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commentaires, fichier créé en août 2001

-JANVIER 2002
* Retour sur la réunion du 17 décembre  (15/01/02)
* le marquage des chaussées
 (15/01/02)

-FEVRIER 2002
* réunion de la commission des travaux !   
 (5/02/02)
-MARS 2002
* des résultats ! un espoir ?
(2/03/02)
* travaux façade B1-B6
( 6/03/02)
*
réunion de l'ARR
(8 /03/02)
* ainsi va la france ?
(23/03/02)
-AVRIL 2002
* Voilà ce que vous auriez fait si…
(4/04/02)
*
Avant d'informer, il faut s'informer
 (7/04/02)
* quelle était la menace ?
 (7/04/02)
* stop aux nuisances
(15/04/02)
* statu quo pour la façade B1-B6
(18/04/02)
* il fallait le faire !
(18/04/02)
* assemblée générale : les terrasses du "B"
(26/04/02)
* assemblée générale : les comptes bancaires
(26/04/02)
* assemblée générale : règlement copropriété
(28/04/02)

-MAI 2002
* assemblée générale : quelques commentaires (2/05/02)
* assemblée générale : premier résutat (5/05/02)
* la "Lettre du Club de l'Arche Méditerranée" :
--réaction d'une lectrice
(7/05/02)

juin à décembre 2002
voir sommaire

AOUT 2001
* le tapis du premier sous-sol du B12
* les ascenseurs du bâtiment B
* les totems
* l'assemblée générale 2001
* le minibus
* courrier (cleren) du 5 juin au conseil
* le bassin
* des comptes vraiment spéciaux

SEPTEMBRE 2001
* les loyers des conciergeries
* questions sur les fonds de prévoyance
* loyers des conciergeries (complément)
* vente des loges

OCTOBRE 2001
* si on reparlait de l'eau
* quelle aide attendre du Conseil Syndical ?
* actualisation des ascenseurs :
-- critères
-- le déroulement des interventions
-- économie potentielle
-- conclusion
* en marge des ascenseurs
NOVEMBRE 2001

* suspension : la méthode
* les poubelles
* le gâchis
* les garde-corps B1/B6
* des réactions positives
* la sottise
* 400 000francs
* pas trop tard
DECEMBRE 2001
* les ascenseurs ! on insiste (3/12)
* faut-il changer de syndic ? (17/12)
* rien de neuf pour nos finances (26/12)
* le réseau d'arrosage (26/12)
* franchissement du talus devant le E7 (26/12)
* le rond-point (26/12)
* continuer avec le syndic actuel ? (31/12)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour sur la réunion du 17 décembre

A sa demande, le nom d’un conseiller a été retiré sur chaque compte rendu de réunions transcrit sur le site le 12 décembre puis le 17 décembre de la liste des conseillers où il avait été oublié.
Façade B1/B6 :
Le détail du règlement avec la société SIAREP est à la disposition des copropriétaires qui en feront la demande. Il n’est pas possible de le mettre en ligne du fait qu’un nouvel appel d’offres est (ou va être) lancé.

Une note de l’architecte datée de 8 janvier a été remise aux conseillers. On peut y lire que la société SIAREP est en redressement judiciaire et que l’administrateur judiciaire confirme que cette société ne reprendra pas les travaux d'une part et que les offres du nouvel appel seront en sa possession fin janvier d’autre part. En ce qui concerne les travaux acrobatiques de mise en sécurité des garde-corps, un devis est en cours !…
Affaire à suivre…

