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commentaires, fichier créé en août 2001 |
-JUIN
2002 janvier
à décembre 2003 |
JANVIER
2002 |
le tapis du premier sous-sol de l'immeuble B12 |
Une
note avait été distribuée dans tout le bâtiment
"B" le 21 juin 2001 concernant les travaux de réfection
du tapis de l'allée du premier sous-sol situé dans l'immeuble
B12 pour signaler qu'ils n'avaient pas été réalisés
correctement. Et que par pluie avec vent d'Est l'eau s'engouffrerait
dans cette allée sans pouvoir s'écouler vers l'extérieur,
tout en espérant que la rugosité du tapis réalisé
limiterait l'écoulement de l'eau vers les garages. |
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Note aux copropriétaires des immeubles B1 à B6 : Où en sommes nous ? |
De
nombreux copropriétaires s'inquiètent du devenir de leur
façade et garde-corps ! Certains considèrent que leur garde-corps
sont en bon état et ne souhaitent pas les remplacer, d'autres refusent
que l'on pénètre chez eux ! Ils ont voté en assemblée
la réfection de la façade et des garde-corps sur un projet
qui s'avère irréalisable quant aux garde-corps ! Aujourd'hui,
le chantier est abandonné et nous n'avons aucune information sur
la suite qui va être donnée !
Or, les
garde-corps sont " parties privatives " donc il revient
à chaque copropriétaire d'en faire l'entretien et il paraît
normal de ne pas imposer des dépenses inutiles au propriétaire
qui a entretenu correctement cette partie de son bien, en lui faisant
déposer l'élément de garde-corps en bon état
pour en remonter un autre de meilleure tenue -certes- mais inutilement
lourd, fort cher, nécessitant une mise en uvre difficile
et à risques. |
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autopsie de l'assemblée générale du 4 mai VOTE N°2 |
élection
du syndic un seul candidat, le syndic sortant. majorité nécessaire : article 25 soit 95 405/2 +1 = 47 703 tantièmes nombre de tantièmes dans la salle : 53 590 vote pour le syndic candidat : 44 814 tantièmes vote contre le syndic candidat : 4023 tantièmes abstentions : 4716 tantièmes nuls : 37 tantièmes A l'issue de ce vote le syndic candidat n'est pas élu. A ce stade, la loi du 13 décembre 2000 autorise le président de l'assemblée à faire un nouveau vote si le premier scrutin représente le tiers des tantièmes de la copropriété donc : 31 802, ce qui était le cas ici. Aux dires de copropriétaires présents dans la salle, il n'y a pas eu de second vote, mais une annonce à la cantonade : " quelqu'un change t-il son vote ? " sans réponse, on le comprend aisément, le premier scrutin a été considéré comme valable et le syndic a été déclaré élu ! Curieuse façon d'interpréter la loi ! Nous ne saurons jamais si un second vote aurait ou non changé le résultat dans un sens ou dans l'autre, la seule constatation que nous pouvons faire est que 6,46 % des tantièmes votants étaient contre l'élection de ce syndic en 1999, et que cette année il y en a 16,38 %, et qu'en définitive le syndic a été élu avec 83,62 % des votants, et non 91,77 % comme on a pu le lire sur un tract remis à tous les résidants. |
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autopsie de l'assemblée générale du 4 mai Votes N°8 & 9 |
Révocation
d'un membre du conseil syndical VOTE N°8 Demande par écrit a été faite au président de la séance (qui a signé un double) de faire paraître sur le procès verbal de la réunion par qui et pour quelle raison cette demande de révocation a été faite. Aucune trace de cette demande n'apparaît sur le procès verbal. Libre à chaque copropriétaire de se faire une opinion sur cette façon d'agir ! Cette révocation a été rejetée par 43,83 % des tantièmes présents et représentés. Jours
ouvrés pour consultation des pièces comptables |
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lettre ouverte aux copropriétaires FAÇADES B1-B6 : Où est l'erreur ? |
Après la réunion qui s'est tenue le 25 juillet en l'absence de l'architecte dans les locaux de l'immeuble B3, concernant les façades des immeubles B1 à B6 on ne peut qu'être inquiet. En effet, cette réunion n'a pas fait apparaître de réponse à la suite à donner aux échecs successifs tant pour les études que pour la réalisation de ces travaux, et les sommes investies augmentent ! Comment résoudre ce problème ? Nous ne retiendrons que les points qui ont un intérêt pour les copropriétaires. |
