effet analytique
a2
ou des
formes physiquement regroupées dans un ensemble peuvent aussi
bien se lire comme autant de formes complètement autonomes les
unes des autres, du fait de leurs différences d'aspect et de leur
absence de fusion mutuelle
1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 2 entraîné / retenu :
nous sommes entraînés à considérer qu'il
s'agit d'une seule forme, mais l'autonomie d'aspect de ses composants
nous en retient en nous suggérant de la lire plutôt comme
une combinaison de plusieurs formes agglomérées
2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe
effet d'ensemble / autonomie : les diverses formes combinées
jouent un rôle complémentaire en produisant l'effet
d'incertitude grâce à leurs différences
3 - il s'organise au moyen du paradoxe
ouvert / fermé : si l'on considère une seule forme ses
diverses parties se suivent l'une derrière l'autre en continu,
mais, si l'on considère plusieurs formes imbriquées ou
agglomérées, les diverses parties de chacune se suivent
mais ne suivent pas les autres et se glissent entre elles ou glissent
à leur surface
4 - il est noué par le paradoxe clef ça se suit / sans se suivre : idem que pour le paradoxe ouvert / fermé
nota : par différence avec l'expression a1 - 2 ,
les divers motifs ne se cernent pas mutuellement, même s'ils
s'imbriquent l'un dans l'autre. Ils sont ici agglomérés,
mais pas mutuellement au centre les uns des autres. Par ailleurs, ils
n'ont pas nécessairement l'aspect de trames et ils peuvent
s'agglomérer à la surface les uns des autres sans se
pénétrer mutuellement. Il n'est pas nécessaire non
plus qu'il s'agisse d'une forme d'ensemble régulière, et
il peut aussi bien s'agir d'une forme d'ensemble qui est simplement composite
Justification du caractère analytique de type lecture : nous devons choisir de lire une forme unique ou bien choisir de lire de multiples formes
amalgamées ensemble |