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a9 2 - sur unes de leurs parties des formes sont proches l'une de l'autre, et sur leurs autres parties les mêmes formes s'écartent davantage l'une de l'autre 1 - cet effet s'appuie sur le paradoxe n° 9 continu / coupé : suite de deux parties qui ne