Sida : un autre regard...

Il y a quelques siècles, la Terre, Centre de l’Univers, était plate…

L’esclavagisme était une norme sociale et un fait légal…

Les Femmes étaient officiellement considérées comme perverses et diaboliques…

Il y a 20 ans à peine, nos vaches mangeaient de la viande dans la plus grande indifférence…

 

Et aujourd’hui, quels systèmes de croyances veut-on nous faire admettre ?

 

Il y a eu au cours de l’Histoire de l’homme des systèmes de croyance bien établis, admis ou démontrés, prouvés selon les moyens de leur époque et qui se sont pourtant avérés totalement faux.

 

Le but de cet article des Sœurs de la Perpétuelle Indulgence est de proposer une vision différente des croyances établies sur le SIDA, d’offrir un espoir aux personnes concernées par le VIH, souvent accablés par une vision très négative de cette affection, désignée par tous comme mortelle et irrémédiable.

Il ne s’agit ici que de relayer des informations disponibles sur Internet ou dans certains livres, afin d’offrir d’autres pistes et d’essayer de dédramatiser les problématiques liées au SIDA qui se nourrissent de nos angoisses et de nos peurs, sachant que le fonctionnement du système immunitaire est fortement déséquilibré par des états de déprime et de dépression.

 

Nous sommes très conscientes du côté original et dérangeant des explications qui vont suivre.

Certaines Sœurs sont séropositives et ont bien senti un changement dans leurs corps : ganglions hypertrophiés, urticaire, perte de poids, fatigue, signes cliniques de primo-infection, fièvre ou diarrhées passagères et sans explication…

Autant de signes révélateurs d’une infection virale. Sans compter les souvenirs encore douloureux de l’hécatombe des années 1980 et de nos Sœurs disparues.

 

C’est pourquoi nous restons vigilantes et ne saurions trop que vous conseiller de vous protéger, de vous aimer.

 

Nous rencontrons souvent au cours de nos actions des séropos accablés, angoissés, terrifiés. Nous voulons leur montrer une autre image de ce qu’ils pourraient être s’ils le choisissaient. On peut être séropositif et en rire, on peut avoir inconsciemment choisi d’être séropositif pour se booster la tête et changer sa vie, comprendre qui l’on est vraiment, pourquoi est-ce que l’on s’est plombé ou que l’on s’est fait plombé. Une énorme gifle que l’on s’inflige inconsciemment pour sortir de son marasme intérieur agité de conflits psychiques non réglés et qui ne demandent qu’à exploser. La séropositivité est loin d’être un hasard, un accident, au contraire, elle a un sens, une vérité qu’il faut trouver. Faire d’une situation négative une force qui permet d’avancer. On ne peut plus faire marche arrière de toute façon.

 

Voici donc quelques pistes offrant une autre vision sur le SIDA, le VIH et les croyances actuellement établies sur ces sujets. Et si on se trompait ?

 

 

L’existence du VIH

 

Dans un livre qui fait office de bible auprès des médecins et étudiants en science, « Le Praticien face au SIDA », on peut lire la définition suivante :

« Il est maintenant admis de tous que le VIH2 est pathogène et peut être aussi responsable du Sida ». Admis de tous, certes, mais non prouvé scientifiquement.

La tournure de cette phrase est éloquente, mais personne ne semble avoir saisi son sens… Il s’agit donc d’un dogme : quelque chose d’admis mais non prouvé. Actuellement, la cause du SIDA est donc officiellement le VIH1 et le VIH2. Mais sur des suppositions communément admises du moins concernant le VIH2.

Depuis la fin des années 1980, un nombre croissant de scientifiques du monde entier, dont des Prix Nobel, remettent en cause ce dogme VIH = SIDA et pour certains, remettent en cause l’existence même du virus VIH.

 

Le docteur Kary Mullis, biochimiste Prix Nobel, inventeur de la PCR (réaction en chaîne polymérase) proclame : « Les scientifiques ne sont pas là pour croire, mais pour avoir des preuves. Je ne parviens pas à trouver un seul virologue pouvant me fournir des références démontrant que le VIH est la cause du SIDA. »

Demandez donc à votre médecin de faire pratiquer une ANALYSE VIROLOGIQUE plutôt qu’un calcul savant de « charge virale ». Vous verrez ce qu’il vous répondra… sachant que pour n’importe quel virus animal ou humain au monde, les biologistes sont capables de prouver la présence du virus dans un organisme grâce à cette « analyse virologique » qui montre le virus.

