L'actualité
de Michel Mohr
Pelloch 1 : du 01/11 au 15/12/2001
MICHEL
MOHR'S
PAGES PERSOS
Grâce à cette galerie
et à celles qui suivront, suivez l'actualité de Michel
Mohr en quasi temps réel. Ben oui, il faut quand même finir
la pellicule, la faire développer, scanner le tout et s'occuper
des commentaires, d'où le 'quasi'.
Vous trouverez ici un mélange de famille, d'ami(e)s, de soirées...
De plus, vous retrouverez ici en images un certain nombre d'événements
traités lors de chroniques présentes dans mon journal.
01/11/2001 : on a faim !
Chez les parents de mon beauf Fred, Pierre mon neveu attend le
début du repas dans les bras de mon père. Ce n'est
pas le début du repas qui aura lieu dans les bras de mon
père. C'est l'attente. Ben oui. En tout cas, je peux vous
dire que le gamin, il ne faut pas lui en promettre : on voit bien
qu'il est hyper concentré pour ne pas louper le top départ
vers la salle à manger. C'est pas encore aujourd'hui qu'il
sautera un repas.
01/11/2001 : la star
Juste après l'effort, la star veut bien se laisser photographier
avec ses parents Martine et Fred. Mais à condition qu'on
lui donne du dessert. Faut pas déconner non plus !
01/11/2001 : on avait faim !
En plus, il y avait toute la famille, sous-entendu que Christine
et Manu étaient compris dans le prix. On croirait que ma
soeur à 15 ans sur cette photo. 'Et Christine, le permis,
c'est pour quand ?'. En fait, elle en a 28. Mais bon, c'est ma
petite soeur quand même. Comme d'habitude, vous voyez que
ça a tourné à l'Evian pendant le repas. Il
y a des traditions qui feraient mieux de se perdre, c'est moi
qui vous le dis...
02/11/2001 : là c'est du sérieux
Chez mes parents à Metz, mon père, Manu et Christine
au bar en train de prendre l'apéro. Moi je prends la photo
mais il ne faut pas vous inquiéter car l'apéro c'est
pour après. Là ça tourne plutôt au Banyuls
et au Guignolet-Kirsch (bah ! du jus de fruit !). Mon père
est en train de montrer à mon beauf les dernières
innovations technologiques en matière de téléphonie
mobile. Enfin, quand le téléphone est allumé.
Et qu'on entend la sonnerie. Et que quand on allume le téléphone,
on va voir s'il y a des messages. La première leçon
n'était pas payante, la deuxième moins sûr...
02/11/2001 : là c'est encore du sérieux
Heureusement que tout le monde ne picole pas dans cette famille,
sinon je ne sais pas ce qu'on mangerait. Là, c'était
au tour de ma mère de préparer le repas. C'est bizarre
mais j'ai bien l'impression que c'est souvent son tour. Il n'y aurait
même qu'un seul grand tour dans cette famille que cela ne
m'étonnerait pas outre mesure. Enfin bon, c'est sûrement
pas moi qui vais râler !
Entre le 2 et le 18/11/2001 : vous comprenez maintenant ?
Alors voilà, je fais des chroniques et personne ne me croit.
Mais quand on a l'image, on la ramène déjà
moins, non ? Ben voilà, c'est donc la mise en scène
de la problématique du Havane en milieu urbain. Il y a tellement
de fumée que l'appareil n'a pas réussi à faire
la mise au point sur quoi que ce soit. Comme l'appareil est posé
sur la télé, cela prouve que la télé
ne me voit pas. Et donc que moi je ne vois pas la télé
non plus. CQFD.
18/11/2001 à 19h : avant
Laurent, un ancien collègue et Myself. Tels que vous nous
voyez, nous sommes en train de fêter l'anniversaire d'Olivier,
le gars qui n'est pas encore arrivé. En fait, l'Olivier avait
donné rendez-vous à tout le monde chez moi parce qu'il
bosse tard le bougre. Pas gêné quand même. Remarquez,
c'est vrai que comme moi je suis ouvert 24h/24, c'est plus pratique.
Nota : cela ne veut pas dire que Laurent ne bosse pas mais lui il
se fait expulser de sa boite à 18h30. Voilà ce qui
arrive quand on met la pagaille !
18/11/2001 à 00h : après
Après le resto (c'est quand même pas moi qui allait
faire la bouffe non plus. Je veux bien être gentil mais il
y a des limites), on a pris un petit Whisky. Toujours chez moi.
Mais là c'est beaucoup mieux parce que chez Olivier (le premier
à gauche), c'est tournée de Pampryl, rasades de Fanta
(oui mais orange) et douches au Coca light sans sucre, sans bulles
et sans caféine. Alors que là, nous avons eu droit
à l'expertise du néophyte concernant le breuvage d'origine
distillatoire. C'est bizarre mais plus la nuit avance, plus les
verres se vident et plus on rigole comme des cons. Bizarre...
24/11/2001 : la soirée de ouf !