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le marquage des chaussées
Le marquage des chaussées est en cours de réalisation.
Il n’y a pas de doute que c’est plus agréable à l’oeil d’avoir un marquage propre plutôt que ces traces de peintures que nous contemplions depuis des mois.
MAIS :
L’assemblée générale a voté la réfection et le marquage du parking du bâtiment « C » et non le marquage de toutes les chaussées, la décision de faire ce marquage a été prise unilatéralement une fois de plus.
Il n’y a pas eu vote du conseil, et y a t-il eu consultation d’entreprises ? De plus faire du marquage sur des chaussées qui se délitent en plusieurs endroits peut sembler pour le moins curieux.
Nous paierons bien entendu, mais des petites sommes plus des petites sommes cela finit par faire beaucoup d’argent gâché car sans aucun doute, il faudra reprendre ces chaussées !
Quand y aura t-il un plan cohérent de remise en état de la copropriété et cessera t-on de réaliser des travaux bouche-trous à la demande de Pierre, Paul,
Jacques ou Philippe qui nous coûtent très cher en fin de compte !
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réunion de la commission des travaux
Quoi de nouveau dans cette réunion ?
...rien à en juger par le compte rendu...
Si !
Nous savons combien va nous coûter la modification des branchements électriques demandée par l'ascensoriste à la remise de son offre, modification qu'il a étudié avec EDF au début de son intervention sur les ascenseurs au bâtiment "B" : 7000FF.(montant donné en francs dans le compte rendu)
Avec le compte rendu de cette réunion, la note de l'architecte sur les travaux de la façade "B1 à B6" déjà distribuée aux conseillers le 19 décembre !... a été jointe à nouveau, mais rien de nouveau sur la situation de cet immeuble !
Par contre une énumération de travaux à présenter à la prochaine assemblée générale, liste vaguement connue depuis plusieurs mois. Et il faut le dire, encore des travaux non étudiés sans prendre en considération les priorités et annoncés sans concertation avec les résidants concernés et les conseillers :
Eau du bâtiment "B" :
Il est impensable que des travaux soient entrepris pour l'alimentation en eau du bâtiment "B" avec le président de la commission des travaux, le vice-président, et d'autres membres du bureau alors que cette équipe n'a été capable que de nous maintenir une "fuite" pendant plusieurs années n'a donné que des solutions érronées pour cette installation, et n'a jamais contrôlé la consommation... De plus, elle a tout fait pour empêcher un conseiller de faire connaître son travail et sa solution qui manifestement était la bonne.
La définition donnée de ces travaux laisse rêveur : "remplacement du surpresseur du "B" par un autre système..."

Un parking entre le "E" et le "D"
où ? supprimer le jeu de boules ? il est là depuis 1965 !
macadamiser l'allée en bout du "grand" escalier ? Massacrer un bout d'espace...pour combien de places de voitures !
Les trottoirs du bâtiment "B"
encore ? (cette fois on a ajouté : côté entrées) alors qu'a donc voté l'assemblée générale en mai 2001 ? (trottoirs du bâtiment "B" vote 24)
Ralentisseurs
mais l'assemblée générale de mai 2001 a voté contre ! on lui dénie donc toute décision qui ne convient pas au bureau du conseil syndical ! c'est ça la démocratie ?
La fermeture des entrées des immeubles :
oui MAIS !
il faut une étude correcte, des solutions présentées aux résidants, obtenir de leur part des critiques et surtout laisser le soin aux résidants d'un immeuble de choisir ce qui leur convient, et ne pas leur mettre le couteau sous la gorge comme cela a été fait pour les façades du B1 à B6, pour les ascenseurs de la copropriété et pour certains halls !
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des résultats ! un espoir ?

« Le premier sous-sol du bâtiment "A" va être nettoyé et peint » a annoncé le syndic. Ainsi, on s'aperçoit que ce site, aussi polémique qu'il est, donne quelques résultats. C'est un espoir, aussi infime soit-il. Une amélioration de la vie de notre résidence est donc envisageable.

Au cours de la réunion du conseil du 19 février, nous avons également appris que le bassin et ses abords sont en cours de nettoyage et que le vice-président a fait envoyer un courrier à l'ascensoriste pour lui demander de respecter son contrat. Or, à propos de ces ascenseurs, il a qualifié de mensonges les propos de deux conseillers syndicaux qui, bien entendu, ne disaient que la stricte vérité concernant les prestations de l'ascensoriste.

Néanmoins, mesurant ses difficultés à appréhender la partie technique de certains problèmes de notre copropriété, le site reconnaît que son revirement au sujet des ascenseurs est une amélioration de son attitude passée. Nous l'en remercions et souhaitons qu'il continue sur sa lancée.

Malheureusement, au cours de cette même réunion, il nous a demandé de voter une action pour les compteurs d'eau de la Rouvière sur un texte dont nous avons pris connaissance par la lecture qu'il en a faite juste avant le vote. Pourquoi ce document ne nous a pas été remis avant cette réunion afin que nous puissions l'étudier pour prendre une décision ? D'autant qu'il y a, là encore, un problème technique que ce monsieur ne peut résoudre seul. Donc, l'abstention s'imposait.

