Ce qui nous différencie des autres
c’est le combat
Reçu avec les autres syndicats par la ministre le 15 mars 2015,
le SML a été le seul à lui demander le retrait de la loi de Santé.
Parce que la loi de Santé c’est :
La généralisation insupportable du tiers-payant qui détruit le couple « médecin-patient » et est inflationniste,
L’exclusion de la majorité des médecins libéraux de l’aide financière publique à la coordination des soins,
La fin programmée des établissements de soins privés, pourtant garants de la diversité de l’offre de soins,
La disparition de la négociation conventionnelle nationale,
La marchandisation des données de santé trahissant la confiance des patients et contraire à notre code de déontologie,
La prise de contrôle de la Santé par les complémentaires et les grands groupes financiers de l’internet.
Le SML combattra cette loi jusqu’à son retrait total.
Le SML s’engage à construire
et à demander sans compromis ni
démagogie :
La primauté du paiement à l’acte,
La revalorisation des actes sur la moyenne
européenne et son indexation annuelle sur le
coût
de la pratique,
La création de nouvelles lettres clés de
coordination pour tous les médecins afin de
permettre la coopération libérale pour s’opposer
aux forfaits des maisons de santé
subventionnées,
La modernisation de la formation initiale pour
rendre son attractivité à l’exercice libéral.
Pour l’avenir, le SML développe trois
concepts :
LA COORDINATION ET LA COOPÉRATION DES
SOINS
:
Chaque acte coordonné doit être valorisé par
une lettre clé,
Chaque profession de santé doit rester dans
son cœur de métier,
LA MOBILITÉ MÉDICALE ET LA TÉLÉMÉDECINE
:
Chaque déplacement doit être honoré à sa
juste valeur,
Chaque médecin doit être incité et valorisé, s’il
apporte son expertise sur un autre territoire,
Chaque médecin doit être financé s’il utilise
les
nouvelles technologies numériques,
LE COMPAGNONNAGE :
Chaque étudiant en médecine doit, le plus tôt
possible, aller à la rencontre du monde libéral au
travers de stages en médecine de ville
Unis et fiers d’être médecin, réveillons le désir libéral.
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