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Cet ouvrage est inscrit au patrimoine historique de l'Académie des sciences
INSTITUT  DE  FRANCE
sous le n° 17 722 le 13.07.2005


NOUVELLES SCIENTIFIQUES

ROGER COUDERT

Roger COUDERT a mesuré la MASSE du  PHOTON à l’aide d’un appareil de sa conception

 

Cette masse est de 1,426.10-49 kg au repos. Vous êtes curieux et vous souhaitez savoir comment Roger COUDERT s’y est pris, eh bien lisez sans plus attendre l’exposé qui suit, dans le cas contraire passez votre chemin …
 
J’ai obtenu ces résultats après 35 ans de conception d’appareillages électromécaniques, de réalisations expérimentales et de recherches appliquées.
 
Je n’ai obéi à aucun dogmes ni  postulats classiques qui régissent les lois de la physique concernant la lumière.
 
Je n’affirme rien, je transmets à qui veut bien m’écouter, la façon dont je m’y suis pris pour obtenir ces résultats. Rien ne vous oblige à me croire, je souhaite simplement attirer votre attention sur les résultats que j’ai obtenus. J’ai réussi, grâce à mon dynamomètre,  à déterminer les inconnus de l’équation  e=1/2 m c2. Le photon serait une particule dotée d’une masse non nulle comme le prétendent de nombreux physiciens.
 
Vous avez des questions, eh bien n’hésitez pas à m’écrire  à l’adresse suivante :
 
coudert.roger@numericable.fr
 
Je suis disposé à démontrer et à divulguer  bénévolement tout ce que j’ai réalisé et conçu, pour faire évoluer les  technologies qui pourraient utiliser cette découverte

    1 Introduction

Encore enfant, je restais perplexe devant la rotation du radiomètre de CROOKES, dans les vitrines de ma petite ville de Cognac. Comment ce faisait-il que ce moulinet puisse tourner à l’abri du vent sous l’effet de la lumière ?
Depuis, cette question ne m’a pas quitté. Je m’étais promis qu’un jour je finirais par trouver une explication cohérente à ce phénomène.
 

Si vous achetez un radiomètre de CROOKES il sera accompagné de la notice de fonctionnement dans laquelle il est écrit :

Quand une lumière chaude telle que celle du soleil ou d’une ampoule (mais pas d’un néon) frappe les ailettes du radiomètre, celle-ci commencent à tourner.. Les ailettes tournent à des vitesses variables en fonction de l’intensité de la lumière.

Dans l’ampoule du radiomètre, existe un vide partiel produit par l’air qui a été raréfié de façon à garder un équilibre entre la résistance de l’air et la force rotative de l’énergie solaire. Les surfaces noires des ailettes absorbent plus de lumière que les surfaces blanches, c’est pourquoi la pression sur les surfaces noires est bien plus forte que sur les surfaces blanches.
 
Plus les molécules contenues dans l’ampoule se réchauffent, plus forte est la pression sur les surfaces noires. Les ailettes commencent à tourner sensiblement (théorie moléculaire de Brown. (18ème siècle !).

Cette dernière raison est insuffisante ! Si le moulinet tourne, c’est qu’il obéit à 2 forces additives.

La 1ère est bien l’effet thermique qui est le résultat d’une transformation d’énergie cinétique d’une partie des photons qui ont pénétré la matière et se sont transformés en photons thermiques (chaleur) laquelle a provoqué l’augmentation de volume des molécules d’air (voir les textes) – le photon composant intermittent de la matière  -

Cette énergie thermique s’ajoute à ce que les physiciens appellent  « la pression lumineuse » qui n’est rien d’autre que la force résultante d’énergie cinétique des photons qui n’en échangent que la moitié lorsqu’ils rebondissent sur les faces brillantes.

Ce que le constructeur a omis d’écrire est que si le vide primaire de 10-4 mm de mercure est remplacé par le vide secondaire de 10-10mm  de mercure le moulinet tourne dans le sens opposé et démontre bien que les photons possèdent une énergie cinétique et donc une masse.