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ravaux façade B1-B6
Au cours de la réunion du 17 décembre 2001, l'architecte a déclaré : « la SIAREP avait demandé qu'on lui retire la fourniture des garde-corps de son marché ». Le 10 octobre le métallier apparaît sur le compte-rendu du chantier donc on peut en déduire que le marché des garde-corps lui était attribué à cette date.
Sur le compte-rendu de la réunion du 7 février 2002, lors de l'ouverture des plis du second appel d'offre, le syndic affirme : « lorsque nous avons eu les premières informations officieuses de la mauvaise santé financière de la SIAREP, nous avons, par mesure de sécurité, scindé le marché en deux lots : ravalement façade et fourniture des garde-corps »
La SIAREP a demandé ou le syndic a décidé ?

De toute façon scindé ou non, il n'y a pas de différence pour le copropriétaire, seul le métallier en a bénéfice…
Le 13 novembre 2001, une note de l'architecte indique : « la pose des garde-corps débutera au mois de décembre, le ravalement et les garde-corps seront terminés en avril 2002 ».
Le 22 novembre (neuf jours après !) la SIAREP est en redressement judiciaire !
Alors! L'un savait, l'autre ne savait pas
!

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réunion de l'ARR
La réunion du 8 mars a fait apparaître qu'un groupe de copropriétaires avec l'aide de l'ARR s'occupe activement des travaux B1-B6, ce groupe a communiqué le résultat de ses investigations.
Dans un premier temps une réunion avec l'architecte est programmée sous 6 jours et les travaux sont arrêtés jusqu'en septembre 2002.
Le site vous informera des événements à venir et vous renvoie vers le document intitulé "déroulement de l'étude " mis en ligne le 7 mars.
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ainsi va la France ?

Avec l'aide d'amis influents, les membres du bureau du conseil syndical de la copropriété ont trouvé une étiquette officielle pour améliorer leur image ! Ainsi il ont déposé auprès de la DIREN la demande du label "Merci ! Dit la planète" qu'ils ont demandé pour leur seule autosatisfaction et obtenu pour l'amélioration de la copropriété qui était en situation de non-qualité ! C'est ainsi qu'ils ont classé La Rouvière !
Il faut dire que ce bureau est en perte de vitesse avec son électorat (les copropriétaires) et que l'assemblée générale est imminente.
Mais ce que cachent les membres du bureau c'est que la non-qualité de la copropriété est le résultat d'une absence d'entretien général dont ils sont responsables depuis des années avec pour conséquences entre autres une fuite d'eau importante sur plusieurs années, les installations électriques des communs qui se dégradent au fil des ans, des risques d'incendie soulignés par GDF, des abonnements électriques inadaptés, la dégradation des chaussées et des immeubles que nous avons tant de fois dénoncée, etc., etc.
Et comment vont-ils concrétiser ce label ? Rassurez-vous, ce ne sera pas l'entretien de la copropriété qui sera la première mesure. Les copropriétaires vont voir arriver des montagnes de travaux hors budget mal menés, tels : le chantier de réfection des façades des six immeubles B1-B6 qui est aujourd'hui arrêté pour cause d'incapacité de le mener à bien, le saccage organisé des espaces verts, la révision des ascenseurs qui nous inquiète encore. Ces travaux vont fortement augmenter les charges qui sont déjà à la limite du supportable et le gaspillage continuera.

Et pourtant nous avions pris soin d'alerter, la DIREN, la DRIRE et certains services publics du département et de la région, de l'attitude des membres de ce bureau du conseil.

LES THEMES DE LA CAMPAGNE "MERCI ! DIT LA PLANETE" :
- l'amélioration de la qualité de l'air
- la limitation de la quantité d'eau utilisée
- le tri et la valorisation des déchets
- les économies d'énergie
- la réduction de la pollution sonore
- la protection de la nature

 

De toute évidence, il ne s'agit pas là des préoccupations premières du conseil syndical !
Et que peuvent penser ceux qui se mobilisent réellement pour la planète ?
Et ces artistes et personnalités qui donnent leur temps pour aider à la campagne "Merci ! Dit la planète" : Pierre Arditi, Jean Becker, Yann Arthus Bertrand, Peguy Bouchez, Corinne Cobson, Charlelie Couture, Yves Parlier, Jean Rochefort…

