Michel Mohr a étudié (87/92)
 
MICHEL MOHR'S
PAGES PERSOS
 
C'est à l'INSA de Lyon que j'ai appris tout ce que je sais. Et pas que dans le domaine de l'informatique !
D'ailleurs, je vous assure que vous ne verrez que rarement l'ombre d'une souris dans ces pages...
 


visiteurs depuis le 28/09/2001

Petit mot dans le livre d'or
Email à Michel Mohr
ICQ 21340010

 
 
     
 

09/1987 : Vous me reconnaissez ?
Et oui, il faut un début à tout. A l'époque on était habillés comme des sacs. On a fait les cons dans Lyon pendant une journée. Au moins ça nous a fait visiter la ville. Pour le reste, c'était pas bien méchant.



1992 : Black & White : la fine équipe en plein effort
On s'est connu en première année (87) parce que les blancs que vous voyez avaient des coturnes blacks (qu'on voit moins bien d'ailleurs, mais c'est la faute du scanner). Et comme les blacks étaient pas nombreux, ils se sont tous connus rapidement. Et les blancs, ben, ils ont été pris dans le mouvement black power. On était tout le temps ensemble pendant ces 5 ans.
Alors, les présentations maintenant : de gauche à droite :
- Anselme, du Bénin qui vit aux States, histoire de faire le malin. Grâce à internet, on s'échange quelques mails de temps en temps.
- Myself avec mon sponsor officiel du moment (j'en changeais plusieurs fois au cours d'une même journée)
- Ernest, du Gabon, qui était mon coturne. Quand il se met à ronfler (c'est-à-dire 1mn 30 après s'être couché), vous avez l'impression de vous retrouver Gare de Lyon. Sur les voies. Pas de nouvelles de lui depuis 92.
- Aristide, du Gabon également. Quand il bosse, il bosse. Par contre quand il déconne, il déconne. Mais il ne mélange pas les deux. Peut-être a t-il fini ses études de premier ministre maintenant ? ;-) . Pas de nouvelles de lui depuis 92.
- Stef, le coturne d'Anselme, mon super pote qui habite en Région Parisienne et que je vois souvent. La photo est prise juste avant qu'il se casse la gueule entre la table et le lit, cause que le sponsor il lui mettait trop la pression...
- une caisse du sponsor de la soirée en l'honneur de l'anniversaire de Stef.

 

1992 : les efforts ça fatigue
Forcément avec toute cette pression, il y a un moment où même les plus forts craquent. Enfin les plus forts... disons plutôt les moins entraînés.

 

1987 : flash-back
Comme je n'ai pas envie de me retaper les commentaires de toutes les photos, je suis obligé de faire des effets flash-backs du plus mauvais effet. Tant pis. Vous trouvez sur cette photo :
- François, le coturne d'Aristide, qui n'apparaît pas sur la photo précédente parce qu'il avait d'autres préoccupations en 1992, comme vous avez pu le voir dans la galerie Amis. Cependant cela ne l'a pas empêché de traîner avec nous pendant pas mal d'années. Je discute souvent avec lui via ICQ avec de temps en temps des débats philosophico/théologiques pas piqués des vers...
- Ernest, mon coturne de l'époque, ronfleur à ses heures perdues, et du coup aux miennes aussi.
- Stef, le seul qui avait une voiture à l'époque. Une Ford Escort dans laquelle on écoutait 'Fuck Tha Police' de NWA (Niggaz With Attitude) à fond avec les blacks derrière...
- Myself et ma non-coupe de l'époque

 

09/1987 : il en manque toujours un
Évidemment, quand on fait des photos, il manque toujours le photographe. Donc on en refait une histoire de le voir. Là c'est Anselme qui apparaît. Sinon c'est les mêmes sauf Ernest qui prend la photo. Et Aristide qui était je sais pas où. Bref, difficile d'avoir tout le monde.


09/1987 : Ça marche pour moi
Avec mon coturne Ernest appelé aussi 'la moiss-batt'.
Notez que j'ai encore, en 2001, mon fabuleux blouson en jean que vous pouvez admirer. Pratique car les manches sont amovibles et qu'il y a plein de poches partout.
Notez aussi que j'ai actuellement encore mon pouce droit. Par contre il est baissé maintenant.

 

1989 : ça gamberge
Là j'attends que les blaireaux du C514 (Stef et Anselme) se magnent pour qu'on puisse aller manger avant la bourre.
Mais ça va pas être possible. Comme à chaque fois...

 

1991 : en week-end ski
Comme Lyon ce n'est pas loin de la montagne on est parti skier un week-end.
A droite, le gars qui se prend pour un ange c'est Laurent, un copain d'enfance de Stef.
Là on a l'air cons mais c'est pas notre faute : on croyait que l'appareil cadrait plus haut.
On est con quand on est jeune.


1991 : la technique du cx
Là je suis en train d'appliquer ma technique toute particulière dite de 'recherche de prise maximale de vitesse sur le plat'. En effet, j'ai remarqué après analyse approfondie que cela est beaucoup moins dangereux que dans une descente de folie. Le seul inconvénient c'est qu'il ne faut pas être pressé. Mais sinon ça marche.