 
    2 Expérience  professionnelle

 J’ai travaillé de nombreuses années en compagnie de plusieurs physiciens,  médecins et biologistes de très haut niveau et de renommée mondiale. Cela  m’a permis d’assimiler les connaissances nécessaires et suffisantes pour  analyser et tenter de résoudre le phénomène qui provoque la rotation du  moulinet. Je suis un ancien chercheur du CNRS qui sait réaliser et mettre  en application ses idées.


    3 Premier  pas

 La question est « Pourquoi le moulinet tourne, il sous l’effet de la  lumière ? »
 Tout au long de ma carrière, j’ai souvent posé cette question à tous les  physiciens que j’ai pu côtoyer. J’ai toujours eu des réponses qui ne  correspondaient pas à perception du phénomène. Car je ne conçois pas d’énergie cinétique sans masse et  sans vitesse.

 Albert Einstein a pourtant écrit : « Il  est quasiment impossible d’imaginer une expérience  prouvant que la masse du photon n’est  pas nulle ». Il avait bien dit « quasiment » car il  n’en était pas sûr. Avec mon appareil qui peut mesurer une énergie de moins  de 10-9 eV, j’y suis pourtant arrivé.

 Si vous êtes  curieux et que vous  souhaitiez savoir comment je m’y suis pris, suivez les péripéties de cette  longue recherche. Celle-ci a été faite à l’aide de très faibles moyens. Concepteurs  et réalisateurs sont indispensables et complémentaires pour aboutir à des  résultats cohérents. J’ai les capacités de cumuler ces deux atouts.

 
    4 Déclencheur
 
Ainsi à partir de l’observation d’un filament d’une ampoule disposé dans un gaz neutre, qui avait perdu sa masse sans laisser de trace, je remettais en cause la pensé unique qui sévit dans les sciences. En l’occurrence, celle qui définit la lumière comme un phénomène uniquement ondulatoire dépourvu de matière. Je n’accepte rien définitivement que je ne puisse comprendre totalement.
 Comment une tôle d’acier pourrait-elle être découpée autrement que par des particules aussi petites soient-elles ? (Laser de découpe) Dans mon ouvrage, j’annonce la couleur en précisant ma philosophie à travers mes diverses expériences.


    5 Présentation  technique
 
Pour moi, les mathématiques sont indispensables pour résoudre le problème de la masse de l’infiniment petit : le photon. Ces seules mathématiques sont, malgré tout,  insuffisantes pour trouver cette masse au repos. J’ai donc décidé de la mesurer et de la calculer. Afin de réaliser cette mesure, j’ai conçu et fabriqué une balance dynamométrique qui puisse mesurer l’infiniment petit : « e ».

Ce dynamomètre devra donner la valeur de l’énergie cinétique d’un photon grâce à la formule mathématique, bien connue, de la mécanique céleste : e=1/2 mV2. Il est ainsi très facile de d’extraire « m » de l’équation lorsque l’on connaît « e ».

Schéma de principe :
 
Au repos Sous bombardement
 
5.1  Détails techniques de réalisation :
 
Ma balance dynamométrique est composée d’un fléau en forme de croix Grecque  parfaitement symétrique. Ceci représente l’équipage mobile oscillant autour du point de rotation central. Afin d’obtenir une valeur facilement mesurable et précise, j’amplifie le déplacement du fléau supérieur par projection lumineuse. Ce principe simple et fiable, me permet d’amplifier le déplacement du fléau jusqu’à une valeur de 6000. Par exemple pour un déplacement de 0,1mm à l’extrémité du fléau, on obtient un déplacement à la projection de 60 cm en lecture.


 
5.2  Opération d’étalonnage :
 
Pour étalonner l’équipage mobile afin d’établir une échelle des forces, j’ai réalisé des étalons d’une masse de 0,023 mg que je viens déposer sur la cible gauche horizontale.
 
