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Cet ouvrage est inscrit au patrimoine historique de l'Académie des sciences
INSTITUT  DE  FRANCE
sous le n° 17 722 le 13.07.2005


"La physique est une science vivante dont les modèles et les théories peuvent toujours être remis en cause. C’est un frein sérieux pour le dialogue expérience-théorie quand elle s’enkyste dans un formalisme que quelques initiés seulement (semblent) comprendre."

Physicien Maurice Duquesne
Directeur de la section Physique de l’Université P. et M. Curie


NOUVELLES SCIENTIFIQUES

ROGER COUDERT
Roger Coudert


"La lumière; un phénomène uniquement ondulatoire dépourvu de matière ?"

coudert.roger@numericable.fr

Il est le seul a trouver expérimentalement la masse du photon, ainsi que la perte de la masse de la matière, provoqueé par la lumière. Raison supplémentaire à celles déjà connue qui provoque la perte de l'eau sur les planètes qui en possèdent. Ainsi que l'éloignement de la lune provoquée par les pertes de masse réciproque terre-lune.

Roger Coudert cherche des physiciens pour dialoguer.



Roger COUDERT par René TURCHI

Les Progrès de l'humanité sont lié à une meilleurs connaissance du monde. Avant même l'étude des être vivants dont l'homme et des fluctuations des sociétés, il convenait de connaître pour essayer de les maitriser. notre environnement immédiat, la terre, l'eau et celui moins palpable, les gaz simples, le son, la lumière.

Depuis Archimède, les lois de la nature ont été mises en formule, mais malgré l'observation qu'ont permis le microscope électronique et les téléscopes géants, la nature profonde des phénomènes comme l'énergie ou la lumière restent un mystère, alors qu'on a brillament utilisé leurs effets.

Tout au moins leur appréhension total pose encore des questions aux scientifiques qui se contentent pas de postulats.

Ainsi a partir de l'observation d'un filament de lampe dans un gaz neutre qui perd sa masse sans laisser de trace, Roger COUDERT remet en cause la pensée unique qui sévit dans les sciences et, en l'occurence, celle qui définit la lumière comme un phénomène uniquement ondulatoire dépourvu de matière.

Lui n'accepte rien définitivement qu'il ne puisse comprendre totalement; par exemple "comme une tôle d'acier peut être coupée autrement que par des particules aussi infiniment petites qu'elles puissent être."

Dans son ouvrage, Roger COUDERT annonce la couleur en précisant sa philosophie à travers ses diverses expériences.

    "En science l'horizon est sans fin, il reste tout à découvrir"
    "les questions que je me pose sont de plus en plus nombreuses et encore"
    "Pour moi trop d'abstrait est indigeste"
    "Ne pas se laisser intimider pas ceux qui croient tout savoir"
    Ne jamais sous estimer une idée d'ou qu'elle viennent"
    "Accepter un critique si elle est sensée"

Mais là où des vulgarisateurs s'en tiennent à des hypothèses approximatives, Roger COUDERT, installé dans l'atelier laboratoire qu'il a aménagé dans son garage au 5 éme sous-sol de l'immeuble ou il vit (pour atténuer l'effet sismique) observe, vérifie et recoupe ses observations, échafaude des ses mains des dispositifs expérimentaux remarquables d'ingéniosité. mesure, corrige les paramètres parasites, remesure et fait toucher du doigt à qui veut l'entendre le point sensible qui pose problème, l maillon de la chaîne dont le raccord laisse à désirer.

Ce n'est pas gloriole qu'il expose les remises en question qui l'assaillent. Son but est l'avancée de la science pour le bien de l'humanité, pas forcement plus vite, mais sûrement. Il dit modestement :
    "Je souhaite que mes expériences soient reprises"
    "J'espère rencontrer quelqu'un qui pourrait m'expliquer certains phénomènes que j'ai observés."

Le physicien, ex chercheur au CNRS, aujourd'hui retraité, est également un fin mécanicien qui sait faire passer son intelligence et sa maîtrise au bout de ses doigts.

