à la recherche du géant blessé, il ne voudrait pas que par sa faute ce dernier se venge sur quelques victimes innocentes. Bien qu’anciennes la piste est relativement facile à suivre et il le retrouve. Mais au moment de l’achever, un humain intervient en faveur du géant lui demandant de l’épargner. Cet humain, Eric, argue que le géant est au service de sa famille et d’habitude ne s’en prend jamais aux innocents, comme il s’est absenté cela doit être la faim qui l’a poussé à faire cela.

Ghorkan accepte alors un duel d’honneur, si il gagne le géant meurt, si Eric gagne il vivra mais lui devra une mèche de sa chevelure à titre de compensation et Eric devra s’assurer que plus jamais il ne s’en prendra à des innocents.

Le combat qui s’en suit est long et épique et contre toute attente, Ghorkan le perd. Impressionnés par leur capacités mutuelles, ils se promettent de se revoir bientôt et Eric propose à Ghorkan de lui enseigner quelques techniques et bottes que ne connaît pas le barbare.

La mèche du géant attachée à sa ceinture Ghorkan rejoins les marchands chez les nains.

Au cours de cette aventure Ghorkan réalise qu’il commence à être un formidable combattant, il commence à être en osmose avec son épée. Le magicien bedonnant lui a dit qu’elle était très ancienne et puissante, mais également qu’elle ne donnerai son pouvoir que si lui la maîtrise et devient encore meilleur. Toutefois il réalise aussi que face à un véritable maître d’arme il doit encore apprendre bien des leçons.

5ème aventure :

Rejoignant moog-lee, ce dernier est entouré de compagnons très occupés. En effet les marchands ayant besoin de quelques jours pour traiter leurs affaires, moog-lee est partit à la recherche d’un trésor fabuleux. Ils ont trouvé le lieu où est ce dernier mais il est protégé par un terrible gardien un immense démon du feu. Ils décident alors d’aller voir Erius, un dragon d’argent pour obtenir des conseils en la matière. Mais trouver sa tanière n’est pas si facile, seul un gnome du nom de fair saurait où il se trouve. Justement ils finissent par trouver sa fille fairlys qui les amènent dans la forêt où se trouve le laboratoire secret de son père. Surprise pour Ghorkan, il reconnaît les lieux, c’est la cuvette théâtre de ses premières aventures, il a alors une idée de qui est Fair le magicien gnôme.

En attendant que fairlys le ramène, il décide d’aller voit le vieux bâtiment. Dès son entré dans ce dernier il est assaillis par les goules qui ont trouvé un moyen de sortir. Après un combat au cours duquel il en tuera une bonne partie, il rencontre à nouveau les fées des bois qui lui rappellent qu’il devait enterré les corps des orques la dernière fois. Par sécurité ils brûlent les goules et les orques avant d’enterré leur cendres.

Fairlys revient avec son père (c’est bien le gnôme que connaît ghorkan), ce dernier leur apprend qu’Erius dort en son antre et qu’on ne peut le déranger. Par contre il peut nous faire rentrer dans son rêve, ghorkan aime pas trop la magie mais y va quand même.

Là il perd de vue ses camarades et se retrouve face à un géant de 8m (un autre) qui l’attaque aussitôt. Le combat sera d’une fureur sans précédent durant à peine 1 minute, à l’issue de cette minute ghorkan est très gravement blessé mais le géant est mort.

Il retrouve alors ses compagnons, ils constatent alors qu’ils sont dans une arène et le public réclame qu’ils se combattent les un les autres. Ils refuseront jusqu’au bout et de ce fait finissent par rencontrer Erius.

Ce dernier leur apprend alors qu’il est hors de question de tuer le gardien car il ne garde pas que le trésor mais aussi une porte sur le plan des enfers. La légende du trésor semble être propagé par le mal pour que des idiots réussissent à tuer le gardien et ouvrent la porte.

Dépité nos amis sortent du rêve, Fair se marre car il fut en son temps victime de la même chimère. Mais bon prince il leur offre chacun un anneau magique. Il ne leur avouera qu’après l’avoir chipé à Erius pendant qu’il était occupé avec nous.

Ghorkan retourne chez les nains, les marchands sont prêts à reprendre la route, direction le pays des elfes.

Cette aventure a conforté Ghorkan dans son idéal guerrier et son appréhension de la magie, mais il a ressentit aussi lors du combat contre les goules que l’épée a utilisé une partie de son pouvoir pour lui venir en aide et résister contre leur magie.