 
Au repos Avec l'étalon
  
Cette opération d’étalonnage, très délicate, a été réalisé à l’aide d’un outillage spécifique et un savoir faire propre. Une fois cette opération réalisée, il suffit d’établir une échelle de correspondance des forces, entre le déplacement réel du fléau et l’échelle d’étalonnage pour une masse de 0.023 mg, donc une force de
F = 0.023x10-6x9.812 = 0.225676x10-6 Newtons. Par exemple, pour une distance de projection de 30 mètres, le déplacement de la projection de l’ombre sera d’environ 3,5.10-2 cm. Ceci étant une valeur de base qui sera ensuite utilisée pour réaliser nos mesures.

Résumé de notre exemple : F=0,225676.10-6 Newtons -> 35 cm de déplacement

 
Une fois l’étalonnage effectué, il faut impérativement supprimer la masse étalon de 0,023 mg,  précédemment déposée sur la cible horizontale. Cette opération très délicate doit être réalisée avec beaucoup de dextérité et un matériel approprié.


 
5.3  Coefficient d’amplification



Le Coefficient d’amplification K est le rapport existant entre le déplacement réel du filament et la projection lumineuse sur un écran situé à une distance L de la source lumineuse. Dans le cas de mon dynamomètre, la distance d entre la position du filament et la source lumineuse est de d=0,01 m. La longueur L est fonction de la précision souhaité.
 
D’après Thalès nous avons le rapport suivant :
 
H / 5.10-5 = L / d         à        H = L x (5.10-5 / 10-2)  à        H = L x 5.10-3

K = L.100
 
Dréel = DProjection  / K
 

L, Dréel = DProjection : en mètres
 
Par exemple : Pour un écran situé à 30 mètres, le coefficient d’amplification sera de K=30 x 100 = 3000.
 

 
5.4  Mesure d’un bombardement laser :
 
Pour mesurer la masse d’un photon, il faut obligatoirement bombarder la cible avec un nombre connu de photons dans un laps de temps donné. De cette façon on connaît le débit photonique propulsé vers la cible. On pourrait assimiler ce phénomène à une mitraillette qui tire sur un véhicule blindé. Ce dernier reculera sous les impacts des balles. Dans cet exemple très représentatif, on connaît la vitesse moyenne des projectiles ainsi que leur masse, il est dans ce cas très facile d’en déduire l’énergie échangée au véhicule. Par contre dans le cas des photons issus d’une source laser, on connaît le débit de sortie des photons (3,5.1016 photons par secondes pour un laser de 10 mw) ainsi que leurs vitesse (c=3.108 m/s). Il est donc relativement facile d’en déduire la masse si l’on connaît avec précision le déplacement de l’organe mobile durant une unité de temps.



Pour effectuer une mesure avec mon dynamomètre, il suffit (après étalonnage) de bombarder la cible avec un laser de 10 mw pendant 1000s. La cible a donc été bombardée par 3,5.1020 photons. Le déplacement de l’ombre placée à une longueur L=30 m de la source lumineuse est de 3 mm. Donc le déplacement réel de la cible est de 3/K (avec K=1000) donc Dc=0,001mm donc Dc=10-6 m. La force correspondante est donc de 2,3.10-8 KgF soit F = 2,26.10-7 N
 
PEtal     à Masse Etalon en Kg
FEtal     à Force Etalon en Newton
EEtal     à Energie  Etalon en Joules
DProj     à Longueur de déplacement du faisceau lumineux projeté en mètres
Nbph     à Nombre de photons
Plaser      à Puissance du faisceau laser en milliwatts
Tmes     à Temps de bombardement photonique en Secondes
3,5.1015 = Nombre de photons par mw et par seconde du faisceau laser
 
EEtal =  (PEtal x 9,81 x DProj ) / (L x 100)
Nbph = 3,5.1015 x Plaser x Tmes
E = EEtal / Nbph
M  = 2 x E/C2



Cette formule n’est valable que pour mon dynamomètre et vous donne la masse du photon au repos M. Dans ma configuration j’obtiens pour une distance de projection de L=30 mètres une déviation du faisceau projeté de 3 mm.
 