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Voilà ce que vous auriez fait si…  
Au B12, les peintres sévissent : l'éclairage est en marche dans le hall et les escaliers malgré la lumière vive pénétrant a giorno par un pan de mur entièrement vitré et par les fenêtres de la cage d'escalier (une par niveau) ! Le lavage des pinceaux et rouleaux à peinture est effectué tous les soirs avec force débit d'eau. Ainsi, cette eau polluée s'écoule par le caniveau, s'étale en partie sur la chaussée et aboutit dans le capteur des eaux pluviales vers le bassin tout en pénétrant en divers points dans la terre ! (voir les photographies) Des litres d'eau…
Si vous vouliez vraiment protéger notre planète mesdames et messieurs les membres du bureau du conseil syndical comme vous voulez bien le faire croire, vous auriez organisé ce chantier et demandé au peintre de ne pas mettre l'éclairage en route sans nécessité, vous lui auriez interdit le nettoyage des ustensiles de peinture à grande eau et surtout au-dessus d'un caniveau de captation des eaux pluviales.

Mais de respect pour la planète, en avez-vous ?

Etant donné que d'autres immeubles vont entreprendre ces même travaux de peinture, voici une façon de nettoyer les pinceaux et les rouleaux qui consiste à se servir de trois bassines de cinquante ou mieux soixante quinze litres avec dans chacune vingt litres d'eau environ. Le nettoyage se fait de la n° 1 à la n° 2 et se termine par la n° 3. Entre 17 heures, fin du travail et 8 heures, reprise du lendemain, les pigments se seront déposés au fond de la bassine n° 1 que l'on vide dans une quatrième (qui devient la n° 1) et que l'on nettoie avec des vieux journaux et des chiffons adéquats. Et ainsi par roulement et un faible apport d'eau claire, les pinceaux sont toujours propres et la Rouvière n'est pas polluée.

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Avant d'informer, il faut s'informer
Une note de la présidente de la commission communication affichée dans les entrées déclare :
<…vous avez été nombreux à nous rejoindre pour fêter le label : " Merci dit la planète " qui récompense la copropriété pour ses actions…>
Non madame, ce label " Merci ! dit la planète " a été attribué au conseil syndical pour son programme en vue de corriger la non-qualité de la Rouvière, ce qui est tout à fait différent. Quant à la récompense que vous signalez, serait-ce pour le fait d'ouvrir son porte-monnaie inconsidérément à toutes demandes de ce conseil en assemblée générale ou particulières ?

Bien entendu la DIREN ne peut qu'avoir été induite en erreur, ne pouvant savoir que la non-qualité qui s'installe depuis des années à la Rouvière est essentiellement due aux manquements de ce même bureau du conseil.
Je signale une fois de plus ce qui est de mise pour tous les membres du bureau : cette note émane du président et non de la commission en son entier, ce qui implique malgré eux les conseillers dans les décisions unilatérales prises par ce bureau.
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quelle était la menace ?
Le 13 avril 2001 :
Assemblée spéciale par couple d'immeuble de tous les immeubles de la Rouvière à l'exception des bâtiments
" A ", "F" et de l'immeuble "E9", pour voter la résolution sur la mise à niveaux de tous les ascenseurs et monte-charge.
Le 19 mai 2001 :
Assemblée générale ordinaire de la Rouvière.

POURQUOI DEUX ASSEMBLEES A UN MOIS D'INTERVALLE ?

Aucune raison valable, aucune, sinon diviser pour mieux régner.
Excepté le risque d'un vote négatif si tous les copropriétaires se trouvaient réunis, bien sûr.
Car il faut savoir que tout le conseil syndical (réunions du conseil de 1997 à 1999) et pour certains membres du bureau avec véhémence, était contre ce type d'intervention sur nos machines voulue par l'ascensoriste. Et voilà que brusquement, revirement complet, précipitation, on affole les résidants, surtout les personnes âgées et on fait voter ces travaux en ordre dispersé.

Si on peut concevoir qu'une remise à niveau de nos machines était nécessaire, il y a des limites quant aux détails de la réalisation et les délais à le faire.

Pour conclure :
Ces assemblées particulières ont coûté 40 260 euros soit 264 000FF
alors qu'une simple résolution présentée en assemblée ordinaire un mois plus tard n'aurait aggravé le prix de celle-ci que de 3049 euros environ soit 20 000 FF

MERCI aux membres du bureau du conseil syndical, vous travaillez effectivement dans le bon sens pour la Rouvière !
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stop aux nuisances
pour plus de détails vous pouvez :
voir voilà...
puis les photographies
et par curiosité ainsi...

