Formé en 1980,
le trio SODOM était à l'origine fortement inspiré
par les rudiments du Metal extrême, à savoir VENOM, en
y ajoutant une bonne dose de MOTÖRHEAD pour les racines punk. Les
teutons sont arrivés sur la scène en même temps
que HELLHAMMER et BATHORY, et ainsi à leurs débuts ils
furent un des pionniers de cette vague Black Metal. Et pour revenir à l'histoire de leur nom, précisons au cas où qu'il est bien lié à la Bible... En effet Sodome et Gomorrhe étaient deux cités cananéennes, que l'on situe au sud de la mer Morte. Elles ont été détruites par le soufre et le feu à cause de leur dépravation, notamment l'homosexualité, lors d'un cataclysme au XIXe siècle av. J-C. On retrouve ce récit dans la Bible, Genèse, XIX. |
=> MAJ du 20 Août 2003 : album live + mise en page
DISCOGRAPHIE
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Titre (lien vers chronique) Witching Metal |
Année 1983 |
Type démo |
(DOUBLE CLIQUEZ pour revenir en haut de la page)
(Black Metal 80's / 26' / autoproduit) "Produit" par Sodom v., b. : Tom Angelripper
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Pochette indisponible... |
houlala l'intro
qui s'"achève" par un hurlement féminin
des plus rassurants huhu... et là........................beuaaaaaarrrrrrrrgggggggg!!!!!!!! On m'en a filé
une copie, et j'ai ainsi découvert les origines de Sodom,
délicieusement Hellhammeresques. On a donc droit ici à
une sorte de version plus extrême de VENOM, avec des touches
de MOTÖRHEAD. Le tout avec LE
son démo des années 80, garage et craquant au possible
miam!!! Et pour coller à la musique rien de mieux que des
textes sataniques du premier degré =) Pour être honnête j'aime bien la genèse de VENOM et le caractère culte des premiers BATHORY, mais j'avoue ne pas être fan du style "black-punk" pour autant, loin de là. Donc c'est uniquement par curiosité que je réécoute cette démo, laquelle reste tout de même intéressante pour les collectionneurs que nous sommes :-) |
(Black Metal 80's / 19' / SPV) Produit par Horst Moller v., b. : Tom Angelripper
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Dans la lignée de leurs démos sort ce premier EP, toujours très influencé VENOM. Le son reste faiblard tout en s'améliorant pour atteindre le strict minimum. Première
constatation, la voix de Angelripper parait plus agressive et prend
ici et là des intonations purement Black! Les zicos jouent
un poil mieux qu'auparavant mais la différence ne saute pas
aux oreilles, ya encore du boulot. Pas grand chose
à ajouter concernant ce EP culte en matière de Black,
si ce n'est que les fans de HELLHAMMER adorent, les autres non.
Honnêtement je fais davantage partie des deuxièmes
;-) Ceci dit le morceau "Blasphemer" a quelque chose de
diablement entêtant qui me plaît bien, et "Oubreak
of Evil" est resté un classique avec son riff à
la Motörhead. Bref bien que ce ne soit pas toujours ma tasse de thé je constate les progrès (logiques), en attendant le premier véritable album. |
(Black - Thrash occulte / 37' / SPV) Produit par Bobby Bachinger v., b. : Tom Angelripper
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mmm une bien joyeuse intro encore pour ce premier album =) Il faut accélérer la voix du narrateur avec un logiciel de traitement audio pour comprendre les douces paroles qui augurent de la suite. Eh oui, Sodom n'est pas là pour faire dans la dentelle, leur créneau c'est le malsain et cette fois ils mettent pied dans le monde du Thrash Metal. Sans abandonner totalement le satanisme le groupe le met moins en avant et commence même à parler de son futur sujet favori : la guerre. Sans oublier la religion et la magie noire... Les racines Black
n'ont pas non plus disparu, mais elles sont diluées dorénavant
avec des structures plus Metal. On a droit à de vrais riffs,
et et certains passages se révèlent presque mélodiques!
