Michel Mohr a été jeune (69/87),

Part III

 
MICHEL MOHR'S
PAGES PERSOS
 
Ou comment on part de 3,760 kg pour arriver à beaucoup plus, mais pas tant que ça quand même
 


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Petit mot dans le livre d'or
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1978 : respect des consignes
Quand il pleut, on m'a toujours dit qu'il ne fallait pas s'abriter sous les arbres. Donc c'est ce que je fais. Le problème c'est que c'est quand même moins efficace et puis peut-être aussi dangereux. Ben oui, parce que planté comme un piquet au milieu du jardin, je risque d'attirer la foudre tout autant. Si encore dans mon porte-monnaie, qu'on peut voir autour de mon cou, je n'avais que des billets, à la limite ça pourrait passer. Mais il y a des pièces. En fer.

 

1978 : fête du sport
Au deuxième étage, comme on disait vu que c'était au deuxième étage, c'est baston à toute heure. Christine et moi sommes en train de simuler une attaque sournoise au fond des bois un jour de pleine lune.
Notez la moquette certifiée papier de verre gros grain. Valait mieux pas arriver en glissant sur les chaussettes sous peine de se retrouver sur les genoux assez rapidement...

 

1979 : le questichier ?... non le questchier ?... non le queschtier?... zut, l'arbre à fruits sur lequel poussent les questchs ? les questches ? ...enfin une sorte de prune quoi !
Toute la famille et ma grand-mère paternelle sous le... enfin disons l'arbre à fruits qui se trouvait chez elle, à la campagne, au fond du jardin.

 

1979 : vas-y ma poule !
Christine en train de nourrir à la volée les canards, poules, poulets et coqs de ma grand-mère. Et puis faut surtout pas lésiner sur la quantité vu qu'après c'était nous qui les bouffions. Comme quoi, rien ne se perd. Et puis si cela ne lui convient pas, elle pourra toujours échanger son baril d'Ariel.

 

1979 : les to be four
La famille en vacances faisant une pose à un endroit où on peut s'asseoir ou rester debout, c'est comme on veut.
Christine perfectionne sa chorégraphie qui lui sera bien utile un peu plus tard, vous allez voir ça...

 

1979 : mon para de parrain
Mon parrain et son épouse Yvette qui est la cousine de ma mère. Je vous dirais juste que mon parrain c'est l'ami des petits et des grands bien qu'il n'habite pas sur l'île aux enfants...
Cette photo a été prise lors du mariage de leur fille, à l'ombre d'un arbre qui a poussé juste derrière eux et pas ailleurs.

 

1979 : Paris tenu
Lors de mon premier voyage à Paris, j'ai fait comme tous les touristes, à savoir gâché de la pellicule à force d'être impressionné. Là c'est l'arc de triomphe. Mais j'ai eu beau chercher, j'ai pas vu les indiens. Et je n'ai pas vu non plus de quel triomphe on parle. Bref, j'ai rien compris à la visite.

 

1979 : la dame de fer
Que dire. L'image se passe de tout commentaire superflu. On peut juste constater qu'elle n'a pas trop vieilli avec le temps. Moi je dis qu'elle a une santé de fer, mais c'est à peu près tout ce que je peux dire.

 

1979 : un dimanche à la campagne
A Rodemack, on y allait puisqu'on était invité. Là mon père pose à côté de notre paquebot de l'époque. En tout cas, un bien beau costume comme on peut encore en voir dans Austin Power ou d'autres sous-productions du même style.

 

1979 : c'est Noël
Comme on mange une fondue (bourguignonne), je sais que c'est la veille de Noël, le 24. Si, parce que c'est la seule fois de l'année qu'on en mange. Une tradition coutumière du fait à laquelle nous ne dérogeons jamais. Enfin, disons qu'on a dérogé une fois mais comme ça nous changeait trop on a redérogé dès l'année suivante pour faire la même chose qu'avant le changement. Des fois faut changer pour s'apercevoir qu'en fait c'était bien mieux avant.

 

1979 : c'est cadeau va !
Le 24 au soir, les cadeaux sont offerts. Je ne ferai pas l'inventaire complet. Je dirai seulement que j'ai eu, entre autres, un bonnet de ski. Trop grand.

 

1979 : c'est un hold up
Là faut reconnaître que j'ai presque tout l'attirail d'un parfait cambrioleur : la cagoule, les faux flingues et la coéquipière qui fait le guet. Plus les lunettes, histoire de passer complètement incognito et surtout d'y voir quelque chose. Toujours joindre l'utile à l'agréable, c'est ça le secret.
Notez en arrière plan la télévision comme on en faisait à l'époque, c'est-à-dire un modèle avec déplacement obligatoire pour changer de chaîne.

 

1980 : anniversaire ?
Le jour de l'anniversaire de Christine. Enfin le jour, disons un des jours vu qu'il revient tous les ans.
A moins qu'elle n'ait une rage de dents. En plus de son anniversaire.

 

1980 : le petit rat
Christine en tenue pour le spectacle de danse annuel organisé par les donneuses de cours. Enfin donneuses, disons vendeuses. Je ne me souviens plus du thème de la soirée. Peut-être bien le petit chaperon rouge... La chorégraphie c'était celle de la photo qui se trouve un peu au-dessus. Avec les sauts de chat en plus.

 

1980 : culture et des pas de danse
Christine en train de lire dans le jardin une oeuvre de la collection des Oui-oui. Oui-oui dans le jardin ou Oui-oui a le soleil en pleine tronche. Je ne sais pas car d'ici je n'arrive pas à voir le titre.

 

1980 : l'affaire Longwy-VA
En visite chez nos anciens voisins de Longwy qui ont déménagé à Valenciennes.
De gauche à droite : Vincent, Alain, ma mère, Sophie, Myself, mon père et Lucète. Il manque Damien sur cette photo mais bon, il en faut bien un derrière l'appareil. A l'époque tout le monde travaillait dans la sidérurgie. Tout le monde y croyait dur comme fer.

 

 

La suite bientôt...