Voici une photo de la fameuse soirée de 90 personnes à
Paris qui m'a valu le retour dans le fameux bus de nuit. Comme c'est
la seule photo où je suis, je tenais à la mettre,
histoire de prouver ma bonne foi. Là je suis en train d'expliquer
mon cas à qui m'a posé la question 'Et toi, tu travailles
où ?'. Vu la complexité du sujet, j'ai préféré
m'adosser au mur, qui lui a tenu le coup.
24/11/2001 : Vinceen pleine action
Vince est un ancien collègue et la seule personne que je
connaissais lors de cette soirée. Remarquez, comme c'est
lui qui m'avait invité, il est normal que je le connaisse.
Je dirai même plus que c'est parce qu'il me connaît
qu'il m'a invité. Donc pour résumer la situation,
on se connaît. Et pis c'est tout.
Moi, je dis que Vince, quand il rigole, il ressemble à
Mister Magoo. Mais ça, ça ne le fait pas rire. Du
coup, il a les yeux ouverts, et du coup il voit que c'est moi
qui ai dit cette connerie. Mais bon, ce n'est pas grave puisque
je suis encore invité.
24/11/2001 : les colocs
Voici les 3 colocataires : Hugues, Sabrina et Vince. Et c'est
l'arrivée de Sabrina dans le loft qui a déclenché
l'organisation de la soirée et tout le bazar. Parce que
chez eux, quand il y en a un(e) qui part, il y en a un(e) qui
entre. Et le public ne vote pas. Il est invité, et c'est
déjà pas mal.
01/12/2001 : la totale
Ma mère et Pierre, entourés des accessoires indispendables
à une bonne photo prise en milieu naturel, à savoir
: tabourets, bar, ampli, guitare, verre, affiche Amos (la bière
de Metz, c'est écrit dessus), cendrier spécial cigare,
canapé et cactus en bois. Même qu'on peut voir l'affiche
de bières de mon entrée.
01/12/2001 : ce serait pas l'heure de manger des fois ?
Pierre tout sage attendant que papy se réveille pour pouvoir
foutre le souk. Non, je déconne, c'est juste l'heure du
goûter qui approche. Alors ce n'est pas le moment de s'assoupir.
01/12/2001 : tu restes là maintenant !
Tentant de s'évader, mon père rattrape juste à
temps le sacripant.
07/12/2001 : le soir de la raclette chez Gilles
De gauche à droite : Isabelle, Sylvie, Gilles, Carine,
Emmanuel, Arnaud et Béatrice.
Gilles est un ancien collègue que vous connaissez sûrement
si vous lisez les chroniques, le livre d'or et le texte des galeries.
Euuhhh...j'ai un doute : je me demande si Carine elle s'appelle
bien Carine. Par contre, je suis sûr qu'elle est prof d'anglais
et que son mari (Emmanuel) est aussi prof. Vu qu'on a passé
pas mal de temps a les écouter nous raconter les aberrations
et situations paranormales auxquelles ils font quotidiennement
face. Mais rassurez-vous, les autres ont parlé aussi. Parce
que nous ça fait bien longtemps qu'on ne lève plus
le doigt pour demander la parole. La parole est à tout
le monde et chacun peut la prendre. Et on ne s'est pas gêné.
14/12/2001 : ça rigole
De gauche à droite : Estelle, Jean-Hugues, Isa et Vinz.
Sur le coup cela ne m'avait pas frappé (bizarre non ?)
mais maintenant je me dis qu'ils sortaient peut-être d'un
enterrement avant de venir chez moi. Encore qu'ils rigolent tous
sur la photo. Mais bon, comme c'est après le repas et les
boissons, j'ai un doute maintenant...
15/12/2001 : opération 'Si vous m'énervez,
je me lève et je me casse !' Pierre se prépare à sortir à Paris pour
une soirée. Là, il ne peut plus bouger. En plus,
s'il tourne la tête, son bonnet ne tournant pas, il ne peut
plus respirer. Mais il ne faut pas tarder à y aller parce
que ça commence à le chauffer drôlement.
15/12/2001 : invités et invitants Soirée chez Michel et Sandrine. Avec ma soeur Martine
et Fred. Au jeu de qui est qui, référez-vous aux
galeries famille ou/et amis parce que ce sont toujours les mêmes.
Ben oui, je ne change pas de soeur comme je veux non plus. Et
puis en plus je ne veux pas.
15/12/2001 : Après la choucroute appartement, il peut faire -10°c
dehors, moi je m'en fous, je suis en tee-shirt. En plus, ce qui
va arriver ne va pas nous laisser le temps de nous refroidir.
15/12/2001 : après l'effort, le réconfort Après le repas, rien de tel qu'un cigare avec un bon
whisky. Comme il fait froid dehors, on fume fenêtres fermées.
Mais comme on n'est pas chez moi, c'est pas grave. En plus, il
n'y a pas de télé à voir donc je vous le
demande : où est le problème ? Bon, c'est vrai qu'après,
c'est un peu Londres dans l'appartement. Mais sans les retards
d'Eurostar !
15/12/2001 : opération 'Si vous m'énervez,
je me réveille et je me casse !' A 2 heures du mat, c'est sûr que Pierre, il ne fait
pas le malin. Il est debout mais les yeux fermés. Dur dur
d'être un bébé !