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statu quo pour la façade B1- B6

Pour répondre aux demandes de certains copropriétaires :

A ce jour aucune réponse n'a été donnée à l'étude faite le 22 février sur la réalisation de la réfection des garde-corps des immeubles B1 à B6, dommage pour les copropriétaires qui vont encore rester dans le brouillard à ce sujet.(voir)

Néanmoins, il convient de leur faire connaître qu'il ne semblait pas nécessaire de faire une demande de permis de construire pour cette réfection, mais simplement une déclaration par l'intermédiaire d'un imprimé "cerfa " n° 50014#41 avec l'intitulé " DECLARATION DE TRAVAUX EXEMPTES DE PERMIS DE CONSTRUIRE" (article L.422-2 ou L.441-2 du code de l'urbanisme)
Cet imprimé fait apparaître la rubrique 32 qui énumère les travaux concernés, et on peut lire : ouvertures de fenêtre, adjonction de balcons…
Les pièces à joindre : schéma ou photographies des façades à modifier faisant apparaître l'état existant et les modifications projetées.
On est en droit de se demander pourquoi l'architecte ou le syndic n'a pas fait cette déclaration en vue de réaliser le projet initial qui revenait à 1 143 000 FF soit 174 250 euros de moins que celui retenu. Avec ce projet qui était le plus simple à réaliser sans toutefois ne pas être exempt de difficultés, on peut croire qu'aujourd'hui ces travaux seraient terminés.

