Les ami(e)s de Michel Mohr
Part II
 
MICHEL MOHR'S
PAGES PERSOS
 
Ce n'est pas que Michel Mohr a trop d'amis. Non, ce n'est pas ça.
D'ailleurs en ce domaine il privilégie la qualité et non la quantité.
Par contre, mine de rien, il possède beaucoup de photos.
 


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Petit mot dans le livre d'or
Email à Michel Mohr
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Laurence et Stef (suite)

1995 : à l'extérieur
Rassurez-vous, des fois j'allais aussi les envahir à Lyon, il n'y a pas de raison. Et comme les mêmes causes produisent les mêmes effets, eh bien on visitait aussi des trucs que nous ne serions jamais allés voir sinon. Là c'était un musée de l'automobile, je ne sais plus très bien où. Par contre je sais qu'il y avait Laurence et sa mère Nicole. Je ne sais pas pourquoi mais j'en suis sûr.

1995 : retour à Paris
Laurence, Stef (son mari) et Myself.
Après quelques années d'errance en région Lyonnaise, les voilà revenus à Paris. Et c'est tant mieux.

1995 : on n'est pas informaticiens pour rien
Toujours avec Stef qui pilote l'ensemble à la souris. Moi pendant ce temps-là, je montre mon sponsor du jour et je surveille l'autre qui ne regarde pas l'écran pendant la manip. Forcément ça va marcher beaucoup moins bien...
Nota : remarquez au milieu en bas l'apparition subliminale des éléments caractéristiques de la Old Lager.

 

1995 : boulette !
Et voilà, ce qui devait arriver arriva. Très certainement la boulette informatique. Et moi j'aime pas les boulettes.

 

1998 ? : un bien beau tour du monde
Anselme rend visite à Stef et Laurence lors de son tour du monde. Du coup j'ai été invité à fêter cela.
De biens beaux souvenirs parce que Anselme, maintenant qu'il est aux States, je ne l'ai pas revu depuis. Je sais que c'est de ma faute puisqu'il m'avait invité à venir le voir avec Stef et Laurence. Mais je n'avais pas voulu. Pourquoi ? Je vous ai dit que j'étais quelqu'un de spécial. Je voyage dans ma tête. Sans billet, en première classe et vers des destinations desservies par aucune autre compagnie que la mienne...
En tout cas j'espère qu'il s'est remplumé le Béninois parce que même moi j'étais plus gros que lui. C'est vous dire...

 

04/2000 : une bien belle visite
Et voilà Paul, le fils de Stef et Laurence, né le 16/04/2000, le jour de l'anniversaire de sa mère. Maintenant il est bien plus grand. Il cavale sans arrêt à la recherche de quelque chose qui visiblement doit se trouver constamment devant lui, mais que nous on ne peut pas voir. Pas de chance Paulo ! En tout cas, vous pouvez me faire confiance, il y aura droit à la fameuse réplique 'Paul, une tourtel !', même si la Tourtel ça fait mal aux épaules ;-)
Notez ma technique d'approche très largement éprouvée qui permet de ne pas réveiller le gamin tout en ayant l'air vachement à l'aise avec lui.
En arrière plan, la mère de Laurence, Nicole, bien contente d'être grand-mère. Bonjour Nicole !

 

Août 1997 : week-end canoë
Comme Laurence a de la famille qui possède une grande maison à Paluaud, elle n'hésite pas à inviter quelques amis à venir faire du canoë. Pour info, il est inutile de chercher l'endroit sur une carte, c'est pas indiqué. Même sur la route c'est pas indiqué, c'est pour dire !
Le programme du week-end : sport à tout va, barbecue et église troglodytique. Là on fait du ping-pong ou du baby-foot, car on ne peut pas faire du canoë tout le temps parce que ça fait trop mal aux épaules.
De dos, c'est Alex. Il m'a battu. Ça m'énerve.


Août 1997 : l'éclate
C'est bien beau de rigoler mais il y a des moments où il faut au minimum faire semblant d'aider à faire la cuisine. Là, Alex et moi-même sommes en train de faire la peau à des aubergines. Et pendant ce temps-là, en arrière plan, Laurence et Ariane s'affairent pour pouvoir accueillir le fruit de notre travail. Enfin, plutôt les légumes de notre travail...

 

Août 2001 : et ça c'est pas du canoë peut-être ?
Et en 2001, on remet ça. Pas avec les mêmes sauf moi bien entendu qui suis toujours partant. Et arrivant aussi du coup. J'étais dans le bateau avec Diem que l'on voit ici en train de ramer. Mais bon, comme elle ramait tout le temps on n'a pas pu faire une photo au repos. Elle m'engueulait parce que moi je ramais pas qu'elle disait. Mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'à l'arrière, c'est la finesse et la précision du pilotage qui priment, sinon c'est dans le décor que ça se termine. D'ailleurs on a changé une fois de place et elle s'est rendue à l'évidence. Parce qu'à l'arrière c'est super tactique. Alors c'était mieux comme ça. Elle rame et moi aussi. Mais moins quand même...

