Pâte pour barbeaux.
— Écrasez ensemble dans une assiette 100 grammes
de gruyère et 25 grammes de suif de mouton frais ; péchez avec cette
pâte en juillet et août.
Voracité de la perche.
— Nous faisions l’ouverture sur les étangs de Vaux,
dans la Nièvre, en compagnie de M. Odoux, une des plus fines gaules du
canton de Brinon. La matinée avait été très calme ; à midi seulement, les
perches daignèrent mordre, et nous eûmes la chance de sortir quelques belles
pièces. À un certain moment, mon flotteur donne quelques signes d’agitation et
s’enfonce. Celui de mon voisin Odoux, dont la ligne se trouvait à 20 centimètres
de la mienne, part presque au même moment. Nous ferrons chacun de notre côté et
quelle ne fut pas notre stupéfaction en voyant que nous sortions la même
perche, laquelle avait avalé nos deux vers et hameçons ; ce fait montre la
voracité de ces poissons, qui s’attaquent aussi facilement à un poisson vif ou
d’étain qu’à un gros ver de terre ou à la cuiller d’un lancer.
FOINY, Exploitant forestier, Brinon (Nièvre).
Un petit truc pour faire de bons nœuds.
— Commencer par nouer les racines comme on a l’habitude
de le faire, mais sans serrer ; mettre alors le nœud à tremper un moment,
puis, mais alors seulement, serrer à fond.
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