La masse du photon au repos est donc :
 
M = 62.10-35 x (2,3.10-8 x 3.10-3) / (30 x 10 x 1000)
 
M = 1,426.10-49 Kg
 
    6 Remarques
 
Mon dernier dynamomètre est télécommandé par radio et possède une sensibilité inférieure à 10-10 N, l’amplification optique pouvant accéder à : x 6000. Une absence totale d’hystérésis permet de mesurer une force infinitésimale avec une très grande précision, ainsi que son chemin parcouru au 10ème de micron.



Je connais le déplacement de la force en allumant le laser du bas à gauche, celui-ci bombarde la cible du bas bien perpendiculairement, elle recule et ne s’arrêtera que lorsque les forces antagonistes seront de même valeur. Cette opération est longue car lorsque les 2 forces de sens opposés s’approchent de l’équivalence le couple résistant est de plus en plus faible et le déplacement est très lent. Lorsqu’il y a immobilité complète je fais le relevé sur l’échelle des forces déjà établi, lors de l’étalonnage.
 
« G » est une variable, par contre cette force provoquée par l’impact photonique est désormais définitive, c’est une constante.
 
Une fois ces préparatifs effectués, je suis en mesure de déterminer la masse du photon au repos. Le nouveau dynamomètre est là pour fournir les inconnus.

- L’impact des photons donne la force, cette force fait reculer la cible.
-  L’ombre parcourt un chemin dont la longueur doit être divisée par la valeur d’amplification dans le but d’obtenir le déplacement réel de la cible. Le produit de l’un par l’autre donne la quantité d’énergie en joule. En respectant les unités de force en Newton et la distance en mètre nous obtenons la véritable quantité d’énergie
- Sachant qu’un laser de 1mW propulse 3,5.1015 photons par seconde d 645 nanomètres :                 

Je connais le nombre de photons propulsés durant le temps de la mesure
Je connais leur vitesse par seconde
Je connais la force résultante qui a produit le travail
Je connais le chemin parcouru par la force
Je connais la quantité d’énergie échangée
Je peux maintenant résoudre mon équation :     E = ½ mc2
 
NB : Certains seront surpris de voir que je n’emploie pas E = mc2. Je suis sur ce point en désaccord avec Einstein qui ne considérait pas le photon comme une  particule. Pour lui la masse du photon était égale à 0. Dans mes mesures « m » n’est pas 0, j’applique donc les règles de la mécaniques céleste.
Je précise que le prix Nobel ne lui a pas été décerné pour cela. Des physiciens lucides ne ont pas accepté ses théories sur le photon.
Pour obtenir une valeur de m il aurait été in dispensable de connaître « e », il ne l’avait pas et c’est ce « e » que je connais grâce à l’appareil que je présente.
 
L’hyperdynamomètre se réfère  de la gravitation universelle qui n’est pas absolument constante et variable en fonction des cycles lunaires et solaires, ce qui m’oblige à faire de nombreuses mesures à intervalle de temps différent, après à chaque fois à réaliser de nouveaux étalonnages.
 
Le poids de mes étalons change mais pas leur masse. Pour employer cet appareil, je commence par établir une échelle des forces à l’aide des masses étalons que je dépose sur la cible de gauche dont le plan est horizontal. Cette cible que l’on charge est disposée à l’extrémité du fléau en fibre de carbone qui va basculer tout l’équipage mobile en forme de croix parfaitement symétrique afin d’éviter les parasites telluriques. La masse que je dépose est un petit disque d’aluminium de densité 2,7 d’épaisseur 0,01 mm et de 2 mm de diamètre. Cette masse est de 0,023mg soit 2,3.10-7 kg
 
En faisant tourner cette croix, le filament de 0,05mm de diamètre placé au sommet de la branche verticale du fléau, et au foyer du système optique se déplace. A la projection sur l’écran, j’obtiens une ombre verticale, en mesurant la dimension de cette ombre, je connais la valeur de l’amplification optique, ce qui me permet de connaître très exactement le chemin parcouru par la force appliquée sur la cible disposée sur la partie inférieure de la branche verticale de la croix.