Pour le VIH, on nous explique en termes très compliqués que ce n’est pas possible ou que la « charge virale » correspond à l’ « analyse virologique », ce qui n’est pas exact.

Pourquoi ce virus est-il si différent de tous les autres virus au monde ? Pourquoi attend t-il 5, 10, 15, 25 ans avant d’attaquer le système immunitaire ?

Autant de questions sans réponse qui en disent long sur ce que l’on nous cache…

 

Si vous êtes dubitatif : relisez les quatre premières lignes de cet article.

 

Alors que Robert Gallo reconnaît avoir commis des erreurs dans ses protocoles de découverte du VIH, le Professeur Luc Montagnier déclare en 1992 à l’Institut Pasteur que le virus à lui seul ne peut déclencher les maladies du SIDA, des cofacteurs étant nécessaires. Il explique que le VIH infecte 1/100 à 1/1000ème des lymphocytes, ce qui est insuffisant pour dévaster le système immunitaire. « Nous étions naïfs, déclara t-il à cette époque au Symposium d’Amsterdam, nous pensions que ce seul virus était responsable de toute cette destruction. Maintenant, il nous faut comprendre les autres facteurs impliqués. »

Bien sûr, Montagnier ne se tire pas une balle dans le pied en prétendant que « son » virus n’existe pas. Mais depuis 1990, on peut observer une évolution de son discours vers la responsabilité de ces cofacteurs dans l’effondrement du système immunitaire. Aux bancs des accusés : composés moléculaires mal connus, drogues, campagne de vaccination, distribution massive et aveugle d’antibiotiques, transfusions sanguines, mauvaise alimentation, dépression, pollutions d’origines diverses, etc.

 

Nous ne prétendons pas affirmer que le VIH n’existe pas. Nous voulons simplement expliquer que LA Vérité n’est peut être pas celle que l’on croit et que pour de plus en plus de « séropositifs » le système immunitaire ne s’effondre pas et que leur vie ne s’effondre pas. Garder espoir face à une médecine implacable, imposant ses croyances au plus grand nombre.

Et si elle se trompait ?

 

Autres déclarations de Montagnier notamment dans le Quotidien du Médecin n°5321 du 4 janvier 1994 : « On admet que le SIDA ne peut s’expliquer uniquement en termes de virologie, qu’il s’agit autant d’une maladie immunitaire que d’une maladie virale. »

« Le SIDA ne mène pas inévitablement à la mort, surtout si l’on veille à supprimer les cofacteurs qui aggravent la maladie, il est très important de dire cela aux gens affectés. Les facteurs psychologiques sont utiles pour maintenir la fonction immunitaire. Si l’on supprime le soutien psychologique à quelqu’un en lui annonçant qu’il est condamné à mort, ces mots seuls peuvent représenter pour lui une condamnation. »

Les pistes proposées par Montagnier concernant ces cofacteurs seront très vite balayées et oubliées par l’ensemble de la communauté scientifique. Pourquoi ?

 

Il est fortement conseillé, en France comme dans toutes les sociétés industrialisées, pour ce qui concerne la santé, de ne point sortir du discours du puissant lobby médical. Toute personne qui ose sortir des croyances et des « vérités » communément admises en apportant une parole alternative devient rapidement la cible de railleries, voire plus.

Railleries, moqueries, et surtout expulsion de l’ordre des médecins pour certains ayant trop essayé de convaincre et de démontrer la non responsabilité du VIH dans l’effondrement du système immunitaire. Mais aucune preuve.

 

Aucune preuve de l’existence du VIH d’une part, et d’autre part, aucune étude scientifique permettant de montrer que ces scientifiques « rebelles » se trompent en affirmant que le VIH n’est pas la cause du SIDA. On préfère les faire taire plutôt que de prouver que leurs démonstrations scientifiques ne sont pas valables. Pourquoi ? S’ils ont tort et que leurs travaux sont faux, ceux-ci devraient être très faciles à démonter !

 

La santé : une industrie très profitable…

 

Serait-ce si paranoïaque d’admettre que les laboratoires pharmaceutiques agissent comme une industrie plus soucieuse de ses bénéfices financiers que de l’humain ?

Le cas des barrages à l’accès aux médicaments génériques, ainsi que les nombreux autres scandales mis à jour récemment nous révèlent un aspect peu reluisant des démarches des firmes pharmaco-chimiques.