Il s'agit également du seul enregistrement avec Destructor, parti dans KREATOR et décédé dans un accident en 1993. RIP. |
Produit par Sodom v., b. : Tom Angelripper
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"Sooodooooooomyyyyyy
and luuuuuuuuuuuuuuuuuuuusttttttttttttttttttttttttttt!!!!!!!!!" Avec cette pochette
Sodom dévoile un logo qui ne va plus les lâcher, et
ce Maxi vinyle marque également l'arrivée au poste
de guitariste de Blackfire (ex-VIDEA, futur KREATOR), ce qui va
changer considérablement la donne. Les 3 titres ici présents sont à mon sens meilleurs que leurs précédentes compos, l'ensemble carré et plus incisif. La voix perd de son côté black, achevant la transition avec la suite, car le groupe semble se diriger vers d'autres horizons musicaux. A noter que la réédition CD de "Persecution Mania" comprend en bonus "Outbreak of Evil" ainsi que ce Maxi en intégralité. |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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Cette fois la
cover inaugure l'apparition de Knarrenheinz le militaire au masque
à gaz, leur "mascotte" sexy =)
Par la même
occasion il s'agit là de leur première sortie véritablement
THRASH, avec toujours un côté occulte et ça
fait mal par là où ça passe. Ce dont on se rappellera surtout c'est que Persecution Mania est un très bon exemple de ce que représente le Thrash sans artifices, méchant et épuré de tout compromis! |
Produit par Gerd Rautenbach v., b. : Tom Angelripper
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Puisque l'on
parle à chaque fois des pochettes, celle-ci a été
censurée et les éditions cds disposent uniquement
d'une façade noire avec le logo de Sodom et le titre de
l'album. Pourquoi cette censure? Eh bien parce que le nom du groupe
est imagé dans le dessin.....
C'est la tournée
Sodomania avec WHIPLASH qui a servi de support à cet album,
et plus particulièrement les concerts de Dortmund et Düsseldorf. Tous les morceaux présents ici ne sont pas mes préférés du groupe, mais les plus anciens bénéficient d'un son plus puissant qui leur redonne de nouvelles couleurs. Voilà donc un bon résumé des débuts de Sodom en 14 titres (dont encore une fois la reprise de "Iron Fist"). |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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Rah cette
pochette!!! Elle met bien en valeur leur album de référence!
Car Agent Orange est pour moi le point culminant de leur
carrière, un indispensable de l'histoire du Thrash Metal.
Un sacré carnage qui détruit tout sur son passage!
La production
une nouvelle fois signée Harris Johns est très
satisfaisante pour un album de l'époque, et la personnalité
du groupe peut ainsi s'exprimer de la meilleure manière
possible. En cassant tout =))) A l'image du morceau éponyme,
hymne ultime du groupe s'il en est. Textuellement
parlant c'est donc toujours aussi engagé, et les thèmes
abordés sont parfois très délicats comme
dans "Incest"... |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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Ce single
illustre le grand classique de Agent Orange, il est
ici en version allemande avec Bela B. en invité au
chant. Très dispensable, ce single a néanmoins ravi ceux qui maîtrisent la langue germanique ;) |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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La valse
des guitaristes continue, le pourtant acclamé Blackfire
part rejoindre KREATOR et c'est Michael Hoffman (ex-ASSASSIN)
qui vient en renfort.
Quelques légers changements de recette pour Sodom, la principale évolution vient du gratteux techniquement au dessus du précédent, se laissant parfois aller à des rythmiques TRES rapides et/ou plus recherchées. Une bonne recrue! Le son prodigué a été un peu modifié, cela reste quoiqu'il arrive une bonne production. En ce qui
concerne les compos eh bien Angelripper a toujours son chant
féroce et très personnel, Witchhunter pilonne
à tout va, et les textes demeurent de très bon
goût comme l'entêtant "The Saw is the Law".
L'album est malgré tout moins rentre dedans que son
glorieux prédécesseur, sans être commercial
pour autant ;) Disons que le mid tempo a davantage de place... Souvent considéré de piètre qualité car plus accessible, je trouve pour ma part que Better Off Dead est une très bonne livraison des teutons, qui a sa place dans l'étagère des fans. |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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Encore
un EP, ils n'arrêtent pas avec leurs "tubes"
:)
La version rallongée du morceau est ici nommée "splatting version", et en effet on entend bien la tronçonneuse et l'usage qui en est fait là dedans =))) Oui c'est encore d'un goût très subtil. Le deuxième
titre est "Tarred And Feathered" déjà
présent sur Better Off Dead. Un EP amusant donc, mais qui n'a guère plus d'intérêt que les autres, c'est à dire pas beaucoup ;) |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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On arrête pas le progrès, en lisant le livret on ne peut que sourire en découvrant qu'uvre un nouveau nouveau (sic) guitariste. Allez
on met le CD dans la platine, et VLAAAAAAN dans la gueule!
Retour cinglant à la brutalité avec l'affolant
"Body Parts", Sodom reprennent là où
ils s'étaient arrêté avec Agent
Orange. Et contrairement
à la plupart des albums de Metal, la basse s'entend
très clairement ici! Le Angelripper a du faire
les yeux doux à Harris Johns, le résultat
est une production de haut niveau à rendre assourdissant
tant les 3 instruments décapent. Par conséquent
mis à part le punkisant "Watchturn" en
allemand, on parle bien de THRASH METAL pur et dur au
tout premier sens du terme : thrash = tabasser. |
Produit par Sodom v., b. : Tom Angelripper
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Au menu
de cet énième 4 titres un changement de
batteur, Witchhunter le membre fondateur avec Tom étant
parti pour des problèmes d'alcool. Il est remplacé
par Atomic Steif, ex-LIVING DEATH.
