Ca pourraît s'appeler : 4 semaines au Maroc (16/10/04 au 13/11/04 ) avec dans l'ordre ma katy et mon troll.

On s'en est sorti. Après coup c'est une bonne expérience et c'est de bons souvenirs. Mais pour être objectif y a eu des galères qd même.

Comme qui diraît les 7 plaies du Maroc. Avec en first les enfants. En deus les arnaqueurs et vendeurs divers. Puis les crikets, les méchantes bactéries qui attaquent l'intestins, katy, ...

Maintenant les bons côtés : le dépaysement, les paysages, la pratique du 4x4, katy (tiens bizarre).

Le trajet jusqu'au Maroc s'est passé sans problème. On a pris le bâteau Algesiras - Ceuta mais je suis pas sur qu'on est fait beaucoup d'économie par rapport au prix du billet Sète - Tanger.

Parti le samedi à 9h de Metz, arrivé à la frontière marocaine le lundi vers 14h. Piano quoi !!! La frontière marocaine sans trop de soucis. Pas mal de rapace quand même. C'est assez artisanal mais ca donne une bonne idée de la suite. Attention, j'avais réussi à faire tomber l'assurance du véhicule vu qu'il faut se balader avec tous les papiers d'un bureau à l'autre.

La frontière passée, direction Méknes. Arrivée au camping juste après la rupture du jeun. On est accueilli assez froidement mais le gars nous offre ensuite quelques gateaux.

Le camping ok sans plus !!! 33°52,87N 05°33,37W

   

Le lendemain, visite de Méknes, la médina, le palais et on trace sur Fés. Basé à l'Ibis.

 

Katy veut visiter la médina, alors on se dirige vers le célébre quartier de l'ancienne cité royale.

 

Il est 16h et directement après m'être pris la tête avec un gardien de parking qui veut le tarif de la journée alors que d'ici 2 heures il est plus là, un jeune de 16, 17 ans vient se coller à nous et ne nous lâche plus.

 

On a beau lui dire qu'on veut se ballader seul et être tranquille rien à faire pour décoller le morpion.

 

Plus ou moins contraint forcé je finis par lui demander de nous conduire au quartier des tanneurs. On se retrouve finalement sur la terrasse d'un marchand de babouche avec vu sur les tanneurs et passage obligé par la boutique !

Situation vraiment gonflante ! Non seulement on peut pas se balader tranquille mais en plus on se retrouve chez des clampins qui n'ont qu'une idée en tête : nous tirer le max de pognon en un minimum de temps.

Comme j'en ai maintenant marre et qu'il a bien pris soin de nous perdre dans la médina je lui demande de nous ramener. Arrive le moment de la transaction.

Il demande 20 dihram. Comme il m'a saoulé, que je n'avais pas l'intention de prendre un guide et que de toute manière il y connaît que dalle je lui donne 10.

Il les refuse carrèment, comme si je lui faisais la charité. L'ambiance qui était jusque maintenant détendu prends une tournure très agité et le ton monte rapidement. Je lui dis qu'il était prévenu que je ne lui donnerai rien. Il me dit qu'il a passé du temps avec nous et qu'il doit donc être payé. Il finit par m'insulter me priant d'aller me faire f...... et me traite de j...f.

La folie quoi. Alors que je voulais juste faire une petite promenade dans la médina !

   

Après cette galère direction Ifrane. Mon idée c'est de traverser l'Atlas pour ratraper la valée du draa et continuer vers le Sud.

 

Gandini donne 2 trajets de traversée de l'Atlas. Le premier est classé rouge. Par l'oued Tessaout. La prochaine fois peut être. Le second, que nous avons emprunté, par Imilchil et les gorges du Todra.

 

Katy est malade. Elle est venu avec un microbe. Elle tousse et son énergie est relativement basse. Je le sais pas à ce moment mais son état de santé va s'empirer dans les jours à venir. Elle toussera pendant toutes les vacances (et même après être rentré). Certains jours toute la journée (ca stresse un peu).

  On passe Ifrane. Puis Mischliffen.
 

Ensuite les petites routes jusque Khenifra en passant par les 40 sources (Oum-er-Rbia) et le lac Aguelmane Azigza.

