Le langage accessible par le plus grand nombre car, tous les langages que vous aurez essayés avant, vous servirons, il tourne sur tout les OS. Puissamment efficace, pratique et rapide, gratos, c'est le langage avec un grand "P " d'ailleurs ceux qui en ont eu vent en pètent de joie.
Ce document est réservé aux pré-débutants et n'apprendra rien aux autres, je le conçois pour ce faire une idée et pour guider les débutants dans leurs premiers programmes.#!/usr/bin/perl -w
cette ligne (appellée shebang) sera lu comme un commentaire mais
spécial puisqu'il
appelle perl avec l'option w (qui préviens l'utilisateur sur les
éventuelles fautes . Pour voir la liste des options possible
tapez:
"man perl" ou "perldoc perl" sur n'importe quelle console
).
$x = "x" x 10;
cette deuxième ligne et là juste
pour faire jolie, mais voyez comment on assigne une valeur à une
variable, d'abord on la nome par son nom (là x)
précédé
du signe $ qui signifie que c'est une variable scalaire (c'est
à
dire quelle ne contiendra qu'une seul valeur, contrairement à la
variable liste @liste ou au tableau associatif qui eux contienne
plusieurs
valeurs).
Le signe = et bien veut dire égale, il
veut dire aussi que l'on assigne ce qui suit le signe égale
à
la variable qui est avant (à gauche, comme en C).
Le signe "x" que l'on aurai pu écrire
'x' signifie que l'on fait référence à la lettre x
(alphabétique) .
Le signe x qui suit et un opérateur
d'itération, c'est à dire combien de fois on devra
réitérer
le signe de gauche.
et le 10 qui signifie 10 (l'opérande).
$x = "x" x 10;
.......... équivaut à .........
xxxxxxxxxx
print "$x Editeur Perso $x\nBonjour,
vous
êtes sur votre éditeur personnel\ntapez Crl-d pour sortir,
bonne journée\n$x $x\n";
Voilà une ligne qui apparaîtra à l'écran
grâce à la fonction print, mais elle apparaîtra avec
les valeurs quelle contient, c'est à dire:
xxxxxxxxxx Éditeur Perso xxxxxxxxxx
Perl lit la phrase et l'écrit au fur et à
mesure,
le signe \n étant le saut de ligne, il remplace les
variable
par ce quelle représente.
Bonjour, vous êtes sur votre éditeur personnel
tapez Ctrl-d pour sortir
xxxxxxxxxx xxxxxxxxxx
@contenu = <STDIN>;
Voilà le coeur de l'éditeur, une simple petite ligne
qui signifie que vous assigné STDIN (l'organe d'entrée
(le
clavier)) à une variable liste @contenu qui aura autant de
paragraphe
que le nombre de fois que vous taperai sur "Entrée". Elle
stockera
donc toutes les phrase les unes derrière les autre.
Comme vous avez prévenu l'utilisateur qu'en tapant Ctrl-d (
le
signal de fin de fichier) il sortirai de l'éditeur.
Maintenant on à plus qu'a mettre le contenu dans un fichier
et à demander à l'utilisateur si il veux bien lui donner
un nom en aidant les plus fatigués (ça sert bien à
ça l'informatique!).
print "\n\nvoulez vous donner un nom a votre travail?\n";
chomp($resp = <STDIN>);
Dans la première phrase on demande a l'utilisateur si il veut
sauver son travail et dans la deuxième on écoute sa
réponse
.
chomp est une fonction qui ôte le dernier élément
de la saisie, en ce qui nous concerne c'est le signe "
\n" (Enter, qui est le saut de
ligne) que l'utilisateur
aura entré avec la touche valider (Enter) qui est aussi le
saut de ligne.
Donc on enlève le saut de ligne de la réponse que l'on
a assigné à <STDIN> qui est l'ensemble des touches
entrées avant d'avoir validé (c'est à dire le
texte) comme on l'à
déjà vu.
Pour ouvrir un fichier en Perl c'est facile il suffit de le
nommer en lui assignant un filehandel, c'est à dire un
descripteur de fichier.
Exemple pour ouvrir un fichier note.log (en lecture):
my $file = "note.log";
ou
open FIN, "$file" or die "Ouverture de $file impossible $!";
open NOTE, "<note.log" or die "pb ouverture avec note.log $!";
# explication la fonction open ouvre le fichier appelé note.log
en lui assignant le filehandel NOTE (à partir de maintenant NOTE
représentera le fichier note.log). Le signe < indique
la lecture seule. On ajoutera un controle afin de retourné
une erreur et une phrase si ce fichier ne s'ouvre pas par or die
"pb ouverture note.log $!"
autre exemple mais en écriture c'est à dire que Perl créé le fichier si celui-ci n'existe pas:
my $file = "note.log";
ou
open FIN, ">$file" or die "Ouverture de $file impossible $!";
open NOTE, ">note.log" or die "pb ouverture avec note.log $!";
# explication la fonction open ouvre le fichier appelé note.log
en lui
assignant le filehandel NOTE (à partir de maintenant NOTE
représentera
le fichier note.log). Le signe > indique
l'écriture. On
ajoutera un controle afin de retourné une erreur et une phrase
si ce
fichier ne s'ouvre pas par or die "pb ouverture note.log $!"
on peut également ouvrir un fichier existant pour y ajouter
quelques chose et ce par le doublement du signe >> ou <<
lecture plus ajout ou écriture plus ajout.
Sur MS Windows9x (ou autre dans la famille petit mou):
Si vous n'avez que Microsoft, installé le de
préférence
sur le répertoire racine du premier Disque Dur => C:\Perl
le paquetage logiciel s'appellera ActivePerl-5.6.msi , mais vous aurez
pris soin de télécharger d'abord instmsi.exe
(l'installeur
pour MS Windows xx) et quelques autre comme DCOM95.exe msvcrt
.exe
suivant quelle version vous avez de Windows.
Mais tout est expliqué sur le site de
téléchargement
ActiveState
le seul problème c'est en anglais US (mais pas d'affolement
c'est
facile à lire, achtung, chaque version à sa
spécificité
(ne pas télécharger les package ce terminant par
"tar.gz"
|:))