22/04/2002 : Paris première !
Et voilà, cela devait arriver. A force d'habiter près de Paris j'ai fini par m'y rendre pour faire le touriste. Mais au moins moi, j'ai une excuse puisque c'est uniquement pour faire découvrir la capitale à Christine et Manu que je me suis promulgué organisateur en chef, avec carte routière obligatoire même si le tout s'est fait à pieds. Suivez le guide !
Là, arrivée au RER Tour Eiffel/ Champ de Mars : passage sous la Tour Eiffel (de toute façon on n'avait pas le temps de faire un détour pour passer au-dessus) et traversée du parc du champ de Mars ou de fin Avril, je ne sais plus.

22/04/2002 : les provinciaux de sortie
Là, c'est pour prouver ce qu'on avance, à savoir qu'on visite. Et qu'on avance aussi puisqu'on voit parfaitement Christine et Manu qui sont Avenue de Breteuil, devant les Invalides. Et non l'inverse. Quant à moi je suis aussi devant les Invalides (au second plan, faut toujours être précis...), mais tourné dans l'autre sens. La prochaine fois je ferai des schémas en plus des photos pour être clair parce que je sens qu'on ne sait plus qui est invalide et qui ne l'est pas.

22/04/2002 : arrête de faire le pont !
De l'autre côté des Invalides, ce sont toujours les Invalides. Comme quoi, on se demande des fois si ça valait le coût d'en faire le tour. Enfin. Par contre il y a ici le pont Alexandre III qui se trouve au dessus de la Seine. Pas con comme principe.

22/04/2002 : un Mars (Avril ?) et ça repart
Une petite pause sur un pont qui n'a pas de nom entre le pont de la Concorde et le pont Royal qui eux en ont un chacun, de nom. De plus c'est un pont sur lequel il n'y a pas de voitures, ce qui est rare. On voit au fond le Grand Palais qui parait aussi petit que le Petit qui en fait est si petit qu'on ne le voit plus. L'Invisible Palais en quelque sorte. Le nom des monuments, c'est vraiment du n'importe quoi.

22/04/2002 : Sésame, Louvre toi !
Après avoir traversé le tunnel sous le pont sans nom et le jardin des tuileries nous voici face au Louvre où je confirme que personne ne la ferme. Y compris le Lundi mais seulement jusqu'à 17 heures.
Nota : les Kango, Golf et autres charrettes ne sont pas d'époque.

22/04/2002 : l'Art et la manière
Comme c'est avec nos sous que sont financées les expos à la con du Palais Royal, je ne vois pas pourquoi on n'en profiterait pas de temps en temps.
L'occasion de réfléchir notre image et d'immortaliser ce qui semble être une représentation symbolique de l'expression 'avoir les boules et prendre l'eau de toutes parts'. Ben quoi, chacun y voit ce qu'il veut non ? En plus on se voit dedans.

22/04/2002 : l'Art
Encore une histoire de pétanque qui nous a donné l'occasion, quand on y réfléchit, d'être tous les trois sur la même photo que j'ai dû néanmoins retoucher numériquement afin d'effacer deux américains en shorts derrière la sphère. A moins que ce ne soient des allemands. Mais en short de toute façon.

22/04/2002 : "Bonjour, c'est pour connaître l'état de mon compte !"
Avant de faire des folies Place Vendome, il vaut mieux s'assurer que le compte en banque est à flot sinon il faudra revenir plus tard pour la rivière de diamants.
Après nous sommes passés voir l'Opéra, l'Église de la Madeleine (qui ne pleure apparemment plus), le palais de l'Élysée et nous avons remonté les Champs Élysées. Mais comme c'est hyper connu, je n'ai pas fait de photos contrairement à la Tour Eiffel, aux Invalides...

23/04/2002 : de bon matin
Deuxième journée du périple qui se prépare par le petit déjeuner des héros. Bon, c'est sûr qu'on n'était pas nets nets et qu'on se rapprochait plus des invalides que la veille alors qu'avant on était juste devant à l'époque. Pas net tout ça je vous dis. Mais bon, comme l'appareil m'a été DONNE par ma soeur, je ne peux pas faire le difficile en plus !

23/04/2002 : sacré montée
Cette fois-ci changement de décor avec la visite du Sacré Coeur. Là je n'ai rien de particulier à dire. Rien. Alors je me tais. Si. Complètement ? Ah bon.

