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commentaires, fichier créé en août 2001 |
FEVRIER
2003 * une décision (B1-B6) * un syndicat secondaire (bâtiment "B") MARS 2003 *les réunions de février et mars (conseil syndical) AVRIL 2003 *les candélabres sur l'allée du bâtiment "E" MAI 2003 *les façades du B1/B6 : le procès *l'assemblée générale : les réserves *l'allée du bâtiment "D" JUILLET 2003 *un élu non candidat (assemblée du 17 mai 2003) AOUT
2003 SEPTEMBRE
2003 DECEMBRE
2003 |
JANVIER
2002 * retour sur la réunion du 17 décembre (15/01/02) * le marquage des chaussées (15/01/02) FEVRIER 2002 * réunion de la commission des travaux ! (5/02/02) MARS 2002 * des résultats ! un espoir ? (2/03/02) * travaux façade B1-B6 (6/03/02) * réunion de l'ARR (8 /03/02) * ainsi va la france ? (23/03/02) AVRIL 2002 * voilà ce que vous auriez fait si (4/04/02) * avant d'informer, il faut s'informer (7/04/02) * quelle était la menace ? (7/04/02) * stop aux nuisances (15/04/02) * statu quo pour la façade B1-B6 (18/04/02) * il fallait le faire ! (18/04/02) * assemblée générale : les terrasses du "B" (26/04/02) * assemblée générale : les comptes bancaires (26/04/02) * assemblée générale : règlement copropriété (28/04/02) MAI 2002 * assemblée générale : quelques commentaires (2/05/02) * assemblée générale : premier résutat (5/05/02) * la "Lettre du Club de l'Arche Méditerranée" : réaction d'une lectrice (7/05/02) -JUIN 2002 * le tapis du premier sous-sol du B12 (9/06/02) * B1 à B6 : où en sommes nous ? (30/06/02) -JUILLET 2002 * autopsie de l'A.G. du 4 mai.Vote N°2 (13/07/02) * autopsie de l' A.G. du 4 mai.Votes N°4 et 5 (15/07/02) * autopsie de l'A.G. du 4 mai.Votes N°8 et 9 (17/07/02) -AOUT 2002 * façades immeubles B1-B6, où est l'erreur ? (3/08/02) -SEPTEMBRE 2002 * où étaient les gardes ? (1/09/02) * où étaient les gardes ? rectifiatif et complémént (2/09/02) utopsie * essai concluant au "B12" (3/09/02) * neuf mois ! (4/09/02) * nous avons été contactés par une dame... (10/09/02) -OCTOBRE 2002 * tondus espaces verts du 19 /09 (7/10/02) * creux réunion du conseil du 26/07 (7/10/02) * communication ? la réunion du 12 octobre (30/10/02) -NOVEMBRE 2002 * règlement de copropriété (2/11/02) * la suite (B1-B6) (4/11/02) -DECEMBRE 2002 * façades B1àB6 encore ! (9/12/02) |
A
n’en pas douter, le désarrois et l’impuissance devant
l’inertie du bureau du conseil, du syndic et de l’architecte
ont poussé 40 copropriétaires à réagir : Une assignation en référé devant le tribunal de grande instance de Marseille a été diligentée contre le syndic et le syndicat. Il est demandé au syndic d’avoir à terminer les travaux de façade et de garde-corps tels qu’ils ont été votés en l’assemblée générale d’octobre 2000, à défaut, d’autoriser les copropriétaires réunis en assemblée générale aux entiers frais du syndic, de choisir un bureau d’études et une entreprise pour définir un mode opératoire et terminer les travaux. Tous les frais dépassant le budget initial restant à la charge du syndic. Il conviendra de ne pas oublier la copropriétaire demeurant dans un de ces immeubles qui n’a pas compté son temps ni reculée devant les dépenses, pour faire ressortir l’incohérence du déroulement de ce « chantier », ses démarches et recherches ont permis aux copropriétaires de comprendre, qu’ils n’avaient que la justice comme recours. Dans le même temps un conseiller aidé par la signataire (contrôleurs des frais d'entretien et petits travaux) à demandé que les frais de nettoyage du chantier abandonné par la SIAREP et les frais de stockage des garde-corps en attente de montage qui étaient facturés aux copropriétaires soient annulés, ce qui a été accordé par le syndic le 19 février. Souhaitons que cette affaire se résolve au plus vite. |
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un syndicat secondaire |
Dans
un premier temps, une pétition est lancée au bâtiment
"B",
Nous
pouvons observer : Ce
qui changera : |
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les réunions du conseil de février et mars |
commission
des finances (27/02/03) |
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les candélabres |
Le changement de 29 candélabres dans la copropriété a été voté en assemblée générale de mai 2001, mais l'étude n'a pas été faite sérieusement et les ennuis sont présents. voir |
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Les façades du B1/B6 : le procès |
Quarante copropriétaires du B1/B6 ont assigné le syndic le 7 mars 2003 Ce
qui était demandé : A titre subsidiaire : 1-autoriser
les copropriétaires du B1/B6, réunis en assemblée
générale à choisir un nouveau bureau d’études
et une nouvelle entreprise pour définir le mode opératoire
et la réalisation des travaux Ce que dit le juge (ordonnance du 2 mai 2003) : Etant donné