Cet inventeur concepteur et réalisateur, a été le premier au monde à permettre au service de cardiologie de l'hôpital la Pitié à Paris de faire les angio cardiographie, à la salle d'ARSONVALE en 1948.

Depuis il a conçu et réalisé :

    1. Les grilles sélectives de Rx
    2. Un procédé de sélection des couleurs pour la télévision
    3. Un télécommande vocale sans électronique: Parisien libéré 31.05.49 et au cinéma et actualités Fox Movyeton.
    4. Avec Cohen SOLAL, biologiste, en effet des ultrasons pour la prolifération des algues. Dépôts à l'institut de France, ceci pour l'alimentation des pays soumis à la famine
    5. Pompage des eaux profondes par l'énergie solaire
    6. Déshydratation solaire des fruits au Mexique
    7. Un four solaire monté sur équatoriale puiss. 1 kw à l'école Politecnico de mexicofour solaire
    8. concepteur d'un refuge d'étude électrostatique de très haute montagne doté d'un antifoudre, procédé d'ALEMBERT le tout construit sous son autorité par ses élèves. Temp. ext - 40°C int +2°C chauffage solaire
    9. Concepteur et réalisateur d'un enregistreur automatique de sédimentation du sang
    10. D'un système de détection de présence pour les aveugles
    11. D'un palpeur de coeur de souris pour mesurer les valeurs de diastole en fonction des narcotiques reçus
    12. De lunettes à capacité variables et réglable de 0 à l'absolu

Déporté dans l'enfer nazi de Dachau, il participa à la "bouchée de pain" système communautaire de survie, qui permit à bon nombre des ses camarades d'échapper à la mort.

Professeur dans ses dernières années d'activité dans une école d'ingénieurs de Mexico, il a monté physiquement avec ses élèves les pièces d'un refuge au sommet Popocatepetl, il a fait flotter le drapeau français à côté du drapeau mexicain. Il me fait l'honneur d'être son compagnon de randonnées sur les merveilleux sentiers de l'arrière pays niçois, et je peux témoigner qu'à 82 ans, mille deux cent mètres de dénivelé journalier ne lui font pas peur.

Peut être est-ce là le secret de la clarté de son esprit !!




Masse du photon

Si un petit pois de un gramme qui symbolise le photon se déplaçait à la vitesse de la lumière, d'après les personnes qui donnent une masse au photon de 10-69 Kg. Ce petit pois serait capable, d'après DIRAC et EINSTEIN, de déplacer le soleil d'une masse de 10 + 30 kg de 1000 Km. Le photon de COUDERT, considéré par certain comme beaucoup trop lourd déplacerait la lune de 10 000 Km. Dans les prochains jours Roger COUDERT vous expliquera cette impossibilité par les expériences.

Liste des physiciens qui ont osé aller à l'encontre d'Einstein, concernant la masse du photon.
 
 
Tous ces chercheurs ont utilisé la constante de Planck.
Roger Coudert confirme que sans s'appuyer sur des mesures expérimentales les mathématiques seules ne peuvent pas permettre de calculer la masse du photon.
 
C'est avec sa balance dynamométriques analogique que ce physicien a calculé pour le photon une masse de 1,426.10 -49 kg.
 
L'électron est 10 milliards de milliards de fois plus massique que le photon.
Roger Coudert ajoute qu'un bon élève de 6ème est capable de calculer la masse du photon grâce aux informations fournies par son appareil. J'espère que les mathématiciens de haut niveau ne m'en voudront pas, car comme l'a dit L .de Broglie : il n'est de science que du mesurable

Quel intérêt y-a-t-il à connaître la masse du photon ?

Ceci est une recherche  fondamentale : pour la physique, il est indispensable de connaître notre environnement et les phénomènes qui s'y produisent.

La polémique sur la lumière n'est pas nouvelle. Il y a 2500 ans le philosophe grec EMPEDOCLE prétendait que la lumière était composée de très petites particules.

Cet homme était un génie. Considéré comme hérétique, d'après l'histoire, il se serait suicidé en se précipitant dans les laves de l'Etna !