 

Août 2001 : au bord du gouffre
Vu d'ici ça ne parait pas mais c'est assez impressionnant quand on y est. Et humide aussi. Surtout à l'atterrissage. D'ailleurs, j'ai bien failli casser mes 2 tibias et être éjecté du canoë. Sans compter Diem qui a failli périr noyée.
Après on s'est rendu compte qu'on avait fait une erreur : comme Diem était assise sur la place de devant, le bateau à piqué du nez trop rapidement d'où le crash. On pense que si elle s'était assise à la place du milieu, le bateau aurait sûrement atterri à plat et sans heurts, comme ceux des autres. C'est ça aussi les ingénieurs. Ça réfléchit après avoir fait des conneries, histoire de comprendre. Cela ne sert à rien puisque le mal est fait, sauf à nous culpabiliser après d'être aussi bêtes. Nous c'est quand on a la solution qu'on trouve le problème.



28/02/2002 : la famille Gbad'massi s'agrandit
Naissance du deuxième enfant de Rafi et d'Anselme. Comme ils font les malins aux States, je peux juste vous dire que le petit dernier pèse 8lb 7oz et qu'il mesure 22 inches...euh...ben visiblement ça doit être bien. Par contre je sais seulement que c'est un garçon car pour ce qui est du prénom il va falloir attendre vu qu'on ne comprend pas encore ce qu'il dit. En fait c'est que le père ne répond plus à e-mails et comme je ne veux pas les harceler (aux USA ça ne rigole pas avec ça), je crois que je ne suis pas prêt de savoir. En tout cas, l'ainé c'est Othman. Ça, c'est sûr.



JP - Gilles - Alexis - L'inconnu(e)

 

1994 : JP chez les teutons
Après une année de divagation dans le pays de la saucisse (et de la bière, il n'y a pas que des points négatifs là-bas), le sieur JP s'est exilé dans la Bretagne profonde avec sa femme et son fils Maxime pour sévir dans la téléphonie immobile.
Notez qu'en Allemagne, il s'est vite fait repérer puisqu'on le voit ici avec sa camisole après son évasion de l'asile d'où jamais il n'aurait dû sortir. A ma connaissance, il la porte toujours. Faut croire qu'on finit par s'habituer à tout. En plus, cela lui tiendra chaud l'hiver.
Notez que la photo a été retouchée par ses soins. Je pense qu'il devait encore tenir une canette, vous savez, la femme du canard...


1994 : JP les yeux bandés, le dos contre le mur
Cette photo, je ne l'ai pas mise pour que vous puissiez voir JP dans le blanc des yeux. Non, vous ne pouvez pas faire ça sinon il devient tout rouge. Mais bien pour vous faire admirer ses appendices capillaires forts développés à l'époque. Par contre je ne sais pas s'il le valait bien.

 

1995 : Regardez moi c'vieux mytho !
Voilà Gilles qui se la donne. Avec ses groupies (de gauche à droite Catherine, Anne, je sais pas qui et je sais plus qui).
Peut-être pendant le tournage d'un clip avec son groupe Hiatus ou Météo Marine ou je ne sais pas quelle autre excuse du genre. Faut dire qu'il ne ma pas abreuvé de détails sur cette affaire. Troublant non ? Si Sylvie savait ça...

 

2001 : la star
Figurez-vous que je connais des stars. Des vraies. Enfin 'des', disons une. C'est Alexis, un copain de promo. On était bizuth dans la même classe. Un ami depuis 87 ! Bon faut reconnaître que de 92 à 2001 je ne l'avais pas revu. Et puis, grâce à une connaissance commune (Marc le plasticien), nos routes se sont croisées à nouveau. Lui aussi il a lâché la rampe. Il est prof à mi-temps et le reste du temps il joue dans des groupes de jazz avec concerts, CD et tout le tintouin. Et ce n'est pas le seul à ne pas suivre le chemin d'une carrière toute tracée parce que Franck qui était aussi avec nous en 87 à l'INSA, il a arrêté de bosser pour suivre des cours de musique genre 'Ecriture symphonique, orchestration, musiques de film...' pour en faire son métier.
Moi ça me fait bien plaisir de voir des gars vivre leurs passions et prendre leur vie en mains.

