Vestibule et cour intérieure

 

 

6 - Palier de gauche.

Le passage couvert menant à la cour intérieure est flanqué de par et d'autre de 2 volées de marches conduisant à autant de paliers symétriques : à gauche en entrant, une porte menant actuellement chez un médecin (à l'origine elle menait à un petit appartement face à la loge) ; à droite, une double porte vitrée menant à la cage d'escalier. Les rampes et rambardes en fer forgé sont d'un dessin exquis, en revanche les 2 paires de colonnes en marbre sont autant de manifestations d'un historicisme empesé dont la présence détonne dans un tel milieu !

7 - Palier de droite.

8 - Variation sur les motifs de façade situés au-dessus

des fenêtres du rez-de-chaussée.

9 - Rambarde du palier de droite ;

le jeu sur les oppositions de courbes rappelle Horta.

10 - Porte de la loge.

11 - Départ de la rampe de l'escalier de droite.

 

12 - Courette : cage d'escalier.

La cour intérieure est sobre sans être négligée comme la minuscule courette de l'immeuble du square Rapp, et rappelle la cour du 151 rue de Grenelle. Lavirotte se montre ici très proche des rationalistes, indiquant clairement la cage d'escalier et soulignant certaines parties nobles par les volumes, la dimension des perçages et le revêtement de briquettes. Beaucoup de subtilité et de grâce qu'on ne soupçonnerait guère en contemplant la façade sur rue se dévoilent ici : Lavirotte semble avoir atteint une certaine maturité, abandonnant ses délires précédents dont la façade principale semble en fin de compte constituer le chant du cygne.

13 - Vue d'une façade sur cour.

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