Pour étudier la lumière qui est la source de vie inépuisable à notre échelle, il est indispensable de bien la connaître.

Les éléments, qui la composent, existent partout même dans le cosmos : le vide absolu n'existe pas.

Notre organe de la vue n'en décèle qu'une très petite partie, celle que nous appelons la lumière.

Se reporter à la courbe de GAUSS de la sensibilité de l'oeil. Les micros particules qui la composent (les photons) tournent sur elles-mêmes à des vitesses différentes, ce qui les classe par ordre de fréquences et détermine leur longueur d’ondes apparente.

Notre oeil les sélectionne par les couleurs.

En ce qui concerne, les fréquences plus basses, notre organe du toucher enregistre leurs effets. Ces 2 organes peuvent être détériorés par des radiations hors de leurs caractéristiques réceptives en densité. Ce que notre peau enregistre, nous l'appelons la chaleur ou le froid. Les responsables de toutes ces interprétations sont les mêmes particules, les photons.

 

Si nous exposons par un fort soleil d'été une masse de fonte de 0,1 mètre d'épaisseur et de 1 mètre carré de surface il se produit le phénomène suivant.

Notre oeil la voit, car des photons rebondissent dans tous les azimuts, une partie est captée par notre appareil optique, l'image reçue impressionne notre rétine qui transmet le message codé à notre cerveau. Nous voyons la plaque.

Une autre partie, pénètre dans la matière et provoque une élévation de température, il en résulte une dilatation volumétrique et, également une augmentation de masse, car les photons sont massiques. Ils ne sont pas que des ondes, contrairement aux théories établies.

Les ondes, ils les provoquent tout comme les molécules d'eau ou d'air.

Ces photons provisoirement prisonniers de la matière dans ce cas, la fonte, le physicien J. Rigaud, les nommait les photons thermiques. (les théories de J. Rigaud étaient fortement approuvées par le prix Nobel L.  de Broglie)

Cette plaque pénétrée par une grande quantité de photons thermiques rayonnera à son tour, si nous la transportons dans un lieu où les molécules d'air sont moins riches en photons de cette nature. La plaque est devenue un volant thermique qui transmet ses joules à l'air ambiant. Ce rayonnement s'arrêtera lorsque l'équilibre  thermique sera établi.La masse aura retrouvé son ancienne valeur en fonction de la nouvelle température.

Si à la place de la fonte nous avions disposé du cuivre l'absorption de photons aurait été 7 fois supérieure. Toutes les matières n'ont pas la même capacité thermique ainsi que la même conductance. La plus importante est celle de l'argent et ensuite celle du cuivre. La résistance mécanique et le prix de revient ont déterminé le choix du cuivre pour beaucoup de réalisation électrique.

                LE CUIVRE : masse atomique 29 - densité 8,96 - fusion 1083 degrés - ébullition 2595 degrés - atome 34 neutrons - 29 protons - 29 électrons - 3 couches électroniques  K-L-M.

                K =2e  L = 8e M = 19e   Diamètre du noyau 10-15 m, diamètre du nuage électronique 10-10 m, masse du noyau 10-28 kg.

Ceci est la carte d'identité du cuivre, qui sera le cobaye des observations qui suivent.

Le cuivre est un excellent conducteur de l'électricité, il possède beaucoup d'électrons libres.

Les électrons libres se repoussent entre eux car ils possèdent la même charge. Ces électrons sont ceux qui permettent le déplacement du flux électronique, l'effet est très rapide et leur déplacement unitaire est très faible. DIRAK, FREIMAN et EINSTEIN prétendaient que le heurt violent entre 2 électrons pouvait produire l'annihilation de l'un d'eux et provoquer la création d'un photon !

Deux étoiles comme le soleil qui entreraient en collision ne provoqueraient que la naissance d'un petit pois de 1 gramme !... Il serait plus plausible de dire 10 puissance18 photons car la masse totale ne doit pas changer.