qu’il n’y a pas de syndicat secondaire au super-rouvière,
seule une assemblée générale pouvait décider
ces travaux et que l’assemblée particulière du 28
octobre 2000 n’a aucune valeur légale. Il ajoute : «
…la demande telle que présentée ne peut être
retenue Malheureusement les copropriétaires n’ont pas eu gain de cause. Cette bataille est perdue mais dans cette ordonnance on peut trouver des arguments qui seront opposables au syndic et à certains membres du conseil syndical responsables en amont du fiasco de ce chantier. Donc, il convient de rester vigilant sur la suite que va donner le syndic à ces travaux. |
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l'assemblée générale ordinaire du 17 mai 2003 : les réserves |
Le
projet de l’ordre du jour soumis aux conseillers syndicaux
en réunion du conseil, ne comportait pas la résolution n°6
qui concerne l’assistance au syndic. La lettre du copropriétaire
qui en faisait la demande était parmi celles que le président
du conseil avait décidé de ne pas retenir du fait qu’elles
avaient été remises après le 28 février. Il
a été décidé que ces lettres seraient jointes
à l’ordre du jour et ne feraient pas l’objet de résolutions
à y inscrire. Or, il a été ajouté 38 résolutions
aux 64 du projet initial et seulement quelques lettres ont été
jointes, exceptée celle concernant la résolution n°6
! Il faut préciser que seules une vingtaine de résolutions
ont été discutées à la réunion du conseil
syndical du 24 mars, et non pas 63 ! Donc le paragraphe de la
page 9 de l’ordre du jour est INEXACT, ainsi que le projet
de résolutions joint où l’on retrouve la résolution
n°6 qui n’apparaissait pas sur le projet et qui n’a pas
été évoquée lors de cette réunion du
conseil du 24 mars. Les résolutions figurants sur l’ordre du jour aux numéros 14, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 31, 32, 33, 34, 36, 44, ainsi que les résolutions concernant les travaux particuliers des bâtiments «A» «B9» «B10» «B11» ne peuvent être votées car il n’y a pas de devis joints ni de détails des travaux et les résolutions 31, 34, 36 comportent des erreurs. En ce qui concerne les études commandées et payées à différents bureaux d’études c’est une pratique difficile à admettre pour les copropriétaires : En effet, les prestataires sont en général aptes à faire ces études (non facturées) et les résidants de la copropriété sont également aptes à juger du bien-fondé de leur proposition ! Les résolutions n°8 et 12 doivent être réputées non écrites, le législateur a prévu les règles à observer pour ces cas particuliers et nous devons nous y conformer. Et enfin,
les dotations inscrites au budget prévisionnel doivent faire l’objet
de résolutions séparées, avec devis, détails
et délais des réalisations, nombre et montant des appels
de règlement par les copropriétaires, délibérations
et vote. L’état des copropriétaires qui nous a été remis avec la convocation est celui de l’exercice 2001 et non celui de 2002, on ne peut donc pas vérifier ces comptes ! En donnant
le quitus au syndic pour sa gestion, nous nous privons de tout recours.
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l'allée du bâtiment "D" |
Sur l'allée longeant le bâtiment "D" une couche de graviers a été étalée ! _voir_ |
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un élu non candidat |
Elire
un copropriétaire absent à l’assemblée générale
comme conseiller syndical est choquant et cela est fréquent à
la Rouvière. S’il peut arriver qu’un candidat soit dans
l’impossibilité d’être présent ce jour-là,
il serait élémentaire de demander au président sortant
de lire le petit mot qu’il lui aura fait parvenir auparavant expliquant
les raisons de son absence. Dans le cas contraire, on peut être inquiet
sur les réelles motivations d’un candidat qui ne se déplace
pas le jour où les membres du syndicat se réunissent pour
décider du devenir de leur copropriété ! Et lors de
cette assemblée, il y a eu d’autres candidats absents et élus
! Mais il semble bien que cela ne heurte pas les membres du bureau du conseil ! Et c’est bien le président sortant de ce conseil qui a annoncé les noms des candidats. A ce jour, le syndic n’est jamais intervenu dans les candidatures des copropriétaires pour l’élection des conseillers syndicaux ! Mais il y a un début à tout puisque ce dernier reconnaît avoir commis une erreur vis-à-vis de ce copropriétaire ! Néanmoins, on peut se demander comment une telle bévue peut être commise car il est certain que ce copropriétaire ne s’est jamais porté candidat. Voir les courriers échangés entre ce copropriétaire et le syndic |
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un projet pour le super-rouvière |
La
vitesse dans les allées des sous-sol du Super-Rouvière
est une source de mécontentement, la pose des ralentisseurs en
est une autre.
