Pour protéger les photos.
— Les petites photos, que l’on aime avoir dans le sac
ou le portefeuille, s’abîment rapidement, soit par les empreintes qu’y laissent
les doigts, soit par les contacts avec d’autres photos, papiers ou objets. Les
gaines transparentes en celluloïd sont très pratiques pour les isoler et les
garantir. Aussi ne saurait-on trop recommander l’emploi de ces « porte-cartes »
pour manipuler les photos sans crainte de les détériorer. À défaut, les
envelopper de papier cellophane.
On peut également rendre les photos inaltérables,
elles-mêmes, à toute détérioration de manipulation, en recouvrant chacune
d’elles d’une mince pellicule d’un vernis cellulosique, ou de collodion.
Naturellement cette préparation demande une certaine dextérité, la difficulté
consistant à répandre le vernis uniformément ; mais on y arrive facilement
avec un peu de pratique. Il y a lieu également de bien laisser sécher. Ce
revêtement absolument transparent et incolore laisse à la photo toute sa valeur
tout en la protégeant parfaitement des contacts et de l’humidité.
Arithmétique.
— Une petite dactylo se présente dans un bureau à la
suite d’une « offre d’emploi » parue le matin dans un journal. Elle
passe un petit examen, puis est introduite dans le bureau du chef du personnel.
Ses papiers sont examinés. On parle des conditions.
— Voyons, fait le grand chef, si j’ai bonne mémoire,
vous gagniez, dans votre dernière place, 800 francs ...
— Pardon, monsieur, intervient la postulante, vous
pouvez ajouter un zéro.
— Comment ! vous aviez, comme dactylo, 8.000 francs !
— Non, monsieur, je veux dire que j’avais 900 francs.
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