   

On arrive finalement au camping des Artistes assez tard (El Ksiba).

 

Bon accueil des francaoui. On y trouve aussi un couple de jeunes retraités et c'est dans cette bonne ambiance que nous dînons.

 

Le lendemain, direction Imilchil. Goudron jusqu'à l'auberge du lac Tislit. L'aubergiste (momo pour les intimes) nous indique la piste pour le lac Isli.

 

Arrivé à Isli on se rend compte qu'il est déjà 13h et qu' on a manifestement tendance à sousestimer les étapes. Décision est donc prise de passer la nuit à Tislit.

 

Beaucoup de vent sur Isli mais le paysage est sympa. On est à plus de 2000m et il n'y a pratiquement pas de végétation. Comme on a qq heures j'en profite pour pêcher pendant que kat reprend un peu de force (elle s'est aménagée un petit nid à l'arrière du 4x4).

   

Après avoir creusé une tranchée je trouve 2 petits vers de terre. Résultat un beau poisson au bout de la ligne mais...cassé. Il m'a semblé que c'était une tanche mais j'ai ensuite appris qu'il y avait surtout (exclusivement ?) de la truite dans Isli. Dommage, ce sera pour une autre fois.

 

Le soir retour sur Tislit et bon tadjine de momo (plus d'une heure d'attente qd même mais bon c'est les vacances).

 

Le lendemain, après un sommeil réparateur sous les peupliers j'essaie une nouvelle fois d'attraper du poisson.

 

Toujours rien, alors vers 11h on décide de plier le camp et de continuer vers le Todra (pour ne pas mourir de faim because momo y ferme pendant le week end : c'est ramadan qd même).

 

Après quelques courses au souk d'Imilchil on s'engage sur la route mais après quelques dizaines de kilomètres on s'aperçoit qu'on a loupé l'embranchement de la piste.

   

Pour la première fois du parcours le GPS et le portable font merveilles. Demi tour donc. Permière rencontre avec les crickets.

 

Le soir : camping du soleil. Ok mais sans plus. Le matin, Katy veut aller voir la source des poissons sacrés. Commence alors la plus grosse anarque qui m'est arrivée.

 

Arrivée au bassin il y a effectivement les fameux poissons mais la pièce d'eau est singulièrement plus petite que dans mes souvenirs d'enfance.

 

Bref, il y a là un gugusse qui peine à ouvrir les yeux mais qui nous annonce quand même qu'il fait visiter la palmeraie pour quelques dizaines de dihrams.

 

Arnaque bien sur puisque la palmeraie est évidemment d'accès libre; mais katy veut y aller et la somme n'est pas exhorbitante...

   

Au retour l'énergumène nous dit qu'il y a à Tinerhir des femmes berbères qui tissent des tapis et que c'est vraiment à voir (arnaque acte 1).

 

Ouais, ouais, cause toujours...La dessus le gugusse ouvre son magasin et on embarque direction le djebel sagho .

 

Arrivée à Tinerhir je m'arrête pour acheter du pain. Je lève la tête pour voir si quelqu'un serait susceptible de me renseigner et je vois justement un gars se diriger vers nous.

 

"bonjour, où pourrait on acheter du pain"

 

"quel hasard, je suis ici pour le mois du ramadan. Je travaille en France. Viens je t'emmène."

   

La dessus on va acheter le pain et il me propose d'aller faire un tour dans la kasba en me disant qu'il y a aujourd'hui, à Tinerhir, des femmes berbères qui tissent des tapis. (arnaque acte 2)

 

Là ca fait tilt dans ma tête :

  • Je suis allé à lui et non le contraire (erreur, en fait il venait vers moi)
  • c'est la deuxième personne qui me parle de cette atelier de tissage (je ne pense pas alors qu'il y ait une arnaque aussi organisé avec toute une serie de rabatteurs.) Autre erreur.

 

Comme à Fés, après nous avoir perdu dans la kasba, le gars nous lâche au pied d'un escalier en nous disant : "c'est là montez"

 

On se retrouve dans une pièce avec des tapis au sol, un métier à tisser et une gonzesse qui carde de la laine. Assez comique quand on y pense après coup (vu qu'il devait s'agir d'un atelier de tissage ou d'une manifestation d'importance) mais bizaremment ca me choque pas.