LA
PARTIE TECHNIQUE Les façades présentaient un danger potentiel pour les habitants, le syndic a honoré son contrat en faisant faire une purge, ceci est acquis ! Arrive en deuxième point le remplacement des garde-corps. Pourquoi ce remplacement ? On
nous dit que 75% d'entre eux sont détruits par la rouille
mais on ne nous dit pas si les parties considérées comme
ruine représentent 100% de la longueur de l'élément
du garde-corps ou simplement quelques barreaux ! On ne nous dit pas si
les fixations de ces garde-corps sont descellées, donc on peut
déduire qu'elles ne semblent pas être en cause ! Pour
la partie travaux, la marche à suivre paraît évidente LA PARTIE RESPONSABILITE Après le renvoi d'un premier architecte, hors la présence du syndic, un groupe de conseillers en a choisi un autre. Le syndic a passé le marché à cet architecte. C'était son travail normal. L'architecte a dès le départ prévenu que l'étude de détails pour les garde-corps n'entrait pas dans ses compétences, qu'il ferait faire un avant-projet par un bureau d'études et que cet avant-projet serait présenté pour accord à la SOCOTEC pour être réalisé ensuite par l'entreprise choisie. Ce qui fut fait, accord de la SOCOTEC et chiffrage obtenus, la première partie de son contrat était respectée, si on lui accorde qu'il fallait effectivement changer les garde-corps. Mais quatre
membres du conseil syndical ont proposé un autre projet et tout
a basculé étant donné que le nouveau projet s'est
avéré irréalisable ! L'entreprise retenue pour ces
travaux a vainement cherché une autre solution dans la ligne du
projet de son contrat, fait fabriquer 3 prototypes et sans doute ayant
une faible capacité financière a fait faillite. Depuis cette
faillite, six mois se sont écoulés. On a cru comprendre
que la commission des travaux a recherché des solutions en vain
! Pourquoi certains membres du conseil se permettent d'intervenir alors
qu'ils n'ont pas les compétences nécessaires ? Pourquoi
le syndic LES FINANCES Il
ne nous appartient pas de donner une solution, c'est hors de nos compétences,
mais on peut se poser quelques questions. |
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où étaient les gardes ? |
photographies reçues par mail le 31 août : quatre voitures incendiées sur le parking face au centre commercial dans la nuit du 29 août vers 4 heures du matin _voir_ |
c'est vers cinq heures trente et non quatre heures que les voitures ont brûlées sur le parking le 29 août et une cinquième à brûlée le lendemain au bâtiment "G" |
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essai concluant au "B12" |
Le
bon geste L’idée étant de récupérer ces papiers et de les déposer dans les conteneurs mis à disposition par la ville. Mais ces conteneurs sont fort éloignés de certains immeubles et le contrat de travail des concierges ne prévoit pas qu’elles doivent accomplir cette tâche, d’autant que le papier a une forte densité et nous arrivons vite à des masses de plusieurs kilos. En outre, en dehors des boîtes à lettres, certaines personnes plus ou moins handicapées ne peuvent amener aux conteneurs les papiers en leur possession et les jettent de ce fait dans les poubelles à ordures ménagères. Ainsi, un volume important de papier n’est pas récupéré. Un essai a été fait au B12 : trois caisses en carton ont été disposées dans le local jouxtant l’entrée, une pour les bouchons plastique, une pour les emballages propres et les bouteilles en plastique et une pour les papiers. Le résultat est probant, ces caisses se remplissent. Donc, il convient que le syndic, qui devrait avoir des contacts avec la mairie concernant le tri des ordures, demande à celle-ci de fournir à chaque immeuble de la Rouvière deux boîtes sur roulettes qui pourront être disposées sous le porche des immeubles C D E F G et dans les locaux annexes des bâtiments B et A : une pour les emballages propres et une pour les déchets papiers des boîtes à lettres et au service des personnes handicapées et âgées. En ce qui concerne les bouchons il suffit que le syndic fournisse une corbeille à chaque concierge pour les collecter, le ramassage pourra se faire par les concierges (certaines le font déjà, au B12 notamment) et par des bénévoles.* Ce