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il fallait le faire !
Réactions timides aux commentaires du site marseille-rouviere mais, réactions qui vont dans le bon sens et dont on peut se réjouir :
- Les accès au premier sous-sol de la tour ont été remis en état
- Toujours au premier sous-sol de la tour, le nettoyage a été fait et la peinture va suivre.
- Les environs du bassin ont été débarrassés des matériels qui traînaient depuis des années.
- Le bassin a été partiellement nettoyé (on peut se demander pourquoi pas complètement ! mais…)
- La gargouille de la terrasse sur la sortie des garages du deuxième sous-sol du bâtiment " B " a été enfin débouchée.
- Et le sommet de tout ce que l'on pouvait espérer : les trottoirs de la Rouvière sont refaits, enfin presque tous. En si bonne voie, on peut souhaiter que l'oubli concernant les parkings jouxtant la chaussée face au bâtiment " D " et le trottoir à l'entrée de la copropriété soit réparé, il serait dommage de ne pas terminer ce travail indispensable. Ainsi nous pourrons circuler sans crainte de se tordre une cheville, les jours de pluies ne verront plus les graviers envahir les chaussées. Ce travail global nous reviendra moins cher que de faire venir une société x fois pour faire des petits bouts de trottoirs, sachant que la mise en route d'un chantier représente plusieurs heures perdues que le client paie.
Merci au syndic d'avoir fait ce travail. Souhaitons qu'il continue.
Il fallait donc faire ce site qui vient d'obtenir en quelques mois ce qu'un conseiller demande depuis 6 ans sans l'obtenir.
Ainsi on peut se demander si un maillage de la copropriété par intranet ne serait pas mieux pour servir les intérêts de chacun et de l'ensemble de la copropriété qu'un conseil syndical impuissant à réagir devant les décisions unilatérales de certains de ses membres, en effet, tous pourraient donner un avis… un rêve ?... non, l'avenir…
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l'étancheité des terrasses des garages du bâtiment "B"
Faut-il vraiment faire toute la longueur du bâtiment alors que certaines parties ont été refaites il y a peu, cela semble curieux. Surtout, il ne faut pas oublier que la partie B1 à B6 va supporter la présence de matériels pour la réfection des façades, qu'il y a plein de déchets du début de chantier encore entreposés et que le revêtement de ces terrasses n'est pas prévu à cet effet.
Ensuite ces travaux doivent être imputés aux seuls garages et non aux appartements du bâtiment.
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les comptes bancaires
Ce "fonds de prévoyance", bric-à-brac de comptes (sur papier) définis et indéfinis pour lesquels nous ne connaissons pas la contrepartie financière, ni la répartition par immeuble qui ne nous est JAMAIS remise, avec la nouvelle loi dite SRU il faut réclamer à toute force la régularisation de ces fonds pour les rendre enfin visible.
Une petite histoire pour comprendre ce qui se passe avec notre trésorerie bien mal en point :
C'est l'histoire d'une famille de deux enfants, l'aîné veut s'acheter une voiture et décide d'économiser 300 euros par mois qu'il remettra à sa mère, le trésorier de la famille. Le second, lui, veut acquérir un scooter et donnera à sa mère 150 euros tous les mois.
La famille n'a qu'un seul compte bancaire donc la mère dépose sur ce compte tous les mois l'argent que lui donne ses fils. Les parents quelques mois plus tard ont des problèmes : machine à laver en panne et le toit de la maison à reprendre, la mère tire des chèques sur le compte bancaire pour régler ces dépenses imprévues et ce faisant, entame fortement le montant du compte bancaire. Peu après, le plus jeune qui a économisé la somme suffisante pour acheter son scooter demande un chèque à sa mère. Les parents hésitent, car cette demande va vider le compte, mais font le chèque.
Avec quel argent a été payé le scooter ?
Avec celui des parents (l'argent du mois) avec celui du frère (ses économies de plusieurs mois) et celui du plus jeune également.
Hé bien ! c'est exactement ce qui se passe à la Rouvière, tous les copropriétaires ont payé le minibus, le sol du premier sous-sol du " B ", les garages du "C", le carrelage du hall du B9, du B7, l'électricité du " A " etc.
Mais pour celui qui arrivera en dernier : les caisses seront vides, il aura payé pour les autres mais il faudra qu'il paye pour lui !
Et voilà pourquoi il faut qu'il y ait un compte bancaire pour chaque poste spécifique, ainsi plus de mélange et les économies de chacun seront préservées, et de plus facilement contrôlable, pierre ne paiera pas pour paul mais cela ne l'empêchera pas de rester solidaire en l'aidant si nécessaire. mais dans les règles.
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la mise à jour et refonte du règlement de la copropriété
Au cours de la réunion de la commission des finances et en l'absence du président de la dite commission, le vice-président nous signale que la loi SRU nous impose de mettre à jour le règlement de copropriété. Pour ce faire, serait inscrite au budget la somme de 90 000 euros chaque année pendant trois ans pour arriver au montant de 270 000 euros qui représentent le coût de la rédaction et de l'édition des 2161 fascicules pour chacun des 2161 lots représentés par 2161 appartements (les lots concernant les garages et les commerces ont été omis !).
Un détail a été remis :
500 feuilles par fascicule pour 2161 fascicules portés à 2200
0.20 euros la feuille, soit 500 x 2200 x 0.2 = 220 000 euros (1 443 000 FF)
Frais de notaire : 50 000 euros (328 000 FF)
ce qui donne un total de 270 000 euros (1 771 000 FF)
Ce détail a été redonné par le président de la commission des finances au cours de la réunion du conseil syndical du 25 mars. Devant l'énormité de ce chiffre une demande a été faite auprès d'un fournisseur de photocopies et auprès d'un imprimeur.
En photocopie le prix est exorbitant (de l'ordre de 40 000 euros) : à bannir.
Chez l'imprimeur, pour 2500 fascicules nous arrivons à 21 000 euros soit plus de 10 fois moins que le chiffrage du président de la commission des finances.
Mais l'étude de ce dossier financier m'a amené à me poser un certain nombre de questions :
Ce règlement a t-il vocation à refonte ? Oui, vue son ancienneté ses additifs et les erreurs qui s'y trouvent mais dans le respect des lois afférentes.
Qui doit le rédiger ? Un notaire
Est-ce que le syndicat à droit de regard ? Oui, puisqu'il y a refonte
Faut-il former une équipe pour participer à son élaboration ? Oui
Peut-on demander à l'assemblée générale de désigner les membres de cette équipe ? Oui
Comment sera t-il entériné ? Par l'assemblée générale
Un copropriétaire doit-il vraiment posséder ce règlement ? A conseiller mais pas obligatoire
Où doit être déposé l'original ? Aux services administratifs section conservation des hypothèques
A ce stade, une visite s'imposait au service des hypothèques et voici :
Le règlement rédigé par un notaire peut se diviser en deux parties :
-1-Un état descriptif de division avec ses modificatifs
-2-Le règlement de copropriété proprement dit.(Qui peut faire partie du même acte que l'état descriptif de division)
Publication aux hypothèques : Obligation de publication est faite (article 71 du décret du 14 octobre 1955) pour l'état descriptif de division accompagné éventuellement du règlement s'il fait partie du même acte.
Pour conclure, ce document doit être déposé pour officialisation au service de conservation des hypothèques qui l'archive et contre 32 euros en fera copie au copropriétaire qui en fera la demande.
Ainsi, il convient de dire que le président de la commission des finances pour éviter de telles bévues aurait intérêt à laisser le syndic faire son travail lui-même ! et qu'il est sage de s'informer avant d'agir. En effet, si tous les copropriétaires veulent posséder ce règlement il vaut mieux le faire éditer par un imprimeur qui nous fournira le fascicule pour environ 10 euros, mais si seulement quelques copropriétaires le veulent, il n'y a aucune raison pour l'imposer aux autres avec à la clé un montant de 220 000 euros alors que 21 000 suffisent, il n'y aura que les frais de notaire à régler soit 0.53 euro le tantième environ. (la vérification du montant annoncé de ces frais n'a pas été faite, il aurait fallu consulter un notaire !)

