La bière et Michel Mohr
 
MICHEL MOHR'S
PAGES PERSOS
 
La bière.
Synonymes :
- la boisson spirituelle
,
- la boisson diététique de l'effort,
- la boisson de la récupération,
- la boisson de la réhydratation (eh oui, je confirme),
- la boisson de l'oubli,
...
 


visiteurs depuis le 28/09/2001

Petit mot dans le livre d'or
Email à Michel Mohr
ICQ 21340010

 
 
     
 

2002 : ce n'est pas le cordonnier le plus mal chaussé
Moi je veux bien rigoler mais il y a quand même des limites. Surtout au niveau de la capacité de stockage. Pour cela je vous livre quelques astuces : utilisez le bac à légumes qui vous assure en permanence une température ainsi qu'un niveau de disponibilité en adéquation avec vos besoins, ayez toujours un verre disponible dans la main au cas où (on ne sait jamais) mais néanmoins n'adoptez jamais une méthode d'approvisionnement de type flux tendu sous peine d'être en rupture de stock un jour ou l'autre. Et là, ce serait la cata.
Sinon vous pouvez admirer une photo de la vitrine qui trône dans mon salon : 4 étages de verres, un de bouteilles et un autre qu'on ne voit pas avec tous mes sous-bocks (environ 400).

 

1985 : les voyages forment la jeunesse
En Angleterre, voici le genre de pub qu'on pouvait voir sur les bus : 'Guinnless isn't good for you'. Si c'est pas du détournement de mineurs ça, je ne m'y connais pas...

 

Ohhh, la belle étiquette !
Etiquette d'une bière allemande qui m'a été envoyée par JP qui en fait d'ailleurs collection. C'est juste parce qu'elle est jolie parce que sinon moi je dis que boire, c'est comme voler, c'est pas beau !

 

Ohhh, les belles études !
En 1992 nous étions en dernière année. Ceci expliquant peut-être cela. Donc comme on ne rigolait pas tous les jours, on était content d'être le soir, surtout lorsque le marchand de bières sortait du frigo que nous avions dans la chambre. Ben oui, on était prêt à faire n'importe quoi, mais quand même, on n'allait pas boire des bières chaudes en plus !
Nous étions dans ma chambre avec Stef et Patrice mon coturne de l'époque après qu'Ernest, le tri-réacteurs non certifié 'bon pour vol', ait pris une chambre individuelle.

 

Sérieux dans nos affaires
Là on jouait à je ne sais plus quel jeu. Tout ce que je sais c'est que normalement il se jouait en solitaire. Mais comme décidément tout était trop dur cette année là, on s'y était mis à deux. Très concentrés. Et moi non plus je ne lâche jamais l'affaire. Surtout de la main gauche.

 

Oh ben là, on avance bien...
Plus le temps passe, plus on boit et plus on se déride. Il n'y a pas de secrets, ça débloque pas mal la situation.

 

Ça rameute sec !
A force de parler avec un niveau sonore de plus en plus élevé, les voisins commencent à rappliquer. C'est le marchand de bières qui du coup doit passer plus souvent. Mais il est là pour ça non ? Le deuxième en partant de la gauche c'est Marc, un canadien en voie d'alcoolisme prononcé qui passait voir Stef et qui du coup squattait chez lui. Donc chez moi de temps en temps. Notez que ce fourbe de Patrice tournait plus au lait-fraise qu'à la Kro. Remarquez, dans un sens cela en faisait plus pour les autres.

 

Là, on a super-bien avancé !
Comme à l'époque on voyait grand, c'était ni la non-qualité ni la quantité qui nous arrêtait. Et tout ça s'appelle acquérir de l'expérience. Eh oui !

 

C'est bon ? Tout le monde est là ?
La foule appelle la foule. La bière appelle la bière. Encore 2 voisins atterrés par le bruit, les rires et les claquements de la porte du frigo (malgré le joint). Faut dire aussi qu'ils connaissaient les bonnes adresses. Et puis nous, on disait 'Plus y'a de fous, plus y'a de bières bues !'.
Sinon les nouveaux sur la photo sont Bruno et Anselme. On devine plus la Kro d'Anselme que son visage. C'est un peu notre étudiant sans tête à nous.

 

Ça tourne !
On changeait les équipes pour que tout le monde puisse...euh...puisse quoi ? Ben je ne sais plus en fait. En tout cas c'était pas pour boire parce que même celui qui n'était dans aucune équipe, il pouvait quand même picoler.

 

On y voit de moins en moins clair !
Stef, il croyait qu'en mettant ses lunettes il verrait mieux. Ben il aurait mieux fait de ne pas les mettre et de conserver ses dernières illusions, parce que ses troubles visuels, à mon avis, ils étaient sponsorisés par Pelforth ce soir-là. Remarquez que moi, au contraire, je n'avais plus besoin de mes verres correcteurs. Parce que j'avais ma bouteille correctrice.

 

Un petit tour, ça change les idées !
Après, on allait faire un tour (à pieds je vous rassure) histoire de passer le temps, de se dégourdir et de prendre l'air. Mais comme tout bon voyageur qui se respecte, on avait aussi quelques munitions. Ben oui, des fois que le soleil se lève brutalement. Vous n'avez jamais vu les dégâts d'une marche forcée en plein cagnard vous ? Nous on préférait prévenir que guérir.

Ça rigole encore !
Avec Marc et Stef, on pose pour la photo lors de notre périple nocturne. Et on rigole parce que c'est marrant de rigoler.

 

Je crois qu'on est paumé !
A force de marcher sans savoir où on va, eh bien on s'est paumé. Du coup, j'ai dû mettre mes talents de navigateur à l'épreuve. Là, je cherche la grande Ourse qui malheureusement était absente. Bizarre. En tout cas, encore un verre et après je me couche par terre.

 

Blair witch
Maintenant c'est sûr on est paumé. Complètement. Définitivement. Alors je laisse la trace de mes pas pour les générations futures qui chercheraient à suivre le même chemin que nous. Perdus et sans munitions. Enfin sans, disons qu'on en avait beaucoup moins qu'au départ. Car rien n'est éternel sauf la bière finale, la dernière...

 

 

A SUIVRE...