faisant, nous n’aurons pas d’autres conteneurs que ceux existant
déjà dans la copropriété, nous limiterons
le gâchis de papiers et rendrons service aux handicapés et
personnes âgées qui pourront avoir le geste écologique,
comme tout bon Marseillais. |
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neuf mois |
Ce
fut long mais enfin la terrasse du B1 a été nettoyée
de tous les gravats qui étaient restés en place depuis l’abandon
du chantier en décembre 2001. On peut se demander pourquoi le syndic provoque le mécontentement des copropriétaires en laissant des gravats sur une terrasse pendant neuf mois, alors qu’il a sous la main les hommes et les moyens pour effectuer un tel travail qui ne prend guère plus d’une journée ! C’est fait, nous le remercions |
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nous avons été contactés par une dame | |
mail
de RESOO Merci
de votre réponse, |
Notre
réponse au mail de RESOO Bonjour, Il y a exactement un an, le site Internet "marseille-rouviere.com" qui a intéressé la presse internationale (radio, télévision et presse écrite) et qui a eu la faveur d'être nommé un des meilleurs sites web du moment, a été créé bénévolement et à mes frais. Il a pour vocation la défense de la copropriété et de ses résidants et d’informer les Marseillais sur la vie de leur quartier et les internautes sur l’ambiance incomparable de notre ville. En effet, comme son nom l’indique, il ne vise pas uniquement la Rouvière. Au mois de juin dernier, fort de notre expérience et de notre grande notoriété, le bureau du conseil syndical de la Rouvière dont fait effectivement parti la personne que vous citez, a voulu faire de même, sans l'assentiment des copropriétaires mais avec leurs deniers. "Le site officiel de la Rouvière" est né... A vous de juger de l'utilité de la démarche et de son efficacité. Bien reçu par la majorité des copropriétaires qui a refusé de m’exclure comme l’avait demandé le bureau du conseil lors de l’assemblée générale du 4 mai dernier, "marseille-rouviere.com" dénonce régulièrement les carences de la copropriété. Je vous remercie de votre confiance. Le webmaster de marseille-rouviere.com monique cléren |
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tondus |
Il
convient de noter que l'achat du tracteur a été prévu
pour remorquer le broyeur. Le fournisseur nous a fourni pour le prix annoncé en assemblée générale un broyeur autonome : merci pour ce cadeau, mais que cela ne nous fasse pas oublier la somme que nous avons dû débourser : 32 472 euros soit 213 000 FF pour cet achat que nous ne pourrons jamais amortir. Il faudra y ajouter les dépenses pour le remplacement de nos tondeuses en fin de vie puisque certaines pelouses sont inaccessibles à notre superbe tracteur avec sa tondeuse centrale incorporée! |
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creux |
Encore
une réunion du conseil syndical inconsistante : les conseillers sont
convoqués non pour travailler mais pour écouter et entériner
ce qui a été décidé par le bureau en
leur nom ! Ceux qui protestent se voient vertement remis à leur place. Les remarques faites par des copropriétaires lors de la réunion du 14 septembre sur le chantier des immeubles du super Rouvière 2 sont balayées comme étant ineptes et les auteurs tournés en ridicule... |
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communication ? |
Les
conseillers sont élus par l’assemblée générale
pour défendre les intérêts de la copropriété
et des copropriétaires. Que penser du diktat de ce président
de commission (de communication ?) qui outrepasse ses devoirs de conseiller
et des membres du conseil qui se taisent et laissent faire ! De temps en temps une voix s’élève pour manifester son désaccord avec les corrections faites aux comptes rendus de réunions par le bureau, ce fut le cas une fois de plus lors de cette réunion ! (réunion de la commission de communication du 12/10/02) |
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le reglement de copropriété |
Les
informations données sur le dernier bulletin du bureau du conseil
syndical, remis avec l’appel à provisions pour les charges
du quatrième trimestre, méritent que l’on fasse quelques
rectificatifs.
