Après
de sombres années de terreur et de guerre, les cambodgiens semblent
enfin retrouver leur légendaire sourire.
Si les mines et les armes sont encore présentes, la vie reprend
ses droits et l'on peut, en respectant les règles élémentaires
de prudence, circuler dans la plupart des régions du pays.
Tout au long de notre voyage, nous
avons cotoyé les splendeurs de l'art khmer, l'horreur des vestiges
du génocide, mais surtout la gentillesse et un chaleureux accueil
des habitants.
Fertilisée par les crues des
deux grands fleuves, le Mékong et le Tonle Sap, la plaine alluviale
regroupe une grande partie des 12 millions de cambodgiens. Nous l'avons
parcourue en évitant le sud (mousson).
|
Bonzes "en goguette" à
Phnom Penh, près du Palais Royal |