II- Les savants à Alexandrie. Héron (1° Siècle après Jésus Christ) connu pour avoir conçu des machines
de guerre .Il introduit dans ses machines de guerre un «émule d’Archimède»,le
centre de gravité pour l’équilibre de celle-ci(ex:le levier ,la vis ,le
moufle etc.…) .Il développe des techniques pour lever ou déplacer des
poids lourds .Il se consacre aussi a des cas particulier pour les «mouvements
pneumatique»,il s’agit d’utiliser la pression de l’air ,de la vapeur et
de l’eau qui permet aux siphons et aux engrenage de produire une réaction
en chaîne ou un mouvement .l’exemple qui est le plus fréquemment cité
est celui de la construction d’horloge a eau, mais ce n’est pas la seule
. Héron sa plait a décrire parfaitement toutes sortes d’appareil (qui
selon lui sont merveilleux)comme le faisait Ctébisius , le plus ancien
des «mathématicien» d’Alexandrie . Parmi ces appareils il y avait:-un
vase qui fournit du vin quand on verse se l’eau dans un autres vase |
Si on peut dire de Héron qu’il a amélioré un héritage ,la remarque vaut
également pour Claude Ptolémée(à ne pas confondre avec les rois d’ Egypte)dont
l’éclat cependant ,au deuxième siècle de notre ère,a éclipse celui de
ces prédécesseur .Figure emblématique de la science à Alexandrie ,il a
laissé une œuvre importante voir encyclopédique. SA grande œuvre, SYNTAXE
ou ALMANESTE(comme elle sera appelée d’après le superlatif arabe AL MAGISTI-
«très grand»), marque l’apogée de l’astronomie ancienne. Comme Héron,
Ptolémée n’est pas un inventeur: il continue les théories d’Hipparque,
fondées un système géocentrique dans lequel on tente de rendre compte
du mouvement apparemment erratique des planètes soit par des excentriques,
soit par une combinaison de cercle-épicycle et déférent.
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. Exclusivement mathématicien Pappus a vécu au siècle suivant,c'est a dire sous doclétien au IIIeme-IVeme siècle de notre ère. L'analyse de son oeuvre, la collection mathématique,permet toutefois que mathématique théorique et mathématique appliquée reste indissociable. En effet, des huit livres qui la constituent, le sixième est consacré a l'astronomie et le dernier a la mécanique. La géométrie occupe,quand a elle, une place de choix:les livres IV V, et VII lui sont entièrement consacrés. On trouve également des extraits d'ouvrages sur la géométrie dans le livre III. Quand au premier livre il a été perdu. L'arithmétique se réduit,dans la partit conservé du livre II,au fragment de l'analyse d'un traité d' Appolonius de Perga relative a la multiplication et, au livre suivant,à un passage sur la théorie des 10 «médiété»(en particulier les différentes moyenne arithmétique,géométrique,harmonique),théorie qui paraît avoir appartenu en propre à l'école pythagoricienne et qui a été largement diffusée à l'époque hélénistique et romaine. |
4) Euclide d'Amexandrie, environ 300 av.JC travailla à Alexandrie. Euclide est un des mathématiciens les plus célèbres de l'Antiquité, connu pour son traité de géométrie Les Eléments. On connaît peu de la vie d'Euclide si ce n'est qu'il enseigna à Alexandrie en Egypte. Les Eléments sont une compilation du savoir géométrique et restèrent le noyau de l'enseignement mathématique pendant près de 2000 ans. Il se peut qu'aucun des résultats contenus dans Les Eléments ne soit d'Euclide, mais l'organisation de la matière et son exposé lui sont dus. Les Eléments commencent par des définitions et des axiomes, en particulier le fameux cinquième postulat des parallèles, qui affirme que par un point existe une unique parallèle à une droite donnée. Le choix d'Euclide d'en faire un axiome conduisit plus tard aux géométries non-euclidiennes et ce ne fut qu'au 19e siècle que cet axiome fut modifié. Les Eléments sont divisés en 13 livres. Les livres 1 à 6, géométrie plane, les livres 7 à 9, théorie des rapports, le livre 10, la théorie de nombres irrationnels d'Eudoxe, et enfin les livres 11 à 13 de géométrie dans l'espace. Le livre se termine par l'étude des propriétés des cinq polyèdres réguliers et une démonstration de leur existence. Les Eléments sont remarquables par la clarté avec laquelle les théorèmes sont énoncés et démontrés. Le critère de rigueur était devenu le but pour les chercheurs de siècles futurs. Plus d'un millier d'éditions des Eléments ont été publiées jusqu'à ce qu'ils soient imprimés pour la première fois en 1482 . Euclide écrivit aussi Data (avec 94 théorèmes), Sur la division, l'optique et les phénomènes qui a survécu. Les Surfaces, les Porismes, les Coniques, le livre des Paradoxes et les Eléments de Musique ont tous disparu. Euclide n'était peut-être pas un mathématicien de premier plan, mais la qualité des Eléments en ont fait le maître des mathématiques de l'antiquité. Le portrait d'Euclide date du 18e siècle et semble assez fantaisiste. |
LES PREMIER THEOREMES On découvre ainsi indirectement que l'oeuvre d' Appolonius,beaucoup plus importante que les huit livres de Conique parvenue jusqu'à nous,n'est pas seulement géométrique mais aussi arithmétique,avec la méthode de notation des grands nombres dans un système opérant sur les puissances successive de la myriade(=10puissance4).Par delà Appolinius, Pappus nous fait connaître bien des ouvrages qu'il analyse,qu'il commente et dont,sans lui,nous ne saurions plus rien.Son ouvrage le plus important LA COLLECTION MATHEMATIQUE contient par exemple ,les théorème dit actuellement de Guldin sur la relation entre les centre de gravité et les après ou les volumes d'un corps de révolution. Néanmoins à la différence de ses prédécesseur, Pappus n'améliore pas les système qu'il expose;il ne démontre pas,il se contente d'illustrer et de compléter en vérifiant numériquement toutes les propositions qu'il énonce. En réalité il est plus un professeur qui transmet un savoir qu'un chercheur qui apporte quelque chose de supplémentaire dans sa discipline.
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