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Estonie
 

 
Résumé du pays.

Nous sommes entrés en Estonie en venant de la Lettonie à la mi juillet 2005. Nous avons suivi la côte jusqu'a Parna avant de passer quelque jours sur les île de Saaremaa et Hiiumaa. Nous avons rejoint l'île principale et passé cinq jours à Tallin avant de suivre la côte balte pour arriver à la frontière russe.

 
 

 
Carte.

 

 
entrée et visas.

L'Europe unie n'est elle pas merveilleuse ? Il n'y a pas à s'inquiéter de visas ou de paperasse. Le poste frontière est pour les piétons et les vélos seulement. Une paire de cabanes en bois marquent la frontière (un peu comme des abris de jardin) mais avec des policiers assis à l'intérieur.

 

 

 

 

 
langage

L'estonien avec ses voyelles accentuées est vraiment une langue différente. Elle est très proche du finlandais, et nous est incompréhensible quand elle est parlée, et un peu risible quand elle est écrite. Il y a  beaucoup de lettres répétées, par exemple : "radioo, uuno ou stopp".

Heureusement de nombreux estoniens que nous avons rencontré parlent un peu l'anglais, quelque fois avec difficulté. A Tallin, la langue n'est pas un problème : les gens peuvent aussi bien s'adresser à vous avec un " Hello" qu'un " Tere". La plus part des indications (dans les musées ou les informations générales) sont en anglais.


 

 
camping

Comme en Lituanie et en Lettonie, il y a très peu de camping en Estonie. Nous avons pratiqué le camping sauvage pour nos sept nuits passées entre Riga et Tallin. Il y a quelques campings marqués sur les cartes mais ils sont généralement sans commodités : Un emplacement au sol, une poubelle et peut être une table de pique-nique.

Grâce à la proximité de la côte nous avons de nombreuses occasions de sauter dans la mer pour enlever la sueur de la journée. (la mer baltique est très peu salée, 5 à 7 g/l aussi elle est très agréable pour ce faire.

 
 

 
Magasins de cycle.

Il n'y a pas eu de magasin de cycles en vue sur la plus part de notre route. Malgré ce que dit Euro Vélo Route : Hapsalu a deux magasins de cycles mais nous ne les avons pas vus car Terry a arrangé l'envoi d'un colis de pièces détachées à Tallin en provenance de SJS cycles à Bridgewater.

 

 
Nourriture et boisson.

Comme nous avons pratiqué le camping sauvage la pus part des nuits, notre connaissance de la cuisine locale est très limitée. Mais il y a certaines choses que l'on doit citer.

La Pologne a de bonnes glaces dans chaque ville. Les trois pays baltes en manquent cruellement. Pour les produits laitiers ce n'est pas si mal, nous avons trouvé  du Parmisan estonien, (notez l'écriture) et beaucoup de délicieux yogourt (vendus en cartons de 1 litre).

La bière est toujours de la lager, de la hell, de la pilsner ou quelque fois d'un type plus brun avec la présence de cidre en augmentation ; mais malheureusement polluée par un aditif déplaisant comme des framboises ou des kiwis.

En dehors des villes les gens de pays boivent de la bière achetée une boite après l'autre dans les super marchés. Les petits bars ou les pubs n'existent pas hors des villes. (ainsi qu'en Lituanie et en Lettonie.

 

 
La Météo.

Nous étions en Estonie les troisièmes et quatrième semaine de juillet.

Les premiers jours, à la fin d'une vague de chaleur nous avons eu des températures entre 25° et 28°C. Avec quelque averses. Progressivement le temps s'est détérioré. Maintenant à Tallin il fait 17° avec de fortes pluies.

Nous avons aussi été confrontés à de forts vents de face : un après-midi, en arrivant près de la mer la brise était très forte et semblait dans la mauvaise direction.

 

La belle plage et le beau temps à  Luidja sur l'île d' Hiiumaa

 

 
Santé.

Nous avons toujours notre formulaire E 111 et heureusement nous n'avons pas eu à nous en servir.

 

 
flore et faune.