1992 : la bière de l'ingénieur
Il était temps. Photo prise juste après la soutenance de projet de fin d'études. On y voit Stef et Myself en train de boire leur première bière de l'ingénieur (une Old Lager, preuve que je change de sponsor souvent).
Le titre du projet était : 'Système de conception de systèmes d'information orientés compétences humaines', un beau titre bien dans la mouvance du parlé pour ne rien dire. On était vraiment forts en informatique, à l'époque...
Après un tel succès, j'étais obligé de me promener incognito d'où les lunettes à la Clint Eastwood.

 

1992 : un bien beau voyage en bus pour aller chez IBM Montpellier
L'occasion de vous présenter les 8 personnes de l'hexanome (ne me demandez pas pourquoi) de folie du département informatique.
Alors, de gauche à droite en partant de l'avant :
- le premier gars (Laurent), il ne fait pas parti des 8. Mais comme on lui a piqué son appareil pour faire la photo, on lui a dit qu'il pouvait rester sur la photo. Du coup, il était content et comme nous on aime bien faire plaisir...
- Stef, mon co-tp qui se marre. Y'a vraiment que lui que ça emballait d'aller voir les blaireaux de Montpellier. Faut dire qu'il est originaire de là-bas...
- Estelle, qui rigole aussi. Moi je préfère son sourire à celui de Stef. Je la connais depuis la seconde année en 88. Maintenant qu'elle est devenue une vraie business woman, je trouve qu'elle rigole moins qu'avant. Surtout devant les films de suspense où là elle est carrément terrorisée. Pouvez pas imaginer.
- Vinz, avec des cheveux ;-) . Pour info il s'appelle Croc et on a été quelquefois co-tp. Je vous laisse composer le nom du binôme ainsi constitué. Le binôme de la mort, je vous dis que ça.
- Jean-René. Il a dû passer autant de temps en salle de cours que chez Go-Sport et Wasteels. Perdu de vue depuis 4 ans.
- Marc, l'artiste du groupe qui a osé continuer ses études en faisant une année de Design après l'INSA. Comme il faisait parti de la Section arts plastiques, on était toujours sympa avec lui.
- un figurant Black qu'on avait engagé histoire de meubler
- Myself. Là je suis de nouveau incognito. Et en plus je me souviens que j'étais complétement fracasse puisque ce voyage a eu lieu le lendemain du concert de Sépultura. Et puis les lunettes noires, ça permet de dormir en ayant l'air vachement intéressé...
- Michel dit Marius (avec des cheveux aussi). Le méridional du groupe avec l'accent et la grande gueule qui va avec ;-). Avec lui, c'est toujours le concours de celui qui a une connerie à raconter. La concurrence est rude.
- Xavier (pour qui tout a l'air d'aller toujours bien). Je crois que c'était le seul qui s'inquiétait quand on déconnait trop. Mais c'était juste pour se donner bonne conscience, parce qu'il se marrait autant que les autres. Quel fourbe ce Xavier !

 

1992 : la bonne blague des JOC (Jeux Olympiques de Cassiopée)
A la fin de nos études, Xavier a organisé un rallye destiné à découvrir sa région natale, le 05. Comme faire un rallye tout seul c'est un peu con et que Xavier il n'est pas con, alors il a invité tous ses amis étudiants. Et leur(s)conjoint(s).
Je ne vais pas vous présenter tout le monde : vous retrouverez ceux que j'ai déjà présenté sur d'autres photos : Estelle, Isabelle, Vinz, Marius, Marc, Xavier (il s'était invité aussi), Stef, Jean-René et Myself. Bref, l'hexanome au complet.
A noter que le premier gars à gauche c'est Fred, le co-organisateur de la journée qui depuis a refait sa vie en Australie après avoir écumé tous les bars parisiens à la recherche de son double.
Remarquez que ce coup-là mon équipe n'a strictement rien gagné. Encore que dans la catégorie '200m poursuivi par une ruche d'abeille avec largage de tee-shirt synchronisé', j'en n'ai pas trouvé un à ma hauteur...


1992 : un peu velue comme situation
Forcément, lorsque vous mettez une trentaine d'étudiants ensemble, et bien il ne faut pas être étonné que certains réussissent à faire des connaissances.
Là c'est Stef avec Jean-René.
Je n'ajouterai aucun commentaires. Des fois les images sont plus explicites que les mots...

 

07/1992 : le dernier petit déjeuner
Comme ça faisait bien 3 ans qu'on ne prenait plus le petit déj' (ben oui, il avait lieu en plein milieu de la nuit), on s'était fixé un dernier challenge le dernier jour à l'INSA : se lever et y aller, comme quand on était bizuth.
Comme quoi quand on veut, on peut. Surtout pour réussir des challenges aussi cons que celui-là. Après, on était décalqué pour le restant de la journée...

 

1986 : c'est pas moi !
Comme quoi avant que je n'arrive, il y avait quand même un laissez-aller dans cette école.