Le premier des 4 morceaux est une reprise d'un morceau festif sûrement très connu en Allemagne, et vu mon incompréhension de la langue je suis bien incapable de dire de quoi il retourne exactement =) Le premier morceau de "Happy Metal" de l'histoire de Sodom! Le dernier aussi... Ensuite
"Sodomized" est une pré-version du titre
de l'album à venir, "Abuse" une inédite
et en dernier une nouvelle version de "Skinned Alive". |
Produit par Wolf G. Stach v., b. : Tom Angelripper
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Devinez
quoi? Oui, la pochette a encore été censurée
=)) Celle que vous voyez ici à droite a été
remplacé par une simple photo des 3 pas fins.
Musicalement,
cet album laisse une impression bizarre à la
première écoute... Les morceaux sont également plus courts et simplifiés, les racines punk reprenant donc de l'importance sur l'élément Metal. Au fond leur musique n'est pas tant modifiée que ça, mais l'opus est produit de telle sorte que l'on a du mal à retrouver la brutalité métallique des précédentes réalisations. Une
excellente curiosité apparaît néanmoins
avec l'instrumentale "Tribute to Moby Dick"
qui est agrémentée de véritables
bruits et sonars de baleine, troublant! Eh vi, Angelripper
dénonce la chasse aux baleines et leur exploitation,
Sodom fait dans l'écolo :) Bien
que comprenant des passages bien Thrash, il s'agit peut
être de leur album le plus Motörheadien,
et même si j'adore la bande à Lemmy je
préfère voir Sodom en cador du Thrash
intense. |
Produit par Uli Pösselt v., b. : Tom Angelripper
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Sodom
continue son petit bonhomme de chemin en proposant
leur plus belle pochette signée Andreas Marschall,
on reconnaît sa griffe aisément.
L'album
laisse de côté la démarche simpliste
du précédent pour revenir à quelque
chose de plus foncièrement Metal. Les morceaux
restent courts dans l'ensemble, sous un aspect plus
Thrash que dans le précédent tout de
même. N'oublions pas la traditionnelle reprise, cette fois c'est ANTI NOWHERE LEAGUE qui est "Sodom-isé" dans le très entraînant "Let's Break the Law". Un bon album de Sodom qui ne manque pas d'agressivité mais qui à mon avis ne peut soutenir la comparaison avec leurs classiques établis. Il lui manque en effet juste cette flamme plus radicalement Metal à mon goût, ainsi qu'une meilleure production. Signalons enfin que le nouveau gratteux ne restera pas longtemps vu qu'il va finir en prison peu après... |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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1997 voit le retour derrière la console de Harris Johns leur indispensable producteur de boucheries, et tant mieux parce que cette fois le son est clair et incisif! On pouvait alors s'attendre à un retour au Thrash sanglant de Persecution Mania ou Tapping the Vein mais pas vraiment en fait, le groupe continue de jouer un peu avec ses influences punk. Je
dis ça m'enfin ça suinte encore bien
le Thrash pas fin à l'image du bourrin comme
on l'aime "Frozen Screams" en coup de
boule d'ouverture. Entre
deux gifles de Thrash Metal punk sauvage on retrouve
aussi des compos lourdes façon le titre éponyme,
ou des morceaux plus traditionnels comme "No
Way Out" ou "Wander in the Valley".
Rajoutez l'inévitable titre en allemand (étonnement
mélodique) et la reprise obligatoire, cette
fois des BANGLES, "Hazy Shade of Winter",
terrible! :) Malgré leur apparente évolution nulle, Sodom a encore pondu là un album différent et très plaisant dont le côté punk assez prononcé m'a moins dérangé cette fois. Pas dans mes favoris du groupe mais il a le mérite d'être simple et efficace, nickel pour faire le ménage chez soi =) |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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LA
mandale dans la guuuuuuuueeeeeeeuuuuuuuuuleeeeee!!!!!!!
Dès le premier titre ça rigole pas,
Sodom s'est doté d'une prod' monstrueuse
pour des coups de tronçonneuse d'une agressivité
fabuleuse! Chaud devant, ça va gicler!!