Comme on peut le voir sur le dessin symbolisant un conducteur en cuivre, les atomes sont séparés les uns des autres. Cet éloignement est provoqué par la répulsion des électrons  entre eux et en particulier par les électrons de valence de la couche M qui constitue une véritable barrière. Les électrons libres subissent également cette même répulsion entre eux, ce sont ceux que nous exploitons pour le déplacement de l'énergie électrique. Les électrons libres ne parcourent pas de grands trajets. Chacun d'eux se limite à repousser son voisin et ainsi de suite. Le déplacement unitaire est très petit, mais l'effet produit à une résultante très rapide. Tous les électriciens savent que plus un conducteur s'échauffe plus il s'oppose au déplacement des électrons libres. La résistance électrique augmente comme le stipule la 2 ème loi d'OHM dans laquelle on fait intervenir la température.

J'en déduis que les photons thermiques s'opposent à la circulation électronique.Plus on change les électrons à intensifier leurs échanges, plus il y a d'électrons qui s'annihilent et plus il y a de production de photons thermiques qui obstruent le passage. Lorsqu'ils freinent la circulation, ils s'échappent et le conducteur rayonne. Voir la courbe de perte de masse du filament de tungstène. C'est ce qui se produit dans les appareils de chauffage électrique, lesquels émettent de l’infrarouge. Tous les appareils produisent des infrarouges,  lorsqu'ils sont destinés et que l'on précipite les électrons plus violemment, la bande réservée aux infrarouges correspond à leur mauvais rendement. Les lampes à gaz chauffent beaucoup moins, le conducteur dans lequel les électrons s'annihilent car le conducteur est plus extensible que les métaux.

Dans les métaux, l’accumulation des photons thermiques constituent momentanément un élément provisoire de la matière, ce sont des composants intermittents.

Ils sont responsables des changements d'état des corps ainsi que de leur variation de masse : un bloc de métal pesé à 20° ambiant a augmenté de masse lorsqu'il est élevé à 800°, son volume a augmenté mais pas sa densité. Nous lui avons additionné la masse des photons thermiques.

Dans un rapport technique que j'ai fait en 1994 j'écrivais que le nombre d’électrons actifs mesurés en amont d'un appareil récepteur et transformateur d'énergie  était le même qu'en aval... C'était exact en apparence car ce genre de mesure souffre d'imprécision. Je ne pouvais rien affirmer. Aujourd'hui, après avoir déterminé expérimentalement la masse du photon et son rapport avec la masse de l'électron soit 10 puissance 18. Je m'aperçois que l'annihilation de quelques électrons peut générer un  très grand nombre de photons. 

Cette théorie sur l'augmentation de masse par l'apport de photons thermiques semble aller à l'encontre de l'effet Coudert qui démontrait l'inverse.

Cet effet, dont je ne connaissais pas les raisons à l'époque en 1998, me paraît maintenant compréhensible.

Lorsque je mesurais la masse d'une cible, je constatais qu'elle perdait une partie de sa masse, en 1 ou 3 mn selon leur état de surface. Cette masse perdue était récupérée en un temps 10 à 20 fois plus long !

Très longtemps, je me suis posé la question, qu'elle est la nature de cette masse perdue et récupérée ensuite ?

Je crois avoir compris les raisons de ce phénomène. A l'époque je bombardais des cibles composées de feuilles d'aluminium très minces de 1/100 de mm d'épaisseur.

Les photons projetés dans un faisceau laser heurtaient la cible certains rebondissaient d'autres la traversaient. Cette cible avait très peu de masse, elle ne pouvait donc pas emmagasiner beaucoup de photons thermiques, la majorité était propulsée par les photons bombardiers. (voir la courbe concernant cette mesure).

Depuis, j'ai refait la même opération avec des cibles épaisses ce qui m'a permis d'éclaircir le mystère de l'effet Coudert.

Cependant, en science, on ne peut rien affirmer.

Je termine ici le récit des résultats de mes mesures et je confirme le  phénomène de la supra conductivité qui n'a jamais été élucidée.

Si nous plongeons le conducteur électrique dans de l'hélium liquide à quelques degrés Kelvin au-dessus du 0° absolu, nous extrayons presque tous les photons thermiques, la conductance est maximale, il n'y a plus de résistance décelable, les électrons libres ont une très grande liberté et nous obtenons la Supraconductibilité.