Cette force résultant du flux de photons émis par le laser du bas à gauche provoque le recul de la cible dû à l’échange des particules au nombre de 3,5.1015 par seconde.
 
Dans ce cas particulier, l’effet Coudert existe mais appliqué à cet endroit, il ne peut pas provoquer de rotations car cette force ascensionnelle n’est pas interprétée
 
NB : l’ EFFET COUDERT est une découverte que j’ai faite en 1996. Il s’agit de la perte apparente de masse d’un corps éclairé. Ce phénomène, dont on ne connaît pas encore les causes,  a été considéré comme une découverte majeure. Le plus mystérieux est la récupération de la masse perdue par l’élément bombardé, en un temps 10 à 20 fois supérieur au temps d’exposition. Ce temps de récupération est  variable, il est fonction de la longueur d’onde émise et réfléchie.
 
Maintenant je dispose de la valeur de « E » que personne n’a pu obtenir avant moi.
 
E = ½ m.c2.
 
Il est très facile d’extraire la valeur « m » et on s’aperçoit qu’elle n’est pas égale à « 0 » ; même ceux qui trouvent une valeur égale à 10-69kg racontent des inepties car cette valeur est très, très, très voisine de « 0 ».
 
Sur la cible noircie au noir de fumée, une petite tache lumineuse apparaît à l’endroit de l’impact, c’est un petit albédo, ce sont les photons qui rebondissent après n’ avoir échangé que la moitié de leur énergie cinétique, ce qui provoque une très légère erreur.
 
Que ceux qui trouvent que cela est trop simple ou même trop simpliste essayent de réaliser mon dynamomètre, ils changeront peut-être d’avis et pour une fois ils auront la valeur de « E » que personne n’a pu trouver.
 
Remarque : Rapport entre la masse d’un Electron et d’un photon :
 
Résultat de Roger COUDERT :
Masse du photon  ≈ 1,46.10-49 Kg
Masse de l’électron  ≈ 1.10-31 Kg
Rapport des masses est de 1018. Donc la masse de l’électron est 1018 fois plus importante que celle du photon.
 
Résultat des chercheurs Américains :
Masse du photon  ≈ 1.10-69 Kg (pas loin de 0)
Masse de l’électron ≈ 1.10-31 Kg
Rapport des masses est de 1038. Donc la masse de l’électron est 1038 fois plus importante que celle du photon.  
 
Imaginons un exemple concret pour comparer ces deux masses. Soit un petit pois qui heurte le soleil  plus une bonne poignée d’astéroïdes, à la vitesse de la lumière. Que se passe-il ?
 
D’après Dirac et Einstein, suite à cet impact, le soleil se déplacerait de 10 millions de kilomètres. Très intéressant comme approche !!!!! Un peu surnaturel mais intéressant …
 
D’après moi, et mes mesures, le petit pois déplacerait la lune de 100 000Km. Un peu mieux mais toujours pas très réaliste …. Pourtant presque tous les physiciens, estiment que la masse du photon que j’ai trouvé est beaucoup trop importante.
Certain diront que les cellules photoélectriques fonctionnent, mais il faudra trouver une autre raison que celle invoquée. Tout ceci me laisse perplexe …

Roger COUDERT
 

La masse du photon trouvée mathématiquement par d’autres chercheurs à travers le monde
 
Chercheurs
Masse du photon
l'université de Huazhong (Chine) 10-54 kg
ALBERT EINSTEIN 0 kg
Université américaine 10-69 kg
FRANCIS CHANCHEZ 10-69 kg
MAX PLANCK Ne l'a jamais donné
LOUIS DE BROGLIE 10-53 kg

 
(Réalisation photos : Dr. Philippe OLLIER)