23/04/2002 : la France en marche
Aux prochaines élections, quelles soient présidentielles ou pas, je me propose de faire les photos officielles des candidats pour pas un rond. D'une part parce que si je les vends elles vont me rester sur les bras, et d'autre part parce que je suis hyper fort pour prendre sur le vif une situation aussi brève que métaphorique.
Après on a tourné dans le quartier pour tenter, sur une idée des deux zigomards de la photo, de trouver le bar d'Amélie Poulain qui comme chacun le sait se trouve à Montmartre. Enfin, moi je dis ça mais je pourrais y boire une bière que je ne le reconnaîtrais pas ce café à la noix qui nous a fait perdre une heure sur le planning. Parce que pour reconnaître quelque chose il faudrait au moins l'avoir vu une fois auparavant.

23/04/2002 : la tournée des églises
Après un petit coup de métro, histoire de rattraper le temps perdu, nous voilà devant Notre Dame. Pas de Quasimodo et encore moins d'Esméralda à l'horizon. Ça ne m'étonne pas, à notre époque ils doivent plutôt habiter un petit quarante mètres carrés à Courbevoie, près du Monoprix. Et le Quasi il doit bosser comme pas deux pour payer les charges. C'est plus ça que je dis !

23/04/2002 : à Saint-Sulpice, je...
Après avoir déambulé dans le quartier Saint-Germain, nous voilà place Saint-Sulpice avec une belle Eglise et une belle fontaine. Avec de l'eau. Bon, je ne m'assoies pas vu qu'on est encore en retard...

23/04/2002 : comme à la maison
A force de speeder voilà qu'on a fini par être en avance sur l'horaire. Du coup il a fallu faire une pause au jardin du Luxembourg. Vu que Christine et Manu bossent au Luxembourg, se taper deux jours de marche pour se retrouver là où ils vont chaque jour de la semaine quand ils bossent, moi à leur place j'aurais eu les boules. Celles du Palais Royal par exemple. Tout se recoupe.

23/04/2002 : on attend
On attend de ne plus être en avance avant de continuer notre périple. En plus, comme c'est moi qui ai les cartes, les boussoles et les tickets de train, Christine ne risquait pas de s'enfuir.
Donc après, passage Rue de Rennes (à la FNAC) puis Gare Montparnasse pour le retour en banlieue. Une bien belle aventure.

28/04/2002 : Marc et Gilles
A l'anniversaire de Gilles, on mange des gâteaux et on boit. Bref, rien de neuf par rapport à quand on avait 10 ans. Sauf que là on ne boit pas que du coca. D'ailleurs on n'en boit plus du tout. Jamais. Never coca cola.

28/04/2002 : j'y étais
Il est vrai qu'à force de ne pas me voir on peut douter. Ben oui, qui se tient derrière l'objectif avec l'objectif d'impressionner la pellicule ? Cette fois-ci ce n'est pas moi. Donc comme je le disais on mange et on boit.

05/05/2002 : les voitures, c'est son dada
Pierre en train de garer ses voitures, sa seconde grande passion après la bouffe. Mais bien loin derrière quand même.

12/05/2002 : sortie de l'Alfa
Sortie au resto avec Christine, Pierre, Manu et ma mère à Amnéville les thermes. Tous les autres sont là aussi mais ailleurs. Sûrement déjà à table.
Nota : comme il faut commencer le plus tôt possible l'éducation des gamins, les parents de Fred ont offert une Alfa 156 à Pierre. Miniature bien sûr, mais cela portera ses fruits plus tard...

12/05/2002 : la classe
Chez mes parents. Comme il n'y a pas de moment précis pour faire un calin à son Papy, eh bien c'est tombé juste au moment de la corvée de descente des poubelles à la cave. Comme vous le voyez clairement, c'est vinasse et crème au chocolat à foison pour tout le monde ce soir-là.

12/05/2002 : sans poubs c'est mieux
Chacun son tour. Sans commentaires.

13/05/2002 : little Bouddha
Oui, mais un jour il sera grand. D'ailleurs il prend déjà la place du chef, assis sur son coussin fétiche (au chef, pas à Pierre). Bref, quand on est petit tout est permis. Alors moi et mes 1 mètre 98, pas la peine de vous faire un dessin...

13/05/2002 : pause pas pipi
La position du penseur. Certains officiaient sous les arbres, Pierre lui officie sur le pot. Qui a raison ? Qui a tort ? L'histoire seule le dira.

13/05/2002 : je reviendrai
Et voilà, il ne manquait plus que Mamie Jo et la boucle est bouclée. Histoire de remercier celle qui fait tous les repas. Il faut avouer que ça a l'air de lui plaire. Et le reste aussi.