Dans le même ordre d'idée, j'ai réussi à augmenter le rendement des cellules solaires au sélénium en abaissant leur température de 20° Celsius.

Un autre mystère qui m'étonnera toujours et qui paraîtrait à l'encontre de cette théorie est l'expérience suivante que j'ai faite à mes élèves et que je n'ai jamais pu expliquer. Sur un circuit électrique alimentant une lampe j’intercale un barreau de verre que je chauffe avec une lampe à souder. J'ajoute donc des photons thermiques dans ce barreau de verre qui est un diélectrique, le verre rougit et la lampe s'allume. Si quelqu'un sait pourquoi, qu'il me le signale et je l'en remercie.

J'attends vos observations.

Appareil de Mesure

Projecteur laser

APPAREIL  N° 1 - Détecteur de variations de la gravitation universelle.

Cet appareil est un pendule rigide en fibre de carbone. Il n'est pas influencé par le flux magnétique.
Ce pendule rigide ne peut osciller que dans un seul plan, sa très haute sensibilité permet de déceler des dérives gravitationnelles de 0,03grade.
Il indique l'orientation favorable à donner aux appareils 2 et 3 afin d'en obtenir le maximum de stabilité et de précision.


APPAREIL N° 2 - Dynamomètre analogique
 
Cet appareil doit être orienté obligatoirement dans la direction déterminée par le détecteur n° 1 car l'opération pour laquelle il est conçu est très longue.
Lorsque la mesure est longue, la valeur de la gravitation varie, cette variation n'est pas linéaire. Il est donc indispensable de la connaître.
La mesure réalisée avec ce dynamomètre analogique, consiste à mesurer la force résultante de l'impact des particules photoniques qui heurtent la cible.
Cette force est appelée (pression lumineuse) par les physiciens qui nient l'existence de la masse du photon.Tout comme les mathématiciens du XVIIIème qui affirmaient que le plus lourd que l'air ne pouvait pas voler malgré l'exemple des oiseaux.
Cette mesure de la force inertielle de la lumière est très longue car lorsqu'on oppose 2 forces antagonistes, l"équilibre parfait ne peut s'établir qu'au terme d'une période théoriquement infinie, logiquement cette durée de mesure est d'environ 1 heure.




APPAREIL N°  3 Dynamomètre numérique
 
Cet  appareil est également composé d'un équipage mobile pendulaire.
Comme pour les 2 précédents, la lecture se fait par projection optique pouvant obtenir une amplification de 15 000 en fonction de l'espace disponible.
La cible est bombardée par le générateur laser de 5 mW, sa conception pourrait permettre de travailler sous un vide secondaire ce qui serait préférable.
L'opération consiste à connaître le déplacement provoqué par la force appliquée à la cible .
Connaissant la force indiquée par le dynamomètre analogique et, connaissant le déplacement indiqué par le dynamomètre numérique n° 3, ainsi que le nombre de particules photoniques provoquant le bombardement, je dispose de tous les éléments qui me permettent de calculer la quantité d'énergie en joule.
Cette quantité d'énergie (e) de sa célèbre formule, Einstein ne l'a jamais connue et ne pouvait pas la connaître car il n'avait pas les moyens de la mesurer.




La Masse du Photon

Mesures effectuées le mercredi 5 octobre 2005 à la 24éme heure solaire.                                                                                                                                                    
A ce moment – là , le soleil et la lune étaient en concordance.
Cette opération consiste à mesurer la force constante résultant de l’impact des photons issus du générateur laser de p=5mW soit 1.1016  photons par seconde. Cette force est appelée pression lumineuse par les physiciens.
Connaissant, à la suite de diverses mesures une masse au photon, je considère qu’il possède une énergie cinétique lorsqu’il est en mouvement.
 