Les deux nouveaux sont maintenant parfaitement intégrés et envoient des missiles d'une puissance hallucinante! Les mauvaises langues diront qu'il ne s'agit là que de leur Agent Orange 2, eh bien tant mieux ils auront presque raison quelque part =) Sauf que ça détruit tout alors on s'en fout!!! Cette tuerie ultime est indispensable à tout point de vue, c'est la définition même du Thrash brutal qui laisse des traces! On ne voit pas passer les 40 minutes tellement l'intensité et l'accroche des morceaux retiennent toute l'attention. Je
ne vois pas quoi rajouter de spécial tant
tous les éléments qui ont fait le
succès du groupe sont là, mis à
part l'absence de titre en allemand. Angelripper
a définitivement trouvé les musiciens
adéquats pour Sodom, le trio est plus efficace
que jamais. Putain de riffs et batterie de tueurs! En
guise de bonus track on a droit à l'exercice
quasi systématique de Sodom, une excellente
reprise de "I'm a Rebel" de ACCEPT en
version déjantée! |
Produit par Sodom & Harris Johns v., b. : Tom Angelripper
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Rah
quelle pochette de bon goût encore une fois!!
Sans oublier le digipack camouflage du meilleur
effet =) Oui les textes ne parlent pas de Alice
au pays des merveilles, mais sont bel et bien
une condamnation sans appel de la guerre du Vietnam.
Et rien à voir avec le conflit en Afghanistan...quoique.....
Revenons
à la musique, car le line up actuel continue
d'exceller avec cet album qui prouve une fois
pour toutes que Sodom est de nouveau au sommet
de son "art". Que
manque-t-il de préciser? La reprise bien
sur! Le délirant "Surfin' Bird"
des TRASHMEN (!) est passé à la
moulinette pour un résultat non moins éclatant. |
Produit par Harris Johns v., b. : Tom Angelripper |
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Il
y a des groupes qui aiment les lives et Sodom
en fait définitivement partie puisque c'est
déjà leur troisième! En 20
ans de carrière tout de même. Le
trio d'allemands hirsutes sort de sa routine et
va où personne n'est encore allé,
cet enregistrement a été immortalisé
a Bangkok l'an dernier pour la promotion de leur
dernier album qui a justement trait à la
guerre du Vietnam.
La set list est très fournie avec 24 titres piochés un peu dans toute leur discographie, dommage qu'un certain nombre d'entre eux soient déjà disponibles sur Mortal Way of Live et Marooned, mais en même temps un concert de Sodom ne serait pas complet sans tous ses classiques. Or des classiques il y en a dans ce double album très cru voire crade parfois, qui respire le bon thrash brutal sans finesse de Sodom, je ne pense franchement pas qu'il y ait eu des overdubs :) A part sur le public peut être, qui sonne bizarre parfois... On est bien sur loin de la perfection des récents lives de Annihilator ou Blind Guardian, et justement c'est cette démarche sincère et sans concessions qui donne son charme à Sodom, le plus punk des groupes de Thrash allemand. Car ce côté punk de la formation ressort toujours nettement plus sur scène qu'en studio, là où les derniers albums sont quand même purement Thrash à 99%. Or ici ces mêmes morceaux ne sonnent pas tout à fait pareil, ce que je regrette en un sens puisque j'adore précisément leurs version studio plus tranchantes, mais d'un autre côté ça reflète l'identité scénique de Sodom. One Night in Bangkok se situe donc dans la lignée des précédentes punitions en public du groupe, avec toutefois un meilleur son grâce aux technologies modernes, tout en gardant cet aspect sale et méchant qui leur va si bien. On a droit en plus à une inédite "Enemy Inside" et également "Among the Weirdcong" en bonus vidéo, ce qui permet de mieux se représenter le lieu de sévices. Tom Angelripper est étonnamment peu bavard mais au moins sa voix est restée vorace et malsaine, sa prestation est excellente tout au long de ces vieux titres de Black Thrash tels que "Blapshemer", "Outbreak of Evil", "Sodomy & Lust" ou encore l'antiquité de leur première démo "Witching Metal". L'intérêt de Sodom est justement d'avoir un panorama assez varié, on retrouve des titres bien rock 'n roll tels que "Eat Me" (dont vous devinez les paroles huhu) et la reprise de "Ace of Spades", des morceaux très punks comme "Fuck the Police" et le grand classique "Ausgebombt", et enfin des tueries de pur thrash saignant telles que "Code Red", "Agent Orange", "The Saw is the Law" ou encore "I Am the War". Sans surprise ce sont ces titres que je préfère, et si j'aurais bien changé quelques petites choses dans ce live, il a le mérite d'être parfaitement représentatif de ce qu'est un concert de Sodom, à la fois niveau de la playlist et du son de mammouth. Pas fin, oui et alors? :) |
Rien d'exactement
proche de leur style actuel, mais en Thrash allemand autant regarder
tous les autres de la même catégorie. Et des tas de groupes
dans l'underground, y compris en Black Metal...
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