Biographie des personnes citées :
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Livre en cours d'écriture...
PréfaceAutours de l'histoire de mon Grand-père,se grêphe toutes les histoires et anecdoctes de ma famille, de la fin du XIXème siècle à l'année 2004...
Contact Lieux de la famille"Le jours et la nuit."
Travaux d'écriture en cours !
Prologue.
C’était une de ces journées où la clarté orangeâtre du couché de soleil illuminant cette pièce obscure, me procuré une sensation de bien être qui m’était auparavant inconnu. Je me trouvais là, dans le bureau de mon Grand-père assis à ses côtés. Mes yeux scrutaient attendrissement son profil. Le bureau était cette fameuse pièce qui m’apportait joie et chaleur en sachant que tout ce qui s’y trouvait m’était inconnu et fabuleux : c’était le trésor de mon Grand-père ! Des photos, des diplômes, des armes, … ornés merveilleusement les murs ; d’ailleurs, ce sont les couleurs de ces photos jaunies, le léger noirâtre qui laissé un aspect vieilli sur ces armes qui me laissait bouche bée devant ce passé qui me fit tant poser de questions. Par la suite, je découvris la composition de ce « trésor ». Le plus gros était situé dans un grand coffre en fer, vert. En le découvrant, je réalisa qu’a treize ans on ne peut encore tout imaginer. Je ne l’oublierais jamais. Je restai devant, ébahi et mué, à écouter mon Grand-père, me faisant le détail de ces moindres secrets. Ces couleurs et ces odeurs du passé conservées par ces objets me resteront encré en mon esprit et en mon âme. Ils étaient des plus divers et des plus farfelues que nous puissions l’en imaginer. Mais ce fut ces histoires, anecdotes et souvenirs délivrés peu à peu par mon Grand-père qui me firent et me font encore rêver.Les heures passées mais rien ne nous distrayaient, pas même cette lune bordée de ce bleu nuit, lui-même parsemé de milliers de petits points scintillants, que j’eusse observé, par un moment de rêverie. De l’autre côté de cette vitre froide, garnie, et ruisselante de gouttelettes de condensation, signe de la présence interne très chaleureuse qui régnait entre un Grand-père et son petit-fils, nous étions là. Car sous ce décor je me laissais guider par cette voix, par moment chuchotante, me dévoilant « les secrets de famille ». Ce fut des temps pareils à celui-ci qui demeure inoubliable et que rien d’autre ne peut en prendre place dans la mémoire. Tout comme ce jour cruel, où je vis ces mains si vieillies, si usées par le long labeur et par le temps, que je réalisai que l’être devant moi était malgré tout, un humain. Ce moment-là, fut une sensation de peur qui me ravage spontanément.
« … »
Enfants de COUCHOT Augustin Cimetières