 

2001 : Pierrette et les 2 gros pots de lait...
Je sais qu'il y en a qui lâchent la rampe, mais quand même il y a des limites. Je dirai juste que c'est une connaissance. Eloignée. Même pas quelqu'un qui réside en France, c'est vous dire ! Le pire c'est pour sa famille parce qu'en plus il est marié avec un enfant (NDLR : cela ne veut pas dire qu'il a épousé un gamin, restez sérieux).
En tout cas, ça ne donne pas envie de s'expatrier. De plus, il ne sait même pas que je possède cette photo qui m'a été donnée par quelqu'un de sa famille. Bonjour la famille (et merci Michel) ! Toutefois, il est réconfortant de voir que Pierre ne renie pas ses origines alsaciennes puisqu'on peut apercevoir au moins 3 fûts de la boisson spirituelle.

 

 

Sandrine et Michel

 

1972 ? : souriez vous êtes filmés !
Et voilà Michel. Il file des photos à n'importe qui sans s'imaginer qu'il y a un gars qui va en profiter pour la mettre sur internet. Bon, pour l'instant t'es relativement tranquille vu que personne ne peut faire le rapprochement avec ton faciès actuel. Mais profites-en bien parce que ça va pas durer. Et puis tu peux dire à Sandrine, qui se marre à côté de toi en voyant ta tronche de petit chanteur à la croix de bois, de bien en profiter aussi. Parce que je vais m'occuper aussi de son cas. Chez moi, y'aura pas de jaloux, y'en aura pour tout le monde. Et même plus...


2001 : Sandrine et Michel
Sandrine, je la connais depuis toujours : elle est l'une des filles d'une amie d'enfance de ma mère. Et Michel, son ami, ça fait aussi un sacré moment que je le connais. Pendant mon service militaire, j'habitais près de chez eux. Je me souviens de certaines soirées foot où la limonade ne gagnait jamais...
Et maintenant, toujours à Paris, je les vois régulièrement avec ma soeur Martine et mon beauf. Et mon neveu.
Bref, quasi de la famille.

 

Mai 2001 : 40 ans ça se fête
Bien qu'il n'y ait pas de quoi être fier, ni d'avoir honte d'ailleurs, Michel a fêté ses 40 ans. Avec pleins d'amis. Pour 3 quarantenaires, on était environ 70-80 à avoir été invité pendant un week-end au Club Med de Forges-les-eaux. Classe. Et surtout bien sympa. Comme d'habitude tous les prétextes sont bons pour picoler, vous vous doutez bien qu'on n'a pas loupé celui-là. De gauche à droite : Martine (ma soeur), Fred (mon beauf), Pascal et Sabine (des amis de Sandrine et Michel) et Myself. On est habillé classe sinon on ne pouvait pas entrer au Casino qui se trouvait juste en face.
Parce que nous dans les Casino, on est des vrais ouf. Alors dans les Géant Casino, je vous laisse imaginer...

 

Mai 2001 : présentation des équipes
Comme d'habitude lors de ce genre de week-end, il y en a toujours un pour mettre au programme un match de foot en plein cagnard juste le lendemain de la soirée où on ne s'est quasiment pas couché.
Entre les asthmatiques récursifs, les quarantenaires à bout de souffle et les fatigués de naissance, ça n'a pas été joli-joli à voir. Par contre à jouer c'était plutôt bien marrant. Tiens, au fait vous reconnaissez le troisième accroupi en partant de la gauche ? Pas joli-joli, je vous l'avais bien dit.

 

Mai 2001 : la preuve en image
Si c'est pas la preuve que c'était du n'importe quoi, je ne vois pas ce que c'est !
Je vous explique : tout d'abord, moi j'applique les règles du football européen et américain en même temps. Donc, je protège mon coéquipier Michel en empêchant l'agresseur de nous piquer le ballon. Bon, faut reconnaître que je ne regarde pas vraiment le ballon, et que Michel, on sent bien qu'il n'est pas sur le coup non plus. Mais lui c'est l'âge, pas les règles du jeu. D'ailleurs, notre gardien à tellement peur d'une boulette maison qu'on a l'impression qu'ils ne sont pas dans la même équipe.

 

Mai 2001 : y'a pas faute
La suite comme si vous y étiez. En réalité, il faut que je vous avoue qu'il n'y avait pas faute du tout et que c'est l'attaquant (qui se vautre sur cette image) qui m'avait agrippé sur l'image précédente. Mais le photographe était encore placé n'importe comment. D'ailleurs, le salopiot fait une seconde faute en chopant le bras de Michel qui finira par terre.
Notez que le gardien n'est toujours pas vraiment rassuré.

 

Mai 2001 : retrouvailles
Au bout de quelques minutes de jeu, deux joueurs, s'apercevant qu'ils se connaissaient depuis longtemps fêtent leurs retrouvailles en plein milieu du terrain. Moi je dis que le foot, c'est vraiment n'importe quoi...