En
conséquence : Ces avant-projets ont été présentés pour avis ‘‘uniquement de sécurité’’ au service compétent de Marseille. |
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un projet pour le centre commercial |
A
l’angle du super marché casino jouxtant le petit parking,
la barrière (voir)
qui interdit le passage des voitures au niveau 0 du centre commercial
interdit également le passage aux poussettes enfants, véhicules
pour handicapés et chariots individuels utilisés par les
personnes ne pouvant porter de poids et n’utilisant pas de véhicule
à moteur pour faire leurs courses. Elle est également un
motif de souffrance pour les personnes qui ont des problèmes aux
lombaires, étant donné la chicane la complétant.
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il fallait le faire ! |
Réactions
timides aux commentaires du site marseille-rouviere mais, réactions
qui vont dans le bon sens et dont on peut se réjouir : - Les accès au premier sous-sol de la tour ont été remis en état - Toujours au premier sous-sol de la tour, le nettoyage a été fait et la peinture va suivre. - Les environs du bassin ont été débarrassés des matériels qui traînaient depuis des années. - Le bassin a été partiellement nettoyé (on peut se demander pourquoi pas complètement ! mais ) - La gargouille de la terrasse sur la sortie des garages du deuxième sous-sol du bâtiment " B " a été enfin débouchée. - Et le sommet de tout ce que l'on pouvait espérer : les trottoirs de la Rouvière sont refaits, enfin presque tous. En si bonne voie, on peut souhaiter que l'oubli concernant les parkings jouxtant la chaussée face au bâtiment " D " et le trottoir à l'entrée de la copropriété soit réparé, il serait dommage de ne pas terminer ce travail indispensable. Ainsi nous pourrons circuler sans crainte de se tordre une cheville, les jours de pluies ne verront plus les graviers envahir les chaussées. Ce travail global nous reviendra moins cher que de faire venir une société x fois pour faire des petits bouts de trottoirs, sachant que la mise en route d'un chantier représente plusieurs heures perdues que le client paie. Merci au syndic d'avoir fait ce travail. Souhaitons qu'il continue. Il fallait donc faire ce site qui vient d'obtenir en quelques mois ce qu'un conseiller demande depuis 6 ans sans l'obtenir. Ainsi on peut se demander si un maillage de la copropriété par intranet ne serait pas mieux pour servir les intérêts de chacun et de l'ensemble de la copropriété qu'un conseil syndical impuissant à réagir devant les décisions unilatérales de certains de ses membres, en effet, tous pourraient donner un avis un rêve ?... non, l'avenir |
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climatisation des appartements |
En réponse au mail d'un copropriétaire concernant la pose d'un climatiseur _lire_ "cas particulier" Les installations électriques de la Rouvière auront bientôt quarante ans et ne sont plus aux normes et surtout la section des fils installés ne correspond pas à la demande actuelle qui voit apparaître de plus en plus d’appareils électriques dans les appartements. Chauffage, climatiseurs, plaques de cuisson etc. sont autant d’appareils qui mettent en danger la communauté avec des risques d’incendies et il y aurait bien lieu de se pencher sur ce problème. Il serait judicieux d’étudier la possibilité d’installer un poste de climatisation commun par immeuble avec récupération de l’eau pour l’arrosage des espaces verts pendant les grosses chaleurs. Pour ce faire, il serait souhaitable que le syndic fasse intervenir une société de climatisation pour établir un projet d'installation commune à chaque immeuble et également des climatiseurs individuels sur les paliers avec l’accord des pompiers et avec un protocole d’installation imposable à tous les résidants (le tout avec un chiffrage NON PAYANT). Il ne faudra en aucun cas omettre de prévenir les copropriétaires qu’une étude pour réglementer la pose commune ou individuelle de climatiseurs sera faite et votée par l’assemblée générale et que toute installation ne respectant pas la règle devra être déposée aux frais du contrevenant. Néanmoins,
il faut savoir garder mesure en tout et le cas de ce copropriétaire
aurait dû être pris D’autre
part, ce copropriétaire comme d’autres fait un amalgame avec
syndic, syndicat et conseil syndical Il convient donc de rappeler : |
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quoi de neuf sur le bulletin du conseil syndical du «4ème trim 2003» |
RIEN ! Il
convient de dire que l’état des copropriétaires remis
avec les comptes, l’ordre du jour et la convocation de l’assemblée
générale du 17 mai était celui de l’année
2001 et non celui de 2002, chaque copropriétaire peut contrôler
l’inexactitude de ce qui est rapporté sur ce bulletin. Rappel
: Les provisions de charges trimestrielles doivent être
réglées le premier jour
du trimestre, nous recevons l'appel environ 15
jours après... |
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alors |
La
sous-commission de sécurité de la préfecture des Bouches-du-Rhône
visite régulièrement nos immeubles pour contrôle de
sécurité et fait des rapports de visite qu’elle communique
au syndic. Ces rapports sont résumés succinctement aux membres
du conseil syndical sans autres commentaires et tombent dans les oubliettes.
