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Page mise à jour le 23 novembre 2004

 

 

Dictionnaire d'astrologie

 

 

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Culminante (Planète) On appelle planète culminante celle qui passe au Milieu du Ciel (M.C.) ou, par extension, celle qui est au plus près du MC qu'elle soit orientale ou occidentale.
L'expérience semble démontrer qu'un astre en maison IX agit plus fortement qu'en maison X (MC).

Il en serait de même pour une position en XII qui semble également primer sur une position en I (AS), surtout si la distance séparant la planète de la cuspide de la I (ou de la X) est faible (voir cuspide)

Cuspide C'est le degré de l'écliptique qui marque le commencement d'une maison.
Lorsqu'une planète se situe dans le voisinage d'une cuspide (je recommande un orbe de 6° maximum), mais qu'elle est encore dans la maison précédente, on peut considérer cette planète comme agissant déjà sur la maison suivante.

 

Cycle planétaire

Chaque planète de notre système solaire doit son mouvement à la force d'attraction de la masse solaire, combinée à la force de gravitation de la masse planétaire. Les cycles planétaires traitent des rythmes appartenant à notre environnement céleste. Il s'agit ici des transits de répétition concernant les aspects qu'une planète va faire à elle-même par rapport au thème natal, par conjonction, sextile, carré, trigone ou opposition. Nous vivons tous certains transits au même âge : le retour de Jupiter à 12, 24, 36, 48 ans ; le retour de Saturne à 29 ans 1/2 environ, son opposition à 15 ans, puis à 44 ans, etc.

L'interprétation de ces transits s'effectue sur la base des significations respectives de chaque planète dans le thème natal.

A. RUPERTI s'exprime en ces termes en décrivant le phénomène du cycle : Un cycle est une structure formelle du temps. C'est le contexte dans lequel prend place le changement. Bien qu'un cycle ait un début et une fin repérable, il est erroné de l'interpréter comme un éternel retour : commencement, fin et nouveau commencement. Une telle appréhension des cycles, en astrologie, conduirait à les considérer comme des suites répétitives d'événements. Ce n'est pas la réalité; bien que le schème de son déroulement, du début à la fin, se répète, les contenus d'un cycle - les changements d'état, les événements ou expériences contenus dans sa durée - ne se répètent jamais exactement. Le jour forme un cycle reconnaissable. C'est une structure de temps dont la forme est déterminée par une rotation axiale de la terre en vingt-quatre heures. En même temps, le jour est aussi une partie du cycle de lunaison, repérable aux phases de la Lune; cycle qui mesure la relation soli-lunaire, d'une nouvelle Lune à la suivante; et ces deux cycles sont eux-mêmes compris dans d'autres cycles. C'est cette inter-relation entre cycles qui fait l'unicité spécifique de chaque moment et, en même temps, les relie ensemble dans un ordre rythmique. (Les cycles du devenir - éd. du Rocher).

 

 

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