Au fur et à mesure que nous avons progressé vers le nord, le nombre de forêts a augmenté fortement. En Estonie de vastes bandes de terrain sont des forêts naturelles; principalement de pins et de bouleaux. L'Estonie produisait beaucoup de nourriture pour l'URSS. Depuis l'indépendance, de nombreux champs ont été abandonnés et des forêts ont poussées à leur place. C'est aussi l'unique habitat marécageux qui subsiste en Europe, avec des mouches et des moustiques qui piquent (pas la meilleure place pour y résider). Cette région marécageuse peut se transformer sous la pluie en une tourbière boueuse dont la profondeur peut atteindre 17 mètres.

La côte ouest et les îles sont un paradis pour les observateurs d'oiseaux. Mais seulement pendant la période de migration. Ces régions étaient des zones d'accès interdit pendant la guerre froide et ont de ce fait été bien préservées. Ce sont maintenant des parcs nationaux. L'Estonie a aussi la plus forte population de phoques des pays baltes. Mais une fois encore les épaisses forets, les fondrières et les roseaux de mer nous ont  empêché de les voir.

Il y a deux choses surprenantes avec la mer baltique : Ce n'est pas toujours facile d'atteindre le bord de mer,  il y a beaucoup de prairies qui se transforment en champ de roseau car il n'y a plus de bétail qui utilise le foin. La mer est aussi peu profonde : nous avons vu des personnes à des centaines de mètres du rivage avec seulement de l'eau jusqu'a la ceinture.

Le paysage Estonien, malgré ses similitudes avec la Lettonie et le nord de la Lituanie (leur platitude), a de bizarres gros blocs de pierres roulés depuis la Scandinavie par les anciens glaciers. Ces gros cailloux sont placés dans des endroits inattendus et donnent au paysage une impression de magie.

 

 
Statistiques.

Jusqu'en  Estonie nous avons parcouru en vélo :

Distance Totale : 717 Km

Jours en vélo : 7

Distance moyenne par jour: 102 Km

Plus grande distance en un jour : 137 km (la plus grande du voyage)

 

 
Sur nos vélos en Estonie.
 

16 Juillet 2005 - de Turaida (Lettonie) à Kabli 137 Km.

Nous avons finalement trouvé un emplacement pour camper dans un champ près de Kabli. Il y a beaucoup de possibilités pour camper près de la plage, mais aucun emplacement dans toute l'Estonie ne semble rassembler des personnes pour camper le week-end au bord de mer. Nous espérions un peu de tranquillité. Il semble que les gens campent n'importe ou dans la forêt sous les arbres, dans cette région, il y avait des feux de camps, des voitures, de la musique et des gens de partout.

17 Juillet 2005 - de Kabli à Komsi - 121 Km.

Nous avons continué à suivre la côte en direction de Parnu. Malgré que la route soit marquée en vert sur notre carte, nous n'avons pas eu le plaisir d'une belle vue, car la foret était toujours entre nous et la mer. Mais il y avait quelque compensations, une petite promenade dans les marais prés de la Via Baltica. Un beau panneau d'information, tout en anglais, nous montrant toute la vie sauvage que nous n'avions pas la chance de voir. Il y a dans la région des élans et des lynx !

 

Soleil de l'après-midi sur le calme miroir de la mer baltique.

 
 

(Au dessus) Une longue journée sur la selle et sous la pluie. Une bonne tasse de thé remet aussitôt les choses en place.

(A droite) ou peut être pas, comment une tasse de thé pourrait elle arranger une chevelure pareille ? Une seule solution : UNE COUPE DE CHEVEUX, ou un jardinier !

 


 
 

Église avec plusieurs toits pointus à Liiva

 

Nous avons passé quelque heures sur la plage à Parnu. Nous avons visité rapidement la ville tout en cherchant des glaces. Terry a fait une nouvelle crise de "je veux une glace".

De retour sur nos vélos, nous nous dirigeons maintenant vers l'ouest en direction du port de Virtsu. Nous avons été surpris de trouver que nous étions encore sur la piste cyclable européenne n° 1, malgré qu'il n'y ai pas de voie pour les vélos et que nous roulions dans le caniveau d'une route à deux voies. Il y a quelque chose d'autre qui manquait ce jour là, des magasins pour acheter de l'eau. Nous avions oublié que nous étions un dimanche et n'avions pas fait le plein d'eau à Parnu (c'est à dire depuis 24 heures). après de trop nombreux kilomètres de " continuons, nous trouverons quelque chose dans le prochain village", finalement un gentil norvégien vivant dans un appartement, dans un petit immeuble, au milieu de nulle part (Komsi) nous a donné de l'eau. Après quoi il ne nous restait plus que quelque kilomètres pour atteindre la côte et prendre le ferry pour l'île de Saaremaa.