Le vote du budget incluant le montant financier pour l'établissement de ce règlement ne peut être réalisé à l'assemblée générale du 4 mai tel que présenté à l'ordre du jour.

Il faut revoir la copie, faire une étude sérieuse sur le mode de réalisation avec un sondage par courrier pour établir le nombre de copropriétaires souhaitant le détenir, et sortir le montant de ces travaux hors du budget des parties communes.
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assemblée générale du 4 mai 2002 : commentaires
Une lecture rapide de l'ordre du jour de l'assemblée générale du 4 mai fait apparaître beaucoup d'erreurs :

1 Pourquoi le bureau du conseil syndical impose un seul candidat comme syndic au vote de l'assemblée ? D'autres candidats auraient pu être trouvés avec un peu de bonne volonté.
2 Un contrat de syndic plutôt pénalisant pour la copropriété avec, au passage, le coût des photocopies 0.20 euro alors que le commerce les fait pour 0.04 euro.
3 L'élection des conseillers sans indication de durée de mandat.
4 La révocation du conseiller syndical madame Cléren sans indication du demandeur : syndic ? Bureau du conseil syndical ? Et pour quelle raison ?
5 Charges de précaution en cas de session d'un lot : une clause abusive, seules les créances liquides et justifiées doivent être exigées.
6 La consultation des pièces de gestion pendant les dix jours précédents l'assemblée générale, ne laisse pas un délai suffisant à un copropriétaire pour faire un additif à l'ordre du jour de l'assemblée après avoir pris connaissance de ces pièces.
7 Constitution de provisions spéciales pour travaux d'entretien… cette résolution est un blanc seing donné aux membres du bureau du conseil syndical, il faut un diagnostic et un chiffrage effectués par une personne compétente.
8 Tracteur avec broyeur à végétaux : un tracteur semble être un luxe peu utile et le broyeur un danger pour la propagation des maladies des végétations, il vaut mieux brûler. Eventuellement, la location d'un broyeur peut se faire en cas d'extrême nécessité.
9 Les ralentisseurs doivent se voter sous l'article 26 : modification des parties communes.
10 La fermeture des entrées aux ascenseurs et à l'escalier d'accès aux appartements avec pose d'interphones : une résolution sous forme de blanc seing. Pas de devis ni de plans explicatifs des installations proposées. Et danger quant à une réalisation mal conduite : il faudra la supporter à vie.
Cette résolution demande un vote pour deux questions : fourniture et entretien, donc nulle.
11 Eclairage crépusculaire : là aussi blanc seing. Pas de devis ni de plans explicatifs des installations proposées. Cette résolution demande également un vote pour deux questions : fourniture et entretien, donc nulle.
12 Fermeture des garages : là aussi blanc seing. Pas de devis ni de plans explicatifs des installations proposées. Et danger quant à une réalisation mal conduite : il faudra la supporter à vie.
13 Réfection des terrasses des garages du bâtiment " B " : on voit mal pourquoi il faudrait faire toute la terrasse (n'oublions pas que des travaux sont encore à faire au B1-B6 qui risquent d'endommager ces terrasses) il faut ajouter que les appartements de ce bâtiment (B1-B12) n'ont pas à supporter cette réfection. Le bâtiment étant bien distinct des terrasses de ces garages dont seules les allées sont devenues communes par le passage régulier de tous les habitants, possesseurs ou non d'un garage.
14 Blocs de secours du bâtiment " B " et des garages : mettre d'abord en état les alimentations électriques de tous ces éclairages serait plus judicieux, et changer les seuls blocs défectueux.
15 Station de surpression pour le bâtiment " B " : cette installation nécessite une technicité qui n'existe pas au bureau du conseil syndical il y a lieu de chercher chez les résidants des compétences pour s'assurer qu'il n'y aura pas encore de sottises dans la réalisation de cette station.
16 La provision pour le règlement de copropriété ne doit pas être incluse dans le budget (communes générales) mais votée à part.
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La demande de révocation du webmaster et conseiller syndical (monique Cléren) a été refusée par l'assemblée générale.
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réaction d'une lectrice de la "Lettre de l'Arche Méditerranée"
Habitante de la Rouvière, je m insurge ! Comment pouvez vous écrire cela :