Le règlement de la Rouvière est entaché de nombreuses erreurs et par voie de conséquence, profitant de la loi SRU, il est très souhaitable pour ne pas dire impératif de le refondre complètement et non de l’adapter aux normes ! En premier lieu, il faut faire une enquête (à la faveur d’un appel à provisions ou avec la convocation de l’assemblée générale ordinaire) pour connaître le nombre de copropriétaires qui souhaitent obtenir ce règlement. Sachant qu’un copropriétaire peut à tout moment s’adresser à la « conservation des hypothèques » pour l’obtenir, seule une majorité de copropriétaires peut amener le syndic à le faire éditer. Ensuite, nous devons faire supprimer les injustices que ce règlement, tel qu’il existe aujourd’hui, fait subir à bon nombre de copropriétaires. Les charges d’ascenseurs, les surfaces différentes pour des appartements ayant le même nombre de tantièmes, des prestations différentes comme les vide-ordures pour des appartements ayant le même nombre de tantièmes, sont autant d’anomalies à corriger, car elles ne respectent pas l’article 10 de la loi du 10 juillet 1965 sur les copropriétés. Il faut aussi prendre en compte le cas des appartements qui ont été tronqués d’une pièce au profit de l’appartement voisin sans rectification des tantièmes, etc. Donc il ne peut être question de modificatifs mais bien d’une refonte totale par le biais d’un plan géométral de la copropriété et après enquête auprès des copropriétaires, d’un plan des différents types d’appartements avec leurs prestations. Ces éléments sont nécessaires et obligatoires aux justes calculs des tantièmes dans l’intérêt général des copropriétaires de la résidence. Il convient d’ajouter que ce règlement doit être remis par le notaire au futur acquéreur d’un appartement, mais on ne peut en aucun cas l’imposer à un copropriétaire qui ne le posséderait pas, même s’il lui est conseillé d’en avoir un exemplaire… |
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la suite (B1-B6) |
Que
se passe t-il ? Qu’attendons-nous ? Que fait le syndic ? Que fait
le conseil syndical ? Pourquoi ce silence ? Voilà effectivement
les questions que se posent les copropriétaires du super Rouvière
2 et nous voici à deux mois de la fin de l’année !
A la réunion du 14 septembre 2002 où étaient convoqués tout à la fois les copropriétaires et le conseil syndical, on a pu se rendre compte, à l’exception du petit groupe habituel du bureau, que pas un membre du conseil ne s’est déplacé. Depuis c’est le silence. Plus concernés, deux copropriétaires ont fait un pas de plus pour rejeter ce que le bureau du conseil préconise : nous avons pu lire dans le texte distribué par un de ces deux copropriétaires que le choix des entreprises fait par le bureau du conseil est loin d’être judicieux, qu’il existe une zone d’ombre en ce qui concerne les assurances. Et nous apprenons du second copropriétaire, que deux questions seront posées à la future assemblée, réparation des garde-corps individuellement ou refonte totale collective. historique •
POURQUOI le syndic a t-il scindé le contrat SIAREP
en deux en novembre ! Ainsi, le super 2 s’est trouvé
redevable de la facture du fournisseur des garde-corps alors qu’un
règlement à la SIAREP pour la globalité des travaux
exécutés au moment de l’abandon du chantier eut été
fait sous d’autres conditions. • POURQUOI LE BUREAU DU CONSEIL rejette les observations techniques qui lui sont faites et ainsi s’enferre dans l’erreur ? POURQUOI l’abandon du projet initial et le refus d’y revenir après avoir réalisé que le second projet n’était pas valable ? QUE VEUT DIRE cette déclaration « les copropriétaires doivent changer leurs garde-corps car ils sont en danger » mais alors si tel est le cas, ne pourrait-on pas dire qu’il y a non-assistance à personne en danger depuis 4 ans ? Et combien de mois se sont écoulés avant que l'on sécurise les garde-corps saccagés au cours du chantier ? Alors
mesdames, messieurs les copropriétaires de ces immeubles, à
l’évidence, vous n’aurez pas de soutien avec le conseil
syndical, et il semble dans l’intérêt général
de votre groupe d’immeubles, qu’il serait sage de
: |
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façades du B1àB6 encore ! |
Nous
avons enfin reçu le « compte rendu » de la réunion
du 14 septembre 2002. Le qualificatif de compte rendu ne semble pas adapté
au document qui nous a été remis. La première intervention,
celle du représentant de SOCOTEC, n’est pas relatée,
ni celles des interlocuteurs qui ont suivi.