Il semble donc important de ne point prendre comme argent comptant ce qu’elles nous affirment, car il est fort à parier que leur intégrité soit à mettre en doute.

 

Il y a plus d’un siècle que les scientifiques ont perdu toute objectivité et toute sérénité dans leurs travaux. Rattrapés par la puissante industrie pharmaco-chimique, les scientifiques se sont vus achetés, commercialisés, politisés, médiatisés, tout ceci rapportant gros… Où est passée l’objectivité nécessairement inhérente à la science ?

Exemple concret concernant la grippe aviaire : l’agence française de sécurité sanitaire des aliments regroupe les scientifiques de haut niveau travaillant dans les domaines de la sécurité alimentaire et de la santé animale. Cette agence déclarait dans un rapport du 18 janvier 2006 que les mesures de confinement de volailles étaient « démesurées et injustifiées » en France, l’affaire de la grippe aviaire prenant des proportions médiatiques délirantes. Un mois plus tard, la même agence produisait un nouvel avis totalement contraire sans changement significatif de la situation sanitaire en France (http://www.afssa.fr/ ).

Il est évident qu’une pression politique est responsable d’un tel changement d’avis et que les scientifiques ne peuvent plus être neutres et objectifs.

 

Le SIDA rapporte des milliards d’euros par an aux firmes pharmaceutiques. L’industrie pharmaco-chimique est devenue la deuxième puissance industrielle au monde. De quoi enterrer toute tentative de recherche d’un vaccin.

 

Pleins d’exemples montrent combien les scientifiques ont perdu toute objectivité, ne servent plus l’intérêt commun et sont manipulés par le pouvoir industriel.

Des chercheurs de traitements non conventionnels et de vaccins contre le VIH ont vu leurs subventions suspendues, leurs laboratoires sont aujourd’hui fermés.

Dans un autre domaine : le vaccin contre les caries dentaires existe depuis vingt ans : l’ordre des dentistes de toutes les sociétés modernes s’oppose à la diffusion de cette information et a acheté le brevet pour le mettre au placard (les caries et leurs conséquences à long terme : plombs, puis couronnes, puis implants, pivots etc.… représentent 80% du chiffre d’affaire des dentistes).

Même exemple avec les « bas qui ne filent pas » inventés par deux ingénieurs chimistes : le brevet a été acheté par une firme multinationale de textile avant d’être oublié au fond d’un coffre…

 

La santé ne devrait pas être une source de profit mais une connaissance mise au service de l’humanité toute entière.

Il est évident que de nombreuses pistes prometteuses sont soit enterrées, soit victimes de campagne de dénigrement. N’oublions pas que la puissance dont dispose cette industrie, lui donne d’immenses pouvoirs.

 

Ne serait-ce pas le rêve absolu du capitalisme dur que de parvenir à faire payer le droit de vivre ?

Payer un loyer pour sa propre existence est devenu une réalité pour de nombreux humains.

 

 

Autres pistes

 

Le but ici est de parler d’autres pistes moins connues lorsque l’on doit vivre avec le « VIH ».

Avant toute chose, sachez que dans le domaine des traitements et visions alternatives du SIDA, il vous faudra avancer avec prudence et utiliser votre discernement en croisant les informations, car là aussi le profit peut être roi.

 

Bien que cela soit peu communiqué par les médias, il existe de nombreuses théories, recherches  et expériences thérapeutiques prometteuses.

La plupart ne considèrent pas le virus comme l’agent de la maladie mais plutôt comme son résultat.

Elles ont une vision globale (holistique) de l’univers personnel, psychologique et social du patient.

Elles invitent le patient à devenir acteur de sa « maladie », et à se départir de son attitude passive en devenant acteur de sa guérison et toutes ont une vision non agressive des thérapies.

L’histoire du SIDA compte de nombreuses exceptions à la vision médicale. Le mal fatal devient chronique et il n’est pas rare de rencontrer des personnes vivant depuis 20 ans, voire plus, avec ce qui devait irrémédiablement les tuer.

D’ailleurs, quelles sont les pathologies liées au SIDA ? Tuberculose, cytomégalovirus, pneumocystose, syndrome de Kaposi etc.… autant de maladies existantes depuis toujours et que l’on attribue aujourd’hui au SIDA.

On veut nous faire croire depuis des années que le SIDA fait des ravages en Afrique : selon les statistiques démographiques récentes le taux de mortalité n’a jamais explosé, on tend plutôt vers la surpopulation.