18 Juillet 2005 - de Komsi à Kuressaare - 95 Km.

Il y a des ferry pour Saaremaa chaque heure, en haute saison. Cela prend environ une heure et demie pour la traversée et coûte 50 eek par personne avec un vélo. Une fois sur l'île la forêt empêche de voir la mer, sauf sur la digue principale qui relie Muhu et Saaremaa. La vue est alors formidable, mais à moitié appréciée à cause du très fort vent de face.

 
 

Il y a beaucoup de belles choses à voir sur ces îles, quelque unes vraiment uniques. Mais la promenade entre les différentes attractions est plutôt pénible, en fonction de la direction du vent. En arrivant sur les îles on espère une large vue sur la mer, ce n'est absolument pas le cas, sur ces îles, les marais, la foret et les terrains plats s'unissent pour empêcher cette vue idyllique.

L'île est très fréquentée par les cyclotouristes. Nous avons tout d'un coup perdu le compte de combien nous en avions vu. Si vous allez voir ces îles attendez vous à voir toutes sorte de cyclotouristes et de groupes de cyclistes organisés. Cela nous a fait cesser de penser que nous étions une sorte de héros cyclistes parce que personne ne sait que nous venons d'aussi loin,(c'est bon pour notre ego).

 

 

Grande église à Valiala

 
 

19 Juillet 2005 - de Kuressaare à Emmaste - 65 Km.

Kuressaare est une charmante ville touristique, avec le château le mieux conservé d'Estonie. C'était une évêché et comme elle n'avait pas de fonction militaire jusqu'au 18ème siècle, elle a subit des dommages à chaque conflit qui a affecté la région.

après le château, nous avons décidé de voir un cratère de météorite. Ho ! très impressionnant ! On doit se rappeler qu'il ne faut pas s'écarter du chemin quand un avertissement est donné !

Château de Kuressaare sur l'île de Saaremaa

 

 

Château de Kuressaare  sur l'île de Saaremaa

 

 
 

(Au dessus) Terry a commencé par se moquer de la taille du cratère d'impact de météorite.

(à droite) Terry à été "forcé de manger son chapeau" lorsque nous avons vu le véritable cratère (Isa est a peine visible sur le bord).

 

 

 
 

Alignement de moulins à vent sur l'île de Saaremaa 

 

 

Le vieux bateau renfloué à Soru

 

 
 

 

Il y avait encore beaucoup de choses à voir ce jour là. Nous avons vu des églises et beaucoup de moulins à vent en bois, le symbole de Saaremaa (il  y en avait plus de 800 sur l'île!) Et par une sorte de magie nous avons attrapé le dernier ferry pour l'île de Hiiumaa (see what we meant by vowel-laden language!).

Paradis au paradis! nous avons accosté dans le beau village de Soru. Devant nous un camping (sans commodités) avec l'herbe la plus grasse et le sol le plus plat possible. Le soleil brillait à nouveau et la mer nous appelait pour y sauter dedans.

 

 

Les maisons de bois semblent belles,elles sont chaudes en hiver et fraîches en été, mais elles sont inévitablement éliminées par les immeubles en béton.

 

 
 

Une autre plage et une autre possibilité pour un bain "au naturel".

 

 

 

Un seul mot est nécessaire - COUPE

 

 
 

Le point le plus haut le l'île de Hiiumaa , le phare de Kopu Baltic

 

20 Juillet 2005 - de Emmaste à Kardla - 93 Km.

Malheureusement nous nous sommes réveillés sous une forte pluie et un fort vent. Nous avons attendu peureusement que la pluie s'arrête. A 11 heure nous étions prêts mentalement à prendre la route pour aller au phare de Kopu. Bien que la route semble flirter avec la côte (sur notre carte). Nous n'avons même pas aperçu la mer avant d'arriver au phare à une distance de 38 Km.