Nous avons un exposé sur l’état de rouille actuel et son devenir concernant les garde-corps existants ! Chacun sait que la rouille fera son chemin mais cela ne signifie pas qu’il faille en prévision tout casser ! Ensuite, nous trouvons une série de « questions-réponses » recomposée qui met mal à l’aise le lecteur, ainsi :
Des trous ? Non, il faut prévoir une ouverture de l’extérieur par destruction de la tête du mur sur 6 à 10 centimètres de profondeur pour accéder à l’intérieur, c’est-à-dire après le dormant du châssis aluminium.
Un trou ? Il n’y a plus de saignée ? NON, une ouverture traversante 15 par 15 centimètres sera réalisée dans le mur vertical de séparation des balcons à environ 60 centimètres du châssis s’il existe ou du bord extérieur du mur. Il y aura une saignée de chaque coté de ce mur pour enchâsser les plats (nommés ferrailles) sur les 60 centimètres. Ces plats seront ensuite coudés en extrémité pour entrer dans l’ouverture et seront liés l’un à l’autre par un boulon. Enfin, il y aura un rebouchage de l’ouverture et des saignées. (voir le croquis) C’est ce qui est prévu, mais la réalisation sera t-elle conforme au tracé fait sur le papier ? La brique est fragile et il faut que la saignée soit assez profonde pour que les plats soient suffisamment enchâssés pour supprimer les risques de remontées de rouille et fissures.
Qui est ce « je» ? Le problème devrait être étudié depuis plus d’un an !
Pas le seul ? Nous aimerions bien savoir qui ?
Il semble
pourtant que l’architecte, et le représentant de SOCOTEC
avait été annoncés pendant
C’est
nouveau !
Cela fait plus de dix mois que le chantier est arrêté ! Il n’y aurait eu aucune action pour défendre les copropriétaires ? Cela est inimaginable !
Il y a donc une preuve. Les copropriétaires n’étant pas responsables, pourquoi devraient-ils payer les dégâts ? Et quel est le rôle des assurances ? Puis, quelques réflexions du syndic :
Mais il n’y a pas de raccord ! Pour permettre la DILATATION, les garde-corps d’un immeuble ne doivent pas être liés à ceux des immeubles qui le jouxtent.
Pourquoi ? Et l’intérêt général ! Tous les copropriétaires doivent connaître la réponse ! Il
est dit que <…la société SIAREP a modifié
le projet.> Ce document inquiétant fait apparaître un manque de maîtrise. Souhaitons que ce ne soit qu’une apparence mais il convient de rester vigilant sur la suite des opérations ! Et à ce jour aucune solution n’est proposée ! La lettre du syndic qui accompagne ce compte rendu présenté comme émanant du conseil syndical (ce qui est inexact, en effet, il est signé par deux membres du bureau du conseil) précise que la recherche d’une autre méthode pour la fixation des garde-corps est en cours ! Qui fait cette recherche ? La commission des travaux n’a pas été consultée ! Et l’habitant attend ! Q
: question d'un copropriétaire |
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