 

SIDA, cancers, sclérose en plaque, rhumatismes, allergies, asthme, dépression nerveuse, suicide… : Des scientifiques ont montré que toutes ces maladies n’existent pas dans les sociétés où l’homme vit en harmonie avec la nature : les guerriers Masaï d’Afrique, les tribus aborigènes d’Australie, les Indiens d’Amérique, les Tibétains… : eux ne connaissent pas toutes ces pathologies qui se révèlent être chez nous des signes évidents d’une inadaptation à notre environnement contre nature.

Pollutions, tabac, alcool, drogues mal utilisées, stress, médicaments consommés à outrance, absence d’exercice physique, manque de contact avec la nature, mauvaise gestion du sommeil, mauvaise alimentation composée de produits stériles, pasteurisés, surgelés, cuits aux micro-ondes… Pourquoi s’impose t-on ce mode de vie qui use nos organismes et lui sont totalement contraires, violents ? Nous devenons de plus en plus allergiques : allergiques aux acariens, au lait maternel, au pollen… allergiques à la Nature… allergiques à la Vie ?

Où est passée notre condition d’être biologique naturel ? On ne marche que sur du goudron et on ne vit que dans du béton armé. Où sont nos liens avec la Nature ?

 

Les témoignages montrent souvent chez les personnes atteintes d’une pathologie lourde comme le SIDA ou le cancer, une réelle prise de conscience de cette dysharmonie avec la nature. Il devient alors évident, nécessaire et vital d’apprendre à prendre soin de soi sur le long terme pour ne pas donner du terrain à la maladie.

Relaxation, massage, méditation, psychothérapie, ressourcement dans la Nature, changement d’habitudes alimentaires et de modes de vie… autant d’outils de bien être utilisés par ces personnes qui essaient de retrouver une paix intérieure pour essayer d’atténuer leurs propres contradictions quotidiennes entre un environnement hostile et leur nature profonde.

L’objectif est d’annuler les effets pervers de ces facteurs environnementaux négatifs qui agissent dans le sens de l’effondrement du système immunitaire.

 

 

Le premier des remèdes : l’information

 

Si on meurt encore du SIDA, n’oublions pas qu’on peut ne pas en mourir.

Il semble capital de dire que le premier des remèdes est probablement de savoir qu’un nombre de personnes de plus en plus important vit très bien avec ce diagnostic.

Savoir, voir, cela ouvre les portes à la vie.

Ne croyez-vous pas qu’à force de s’entendre dire que vous allez tomber malade et mourir, cela à une incidence sur la santé ? On crée ce que l’on craint.

 

Regardez autour de vous.

Cherchez ailleurs et vous découvrirez que l’on peut vivre malgré un diagnostic de séropositivité.

 

Ou alors, vous avez aussi le choix de retourner devant votre poste de télévision qui vous gavera d’images et de réflexions (qui ne seront pas les vôtres) en oubliant de penser à vous et de regardez dans quel monde nous vivons et à quelle vérité on nous a fait croire.

 

REVEILLEZ VOUS !

 

 

 

Bibliographie :

 

« Le Praticien face au SIDA »

Auteur : Serge KERNBAUM

Edition : Médecine Sciences FLAMMARION

Parution : 1993, réactualisé régulièrement.

 

« La Dictature Médico-scientifique ou l’emprise des lobbies financiers dans le domaine de la santé »

Auteur : Sylvie SIMON

Edition : FILIPACCHI

Parution : 1997.

 

« Enquête sur le SIDA – Les vérités muselées »

Auteur : Renaud RUSSEIL

Edition : Vivez Soleil

Parution : 1997.

 

« SIDA supercherie scientifique et arnaque humanitaire »

Auteur : Jean Claude ROUSSEZ

Edition : Collection Résurgence

Parution : 2004.

 

« Message des hommes vrais au monde mutant »

Auteur : Marlo MORGAN

Editions : J’ai Lu, Poche, Albin Michel, Essais

Parution : 1995.

 

Sources d’informations / Liens Internet :

 

http://www.sidasante.com/  (Site géré par Mark GRIFFITHS)

           www.sidasante.com/textes/prixhc.htm

           www.sidasante.com/renaud/rrgallo3.htm

           www.sidasante.com/critique/crigiral.htm

           www.sidasante.com/renaud/rrmor.htm

           www.sidasante.com/science/scistef1.htm

 

www.virusmyth.com

www.virusmyth.net/aids/group.htm

www.duesberg.com

www.aliveandwell.com

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