L'emplacement est littéralement un piège à touristes. Il n'y a rien d'autre à faire que de grimper au sommet. De plus il n'y a pas de paliers ni de renfoncements et cela devient très intime lorsque deux personnes tentent de se croiser. De plus au sommet il n'est pas possible de voir d'ou on vient (plates forets) ni ou on veut aller (plates forets). Il faut quelque sandwiches pour conserver le moral et retourner sur les routes droites.

 

 
 

Heureusement nous avons trouvé une jolie plage un peu plus loin que Luidja, hors de la vue du phare. Le temps était parfait et nous n'avions pas d'excuses à refuser un nouveau plongeon dans l'eau (rappelez vous que les commodités sanitaires sont rares sur l'île).

Quelque heures plus tard nous avons atteint Kardla, la capitale de l'île. C'est la capitale la plus tranquille du monde. Il n'est pas besoin de se boucher les oreilles quand on campe dans ses environs.

 

 

Une occasion de se rafraîchir avec les commodités naturelles fournies par l'île de Hiiumaa. 

 

 
 

Balançoire estonienne typique. Elle est prévue pour que dix adultes puissent monter sur les bancs et tenter de faire un looping complet.

 

Ce type est absolument mécontent du temps.

 
 

Église prés de Suuremoisa

 

21 Juillet - de Kardla à Rummu - 106 Km.

Nous nous sommes levés rapidement ce matin là : Il y avait encore quelque kilomètres entre Kardla et le ferry pour retourner sur l'île principale. Nous voulions prendre le ferry à 10 H 30, et sur notre route visiter une église typique de l'île et un château ayant appartenu à la famille Ungern-Sternberg. Ce nom ne vous dit probablement rien, mais il y a des histoires inquiétantes à propos de cette famille germano balte qui a gouverné cette île, (les germano baltes ont dominé l'Estonie pendant 800 ans, sous la domination des Suédois et des Russes, jusqu'a la première guerre mondiale). L'un d'entre eux mettait des lumières sur la côte pour tromper les navires et piller leur marchandises. En 1915 le major général baron Thingy Bob de la famille Ungern-Stenberg commença une lute de trois ans contre l'établissement du communisme en Mongolie. Il tortura et tua personnellement des centaines de personnes, avant d'être lui même fusillé par des mutins de sa propre armée. Il est connu en Mongolie sous le nom du "baron fou". Nous verrons si nous entendrons parler de lui en d'autres lieux.

Leur manoir a dû être splendide, mais il a passé son apogée depuis longtemps. C'est maintenant une école et la seule attraction a été la grosse balançoire qui a résisté au poids de Terry.

 
 

 

Nous somme arrivés a Heltermaa juste à temps pour le ferry de 10 H 30 et avons appris qu'il n'y avait qu'un ferry à 12 H 30. Embêtant !

Après une belle traversée ensoleillée, nous avons rejoint le continent et commencé la visite d'Haapsalun, qui a été et est encore fameuse pour ses bains de boues. Comparées aux routes plates et sans intérêt des îles, tout est devenu  intéressant dès que nous avons quitté le port du ferry. Il y a un très grand terrain d'aviation inutilisé et quelque vieux bâtiments totalement en ruine. L'un d'eux (photo de droite), n'a été utilisé qu'une seule nuit, avant que son seigneur ne meure sans héritiers. Les gens du pays et les soviétiques l'ont en partie démonté pour prendre des matériaux.

 

 

Vieux manoir  et hangar soviétique inutilisé près d' Haapsalu

 
 

Another top castle/cathedral combo - slap bang in the middle of Haapsalu

 

 

Haapsalu a été totalement détruit par Pierre 1er au 18ème siècle. Il a empêché les suédois de revenir en Estonie (aimaient ils autant les bains de boues ?). Le château au milieu de la ville très endommagé a été une archevêché. C'est maintenant un endroit intéressant pour se promener. Pour la plus part des visites en Estonie et en Lettonie c'est totalement gratuit. Haapsalu est une ville agréable avec les maisons en bois habituelles et une belle baie peu profonde avec l'eau la plus chaude de la mer baltique.

Nous avons ensuite  pris la route du nord-est vers Tallinn. La route était assez plaisante. Mais après 40 Km et beaucoup d'eau bue, nous avons noté l'absence de "poods" (magasins en estonien). Il n'y avait même pas une station service pour remplir nos bidons.