Cité La Rouvière à Marseille, Monique Cleren a créé un site Web à l'intention de ses 8 000 voisins.
A côté des rubriques pratiques (plan des lieux, pharmacies de garde, liens...) et de petits articles généralistes destinés à accrocher le public hors résidence, l'internaute trouve des sujets
pratiques : comptes-rendus des réunions du conseil syndical, extraits de loi, suivi de certains travaux, commentaires et remarques des habitants. Un projet qui met en question le rôle de syndic
Compte rendu des conseils syndicaux : Ce n est pas la réalité de ce qui est dit qui est retranscris. Il n y a que des reproches sur ce sites, aucun témoignage positif. Ou est l'objectivité ?
Pourquoi ne respecte t elle pas le droit de chacun a ne pas vouloir que son nom et son adresse apparaisse sur un site ? Il a fallu qu'on lui dise clairement que nous allions déposer une plainte pour qu'elle retire un nom, mais elle nargue cette personne en écrivant ou vous pouvez trouver en toute lettre ses coordonnées ! Vous trouvez cela sympathique ?
La seule chose que réussit très bien à faire la personne qui édite ces pages c'est faire dévaluer le coût de nos appartements !
Pensez bien qu'une copropriété de + 2000 logements n'est pas simple a gérer, le Conseil Syndical (quoiqu on en dise) fait beaucoup de boulot.
Demandez donc a cette personne qu el a été son role dans ce dernier cette année ?
Soyez objectif ! Faites du travail de journaliste.
Et vous vous appercevrait que le Conseil Syndical de la dite copropriété vient d obtenir le label : Merci dit la Planete. Label decerné par le Ministere de l'Amenagement du Territoire et de l'Environnement pour la qualité, l'intérêt et la pertinence de son projet : Amélioration de l' environnement par la mesure de la non qualité.

Une habitante et copropriétaire à la Rouviere qui est décue par le comportement de certains journalistes qui " n'écoute qu'une cloche" donc qui "n'écoute qu'un son " (comme dit le proverbe)
(reproduction exact du texte en ligne sur le site
du" Club de l'Arche")

La réponse du club :

Bonjour Madame,
je vous remercie de votre message au Club et me félicite que vous lisiez la Lettre de l'Arche.
Je comprends à votre réaction que vous êtes irritée par le fait que nous avons rapporté dans cette Lette l'existence d'un site web émanant de quelqu'un de votre quartier.
Cette information est parue dans le journal Le Monde le 4/01/02 , sous la signature de Nicolas Weinberg, a été reprise par l'AFNET, puis par nous-mêmes.
Nous n'avons pas revérifié après eux.
Ce qui a motivé la publication de cette information dans la Lettre de l'Arche ne réside pas dans la dimension polémique de l'information, mais dans le fait qu'une initiative personnelle de publication d'un site web nous a paru un signe positif d'appropriation de cette technologie dans un usage que nous qualifions de "société civile".
Ce n'est ni une initiative des pouvoirs publics ni d'un pouvoir économique, mais de simples citoyens. En cela c'est intéressant.
Cela ne signifie pas pour autant que nous prenions parti pour ou contre les propos tenus, mais le fait est là : le site web existe et manifeste un élément de dialogue.
Votre réaction prouve d'ailleurs que le dialogue est nécessaire, attendu, voire justifié.

 

http://www.club-arche-med.org/lettre_arche/consultation.php?article=390
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