 

La dessus arrive un mec. Je devrais dire un enc...Il parle bien français. Me dit avoir travaillé en France. Il nous offre le thé et nous raconte une belle histoire :

- la dame ne parle que berbère. Elle baragouine parfois des trucs et il nous traduit au fur et à mesure. Des choses du genre : "elle dit qu'elle est très fière de vous présenter son travail". Bref des conneries comme si on était redevable de quelque chose !!! Le clou du spectacle a été de me faire dire hoho (soit disant non) à chaque tapis que la fille me présentait et que je ne désirais pas acheter. Ambiance pourri, on se sent pas bien, perdu dans une ville au Maroc devant une soit disant berbère qui passe son temps à tisser et essaie péniblement de fourguer le fruit de son labeur.

   

Bizaremment, sur le moment, même si je me dis qu'il raconte pas mal de crack je ne mets pas en doute le fond de l'histoire (le tissage à la main).

 

Comme j'ai envie d'abréger le truc et que le piège c'est quand même bien refermé sur nous, je selectionne 2 tapis (qui sont en fait des kilims). Le gars m'annonce 150 euros pour le premier et 120 pour le deuxième. Je lui propose 100 euros.

 

"Non je ne marchande pas...est ce que vous marchandez en France"

 

Bref, j'en ai marre, je suis pas venu au Maroc pour acheter des tapis, j'ai prévu de faire une piste dans le djebel Sagho et je me retrouve devant ce clampin à acheter des tapis. Je lui donne ses 150 euros. Pour le moment j'ai pas encore réalisé que la gonzesse elle a jamais posé ses mains sur un métier à tisser, qu'il s'agit d'une arnaque et que le kilim vaut 30 euros au +.

 

La dessus on part et je lui dis que je lui donne 50 euros pour le deuxième. L'appât du gain me révèle rapidement l'imposture car il commence à marchander et ne nous laisse finalement pas repartir sans le 2ième tapis (pour 50 euros).

   

Gros sur la patate quand même. Depuis notre arrivée au Maroc on n''avait eu affaire qu'à des sagouins. D'abord à Fez, ensuite les enfants dans l'Atlas qui sont plus que collant et limite agressif et maintenant ça !!!

 

En plus au lieu de décoller comme je le souhaitais vers 10h, il est déjà midi. La suite n'est pas meilleure. On avait décidé de traverser le djebel Sagho par la piste Gandini H2. Or comme nous n'avons pas encore le coup avec le gps, comme katy est maintenant vraiment malade et vu l'heure on décide de rebrousser chemin et de rejoindre Ouarzazate par la route.

 

Direction l'hotel Dar Daïf. Le décor est vraiment joli et les chambres très bien aménagées et décorées.

 

Après avoir déposé Kat je profite des dernières heures avant la tombée de la nuit pour vidanger le troll.

 

Pour clore la journée, kat dort et je dîne donc seul dans ce décor magnifique au son du gnaoua !!!

   

Le lendemain n'est pas franchement meilleur.

 

On décide de descendre vers Zagora en passant par la cascade de Tizgui d'une part (Gandini G1) et par les vieux villages de la rive gauche du Draa (Gandini G2) d'autre part.

 

Arrivé sur le parking de la cascade on descend dans les gorges et je vois au loin un gugusse en train de dormir (c'est toujours le ramadan)

 

Dès qu'il s'aperçoit de notre présence, il émerge péniblement et devant notre réaction amicale, il adopte un comportement entreprenant.

 

Il installe des tapis et commence à préparer le thé ! On s'attend pas à trouver un pékin qui fait du business ici...ben si !!! la Maroc Connection a encore frappée.

   

Rien de méchant mais alors qu'on voudrait savourer tranquillement cet endroit merveilleux, le Omar nous tient la jambe pendant au moins 3/4 d'heure, jusqu'à ce qu'il manque de salive et que je lui donne 40 dihrams.

 

Il faut croire que les affaires ne marche pas si mal dans le désert car au moment ou nous partons arrive une femme et deux enfants.

 

De retour au troll on continue le G1 jusqu'au km 12,3 30°47,52N 06°31,88W.

