L'actualité de Michel Mohr
Pelloch 7 du 24/12/2002
 
MICHEL MOHR'S
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Moins de discours, plus de photos : du réveillon vous allez en bouffer.

 


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Petit mot dans le livre d'or
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24/12/2002 : la foire aux sacs
Dans l'ordre : la mère de Fred, Christine, ma mère, Fred, Martine (avec un super joli sachet flashy dont on reparlera) et Pierre (en bas à droite).
Le soir du réveillon, allez comprendre pourquoi, c'est la course aux sacs. Chacun à le sien. Vous m'excuserez mais je n'ai pas pensé à photographier les cadeaux avant leur déballage. D'un autre côté comme mon appareil photo était aussi un cadeau j'aurais eu du mal vu qu'il était emballé. Bon, vous avez déjà les sacs, c'est déjà pas mal.

 

24/12/2002 : la collecte
Comme ce qui est intéressant avec les cadeaux c'est de les offrir, nous ensuite on les jette puisqu'après, forcément, c'est beaucoup moins intéressant. Toujours pas de cadeaux à l'horizon. Par contre des sacs, il y en a des tas.

 

24/12/2002 : en voilà un
Sûrement un cadeau d'un artiste inconnu mais qui mériterait largement de le rester. Ben oui, d'après la pochette je vois bien que ce ne doit être ni un Massacra, ni un Entombed et ni un Obituary. Donc c'est bien ce que je dis. D'un autre côté ce n'est pas moi qui en ferai la promo.

 

24/12/2002 : Disco
Soirée disco pour Manu avec sa chemise qui ressemble étrangement au magnifique papier d'emballage que ma soeur tenait sur une des photos précédentes. De là à dire qu'il y en a un qui est habillé comme un sac, il n'y a pas loin...

 

24/12/2002 : le système
Pendant que Christine s'interroge sur le contenu de son assiette, Manu a enfin trouvé un système anti yeux rouges efficace. Histoire sans doute de ne pas faire doublon avec sa chemise.

 

24/12/2002 : 3,2,1...
Mon père en pleine concentration dans les starting blocks en attendant le signal du top départ. Il faut dire aussi qu'en cas de faux départ on se fait engueuler alors... Pendant ce temps-là Christine en termine avec l'échauffement.

 

24/12/2002 : tout pareil
Dans les mêmes starting blocks mais apparemment plus détendues que mon père. Mais méfions nous des gens qui paraissent plus décontractés que les autres. C'est juste pour mettre la pression. C'est que c'est du sport cette histoire.

 

24/12/2002 : qualifié aussi
Faisant parti de la course, Fred sur la ligne de départ en train de finaliser lui aussi sa préparation. C'est qu'il vaut mieux ne pas démarrer à froid sans cela c'est le claquage assuré dès l'entrée. On a beau être entraîné, il vaut mieux assurer le coup.

 

24/12/2002 : pas effet d'optique
On sent bien qu'après le tour de chauffe on va passer au sérieux genre magnum de Cornas (avec un R). Mon père toujours concentré qui ne va pas tarder à accélérer.

 

24/12/2002 : tu l'as vu celui-là ?
Manu qui prend une leçon d'oenologie : 'Regarde petit, on jurerait qu'il y a de la pomme là-dedans'.

 

24/12/2002 : si si
'Je vous jure qu'il doit y en avoir. Je la vois, juste au fond à droite.'

 

24/12/2002 : vérification
Vérification du phénomène pour s'assurer que, oui, effectivement, il y en a. Avec un petit goût de betterave. Aussi.

 

24/12/2002 : 50%
Ça c'est ce qu'on appelle un sourire à pleines dents du haut. Parce que pour le sourire, j'ai bien constaté que les dents du bas ne servent à rien.

 

24/12/2002 : ils sont là
Apparemment ma mère les a vus. Nous non, mais elle oui. Du coup Fred se demande bien s'il va s'en prendre une ou pas. Je veux parler de la part de dessert, bien sûr.

 

24/12/2002 : comme les grands
Un verre pour Pierre qui profite de l'événement. Mais lui, il ne sentira pas le goût de pomme. Trop jeune pour ça. Pour l'instant il se contentera du raisin.

 

24/12/2002 : repos
Ma mère peut enfin se reposer après avoir cuisiné pour tout le monde, comme à chaque fois. Du coup elle est plus détendue. Et classe avec son tablier.

 

24/12/2002 : le point sur la situation
Pendant que ma soeur a l'air de faire des économies et que mon père est en train d'avaler la dernière gorgée de Cornas, Manu, ayant fait le plein par application du phénomène des verres communiquants, ne sait plus vraiment de quoi il s'agit dans cette maison de fous où on jette les sacs, où les pommes poussent dans des verres et où seulement une dent sur deux sert à quelque chose. Il va finir la tête dans le sac ou je ne m'y connais pas.