Cette énergie cinétique est échangée avec la cible fixée à l’équipage mobile de la balance dynamométrique pendulaire analogique.
Cette balance est disposée dans un  plan d’oscillation très voisin de la direction nord-sud.
Cette orientation a été choisie en fonction des informations fournies, par le pendule spécialement conçu dans le but d’obtenir une dérive gravitationnelle minimale. Cette orientation est celle du nord-sud géografique.
 
Une fois la balance dynamométrique installée, j’ai établi une échelle des forces, en disposant sur le plateau solidaire de la cible une masse étalon de 0,044mg.
 
Le dépôt de cette masse a provoqué le déplacement du réticule lumineux de 40mm.
 
Ce parcours est le résultat du déplacement d’une force de 4,32.10-7 N en opposition avec la force gravitationnelle qui fait office de couple de rappel.
Après la graduation de ce parcours de 40mm, l’étalon de 0,044mg est retiré, l’équipage mobile reprend sa position originale, le réticule revient au point 0.
 
A cette période de l’opération, la balance analogique est désormais un dynamomètre.
L’émetteur laser bombarde la cible, celle-ci recule sous l’effet de l’échange de l’énergie cinétique reçue.
Il se trouve que 2 forces antagonistes s’opposent, d’une part la pression lumineuse, et d’autre part, le centre de gravité de l’équipage mobile qui recherche sa position primaire.
Au moment de l’allumage du laser le déplacement est rapide, très peu de temps après, il ralentit. On obtient l’immobilité, lorsque les forces antagonistes sont de même valeur. L’interprétation de la force constante de l’émetteur  se traduit par le parcours du réticule.
Ce parcours de 4mm correspond à une force de 4,32.10-8 N.
 
La dernière phase de cette mesure s’effectue avec un pendule porteur d’une cible et d’un amplificateur optique d’un pouvoir multiplicateur de 3000.
Cet appareil permet de connaître le chemin parcouru par la force pendant la durée du bombardement.
 
Pour ces mesures, j’ai approuvé les opinions de Louis de BROGLIE en donnant comme lui une masse au photon. Il a dit « Il n’est de science que du mesurable »
 
                                                  J’AI MESURE             J’AI CALCULE              J’AI TROUVE
 
Je suis le concepteur-réalisateur des appareils qui m’ont permis d’obtenir ces résultats.
 
Ce que j’ai réalisé et obtenu ne modifie en rien les lois de la physique moderne.
J’ai simplement apporté une pierre manquante à son édifice, j’ai matérialisé les quanta de Max PLANK.
J’ai obtenu les mêmes résultats par 2 méthodes très différentes. La première en 2000 en employant l’action de la lumière sur la gravitation. « Effet COUDERT » Cette fois-là, les photons étaient comptabilisés par le procédé : GERMER et DAVIDSON     prix Nobel de physique, la seconde fois, en 2005 avec un générateur Laser et mes balances et pendules dynamométriques.
 
Après de très nombreuses mesures j’ai obtenu les mêmes valeurs à 2 % près.
 
Le photon est bien une particule possédant 2 énergies : l’énergie cinétique de rotation qui lui donne son apparence ondulatoire qui correspond à sa fréquence et l’énergie cinétique linéaire associée à sa vitesse.
 
JE STOPPE MES MESURES ET JE DONNE DEFINITIVEMENT A LA PARTICULE PHOTON UNE MASSE DE : 


10-47 KG à 2 %

 
Cet  ouvrage est inscrit au patrimoine historique de l’Académie de France, Institut de France sous les plis :
n° 17.484 au 12.06.1998
n° 17.464 au 14.01.2000
n° 17.722 au 11.07.2005




Liens

 
http://www.coje.fr/photon3

http://science-univers.qc.ca/cosmologie/lumiere.htm

http://science-univers.qc.ca/cosmologie/bigbang.htm

http://quanthomme.free.fr/nouvelles/Communique15022001.htm

http://science.libre.free.fr/pedagogie/lire.php?msg=1225

http://quantum-science.org/publication/photonmasse

http://membres.lycos.fr/jackybley/

http://forums.futura-sciences.com/viewtopic.php?t=4777

http://physique.ref.ac/holophysique/francais/holophysique.htm