Nous avons provisoirement oublié nos problèmes d'eau pour visiter un beau monastère en ruine à Paradiste. Puis des personnes ont dit à Terry qu'il y avait un magasin à 1 Km en bas de la route. Nous avions roulé 60 Km depuis Haapsalu sans rien puis tout d'un coup un magasin vendant de la nourriture et de l'eau. C'est encore un mystère pour nous. Mais peu importe, nous avons acheté ce qu'il nous fallait et sommes partis chercher un bon emplacement pour planter notre tente.

 
 

La ville suivante n'était pas l'endroit rêvé pour que des campeurs puissent se reposer. Après un triste alignement de blocs d'immeubles vus près d'un gigantesque tas de sable (plus haut que la foret aux alentours). Nous nous sommes trouvés sous la surveillance de deux miradors devant une sorte de de clôture en fil de fer barbelé. Nous avons vite compris que nous étions devant la prison de Rummu. Le site était immense  et de nombreux bâtiments de la région abandonnés. Un endroit glacial peu propice à engendrer de beaux rêves. Nous avons décidé de poursuivre notre route plus loin à la recherche d'écureuils et de lapins pelucheux.

Chute d'eau par dessus une falaise de calcaire près de la côte.

 

Le 5000ème Km sur la route de Tallinn

Falaise de calcaire surplombant la mer. Pas d'arbres et quelle vue !

 
 

Vue de la vieille ville de Tallinn

 

 

22 Juillet 2005 - de Rummu à Tallinn - 70 Km.

Nous avons suivi la route près de la côte, à l'ouest de Tallinn. Nous pensions que la foret allait nous empêcher d'avoir une belle vue sur la mer, mais il y a de très belles falaises de calcaire tout le long de la route à partir de Keila-Joa. Vous pouvez les trouver facilement si vous vous écartez un peu de la route principale. Le meilleur endroit a été un parc près de   Rannamoisa, Mais rien n'était indiqué et nous avons été chanceux de trouver une aussi belle vue. Malgré les nuages et la pluie qui arrivait nous avons pu voir les toits de Tallinn en arrière plan.

 
 

du 23 au 28th Juillet 2005 - Tallinn.

Tallinn est extrêmement jolie et relaxante. Contrairement au reste de l'Estonie qui a beaucoup été endommagé pendant toutes les guerres que le pays a enduré, une partie seulement de la vieille ville a été détruite par les bombardements soviétiques de 1944. Aussi elle est très bien conservée et elle a tout ce qu'il faut pour plaire  a tous les touristes : Toutes sortes d'églises, de vieux murs médiévaux, beaucoup de musées et des magasins de glaces traditionnelles pour Terry, etc....

 

Tombe du soldat inconnu, avec encore l'emblème Soviétique derrière lui.

 

Tallinn - tours pointues, vieux remparts et la mer.

 
 

Vielle rue à Tallinn.

 

La plus part des gens parlent l'anglais, aussi cela a été facile pour nous. Même dans l'ambassade de Russie nous avons communiqué en anglais avec une secrétaire ! Nous attendons maintenant la délivrance de notre visa, aussi nous passons plus de temps que prévu à Tallinn, mais c'est une autre histoire... (Consultez le site Russian visa si vous avez du temps libre et une urgence à visiter le Russie.

A cause du prolongement de notre séjour Terry a été obligé de payer un coiffeur pour la première fois de sa vie. (il semble que vous ne pouvez pas avoir de surprise en vous faisant couper les cheveux ici). Il a demandé une coupe à la Beckham, mais nous ne sommes pas sur s'il est revenu avec la tête rasée, un bac de Brylcreem ou perlé.         

Le dernier bâtiment construit par les Sovietiques - maintenant la bibliothèque nationale.

 
 

L'église orthodoxe, bâtie en 1900 au sommet de la ville. Pas du tout en harmonie avec le style estonien tout autour. Les estoniens parlent de la démolir !

 

Encore une vielle rue pavée et des maisons.

 

 
 

Vue de la vielle ville à partir de la flèche de l'église St Olafs  (qui a été en son temps la plus haute construction d' Europe).

 

Voulez vous décorer votre maison avec des zizis?

 
 

En Angleterre les magazines pour les filles de 14 ans s'appellent "Just Seventeen", en Estonie il y a le choix entre "Tom and Jerry" ou "Spunk" magazine - quel choix !

     
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