Or, à la dernière assemblée générale du 17 mai, une résolution pour la pose d’alarmes demandées par cette sous-commission nous a été présentée sans détail, ni devis, ni explication pour un montant de 512 000 € (pour le super-rouvière)*. Cette résolution qui, par chance et fort justement, a été refusée par les copropriétaires, a provoqué un échange de courrier entre le syndic (pour se mettre à couvert) et la sous-commission fort mécontente de la situation. Découvrant ce courrier de la préfecture affiché de façon plus ou moins visible dans un des panneaux des entrées du super-rouvière, un copropriétaire a tiré la sonnette d’alarme et nous avons demandé et obtenu un rendez-vous avec la direction de la sous-commission de sécurité, qui nous a donné les explications nécessaires et nous a également donné copie du rapport de visite établi par ses agents concernant le super-Rouvière. Après à cet entretien, nous avons contacté des fournisseurs et les 512 000 € se sont transformés en 12 000 €, une bagatelle… ! A ce stade, il convenait de faire connaître à nos voisins d’immeuble le résultat de nos démarches et ils ont été convoqués amicalement pour une rencontre dans l’entrée de l’immeuble le mercredi 10 décembre à 18h30. A l’ouverture
de la réunion, nous avons vu arriver le président de la
commission des travaux du conseil syndical qui n’avait pas été
invité. Lorsque le copropriétaire initiateur de cette réunion
a relaté nos démarches pour les alarmes et le résultat
obtenu, le président de la commission des travaux a pris la parole
et nous a déclaré : Alors, on nous fait savoir qu’on ne nous a pas incité à voter la pose de ces alarmes mais ce président de la commission des travaux du conseil syndical avec la quasi-totalité des membres de ce conseil ont voté pour cette pose … Alors, on nous fait savoir qu’on ne nous a pas incité à voter la pose de ces alarmes mais dans le rapport de la commission des travaux présenté pour l’assemblée générale, on nous dit au sujet du rapport de ladite commission de sécurité : <…Un plan de réalisation a été élaboré pour permettre de réaliser ces mises en conformité…> nous ne l’avons pas vu ! Et le syndic a écrit pour prévenir la sous-commission de la préfecture qu’il ne pourra les installer car l’assemblée générale a voté contre…(voir le courier plus bas) Alors, on nous dit qu’on calmera la sous-commission… mais, lors de notre visite à la préfecture, il nous a bien été dit que ces alarmes devaient être installées impérativement avant la fin de l’année… ALORS,
on nous fait voter des travaux dont le montant est calculé «
à la louche ». Nous habitons une copropriété unique, en ce sens que les appartements sont confortables, bien insonorisés, une ossature solide, un environnement avec des espaces verts étendus, de la lumière, du soleil, pas de vis-à-vis… ALORS,
Mesdames, Messieurs les Rouviérains vous avez un recours, ne votez
plus le quitus, n’élisez plus certains de ces conseillers
et surtout réunissez-vous en syndicats secondaires pour être
maître de votre immeuble et de votre espace de vie. |
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courrier de la préfecture |
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respect du règlement |
*Le conseil
syndical est un organe collégial consultatif de liaison et de
contrôle.
Rappel
: «
A moins que le règlement de copropriété
n’ait fixé les règles relatives à l’organisation
et au fonctionnement du conseil syndical, ces règles sont fixées
ou modifiées dans les conditions de majorités prévues
à l’article 25 de la loi du 10 juillet 1965 par l’assemblée
générale qui désigne les membres du conseil.
» (article 22 du décret du 17 mars 1967)
Au
conseil syndical le cumul des mandats n’effraie pas ! la Rouvière le 29/12/2003 |
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