 

Là on est assailli par une horde de gamins car j'ai eu la bonne idée de sortir des stylos.

 

Demi-tour pour pousuivre la piste, mais comme malheureusement on n'a pas rentré les points Gandini dans le gps on jardinne au niveau de l'assif Tghouza km 13,9.

   

En plus les gamins sont vraiment collant, il fait chaud et katy n'est pas au mieux.

 

Devant ces constatations et vu que pour le moment on a pas réussi à fonctionner comme je l'espérais nous décidons de remonter sur Agadir pour reprendre souffle et aviser sur la suite des vacances.

 

Résultat il est 15h et à 20h nous serons le soir même à l'Ibis d'Agadir.

 

Ensuite Essaouira. On se retrouve dans un appart de chez Jack's appartement (conseillé par le DPM). Franchement pas terrible. Bruyant car y a un artisan juste en dessous. La vue, quasiment inexistante car les fenêtres sont au niveau des fortifications...

 

On ne garde pas un souvenir extraordinaire d'Essaouira comme on peut pourtant l'entendre ca et là. Trop de touristes et toujours une certaine agressivité des Marocains.

   

La dessus un choix s'offre à nous. On arrête les frais et on remonte. Pourquoi pas en Espagne. Ou on continue et on tente la côte atlantique.

 

Décision est prise de continuer au Maroc et bien mal nous en a pris.

 

Direction l'Albergo de la plage à Mirleft. C'est un marocain qui nous y accueuille. Vu imprenable sur la plage, chambre modeste mais propre, cuisine simple mais bonne. On commence à reprendre goût à la vie.

 

On décide donc de passer une nuit de plus ici. Le lendemain, repos pour katy et pêche dans les falaises pour moi.

 

L'après-midi se passe agréablement avec la visite de l'ancien fort français et une balade sur la plage.

   

Le soir, ambiance coloniale aux 3 dromadaires. Grande tablée de 10 à 15 personnes en grand blanc et nous, 2 pequins dans leur coin.

 

Des discussions de propriétaire terrien, de caïd et autre maison en construction arrivent à nos oreilles mais nous sommes déjà debout près à partir.

 

En tout cas bonne bouffe et quand même sympa !!!

 

Gros dodo et première vrai piste des vacances : le A1bis du DPM de Sidi Ifni à Bou Jerif.

 

Vraiment bien !

   

En passant à Sidi Ouarzig un gars nous fait signe. Il dit qu'il travaille pour Bou-Jerif et demande si on peut l'emmener. En fait le proprio de Bou Jerif, Guy pour les intimes, a commandité 2 ou 3 gugusses dans les villages entre Sidi Ifni et Bou Jerif pour rapatrier les touristes plus ou moins perdus...

 

Bref nous voilà reparti avec un passager.

 

L'Abdel nous est en tout cas utile car il connaît son affaire et nous amène sans problème jusque foum Assaka.

 

Là, il y a pas mal d'eau mais ca passe.

 

Arrivé à Bou Jerif je donne 150 dihrams au sieur Abdel et nous plantons notre igloo sous la tente caïdale. Katy est claquée, je bricole un peu puis miam miam et dodo.

   

Le lendemain je propose à Abdel de nous servir de guide pour Tafnidilt. Mon idée c'est d'emprunter le parcours A3 du DPM.

 

Il me dit qu'il ne connaît pas bien mais accepte. Marché conclu pour 250 dihrams. Grosse erreur !!! D'abord il nous amène à la plage blanche par une espèce d'autoroute sans aucun intérêt et ensuite devant mon insistance pour reprendre le bord de mer on finit par se perdre carrément.

 

Heureusement le GPS et l'ordi portable font une nouvelle fois merveille. Alors que je pensais être au nord de la piste qui rejoint le fort Aereora depuis la route Tan Tan - Guelmin on est en fait au sud.

 

Merci la technologie parcequ'on était mal barré. Arrivé au fort on taille un brin de causette avec le militaire de faction et on en profite pour admirer le foum.

 

Le militaire nous montre l'endoit où l'on peut remonter du lit de l'oued sur le plateau. Rouler sur la plage ce sera pour une autre fois! On prend ensuite la piste très cassante en bordure de falaise jusqu'au cap Dra, puis Tafnidilt.

       

Après une soirée agréable et une nuit de repos nous partons pour le B3 de Gandini.

 

La matinée est consacré à la réparation des barres de toit (qui n'ont pas trop apprécié la veille) et à quelques courses sur Tan Tan..

 

Le début du B3 se passe très bien. Le paysage est vraiment joli et la piste variée. Par contre, après le passage de la crête (entre les km 28 et 31) la descente vers Bou Mougueil s'avère impossible. La piste indiquée par le DPM est complétement ravinée par des écoulements d'eau. Demi tour.

 

On se rappelle alors avoir croisé une large piste ( aux environs du km 23) qui semble rejoindre le même village.

 

Effectivement, on récupère ainsi le parcours Gandini aux environs du km 35,3. La fin de journée se passe bien et c'est au crépuscule que nous atteignons les gueltas de l'oued Boualaga. Pour notre premier bivouac le coin est apparemment fréquenté par les ovins mais ambiance aventure quand même. Le lendemain est aussi très agréable avec un passage par les grottes du jbel Boulmaghair. Le soir nous sommes à equinoxe où nous degustons quelques bars fraîchement pêchés.

       

Le lendemain, sur les conseils de René : la nécropole de l'oued Chbika (C2 du DPM).

 

Sympa, piste pas trop cassante, pas mal de sable. Bon, disons franchement que les tombeaux préislamiques une fois que tu en as vu un tu les as tous vu. Mais la balade est agréable quand même :

  • groupe abreuvant des dromadaires au puit
  • les berges de l'oued
  • un groupe de motos
  • ...
 

En fin d'après midi on file sur Smara.

 

Avant d'arriver en ville on s'arrête au camping pour constater qu'il y a bien un terrain, des travaux en cours, mais point d'eau.

 

On continue donc vers Smara et là coup de bol on tombe sur un hôtel flambant neuf (l'hotel Amine). Chambres nickel et repas plus que correct. Le seul hic, les résidents font le tour des chambres à 4h du mat pour entraîner tout le monde vers la salle de restaurant !!! Heureusement katy ferme toujours à clé.

       

Le lendemain, départ pour un circuit de 2 jours : le L3 du DPM (site à gravures rupestres).

 

Là encore, les gravures sont certes intéressantes mais disons le pas extraordinaires. Encore que, voir sur le site même de sa création l'oeuvre d'un artiste est beaucoup plus intéressant à mon sens que de la découvrir dans un musée.

 

A noter que nous avons constater que certaines gravures mentionnées par le DPM étaient introuvables. D'autre part nous avons vu de manière évidente au moins une fois qu'il y avait malheureusement des vols (une tentative au burin s'étant soldée par un echec et par une fracture nette de la gravure).

 

Le parcours est vraiment dépaysant. Nous n'y avons croisé que 1 ou 2 véhicules militaires et encore pas très loin de Smara.

 

L'ensemble me laisse un bon souvenir. Surtout le bivouac à mi-chemin, à quelques 80km de la frontière algérienne. 1 ensablement et une centaine de km plus loin nous nous retrouvons dans notre hôtel favori à Smara. En place et lieu des brochettes d'agneau, des boulettes de dromadaires. Verdict : les brochettes gagnent.

   

Ensuite c'est la remontée vers notre cher pays. Laayoune, Akfenihr, Marrakech par le Tizi-n-Test, Ceuta.etc...

 

Adieu piste, criket, bivouac et vive les bouchons, les nuages et la tronche des collègues.

 

A noter que le buffet d'un grand hôtel de Laayoune (où sont basés apparemment pas mal de personnel ONU) m'a laissé un souvenir mémorable. Le bord de route entre Akfenihr et Agadir s'en rappelle aussi !!!

 

Nous avons passé une nuit au centre de pêche sportive d'Akfenihr. Ambiance assez pourrie à mon goût. Le maître de maison est sympa et prévenant. Mais la bande de pêcheur qui l'accompagnait beurk. Des prétentieux vivant au Maroc et prenant les touristes pour des cons. Et c'est fini. Une nuit à Marrakech histoire de faire un tour sur la fameuse place et d'acheter des souvenirs et retour à la case départ...Mais bientôt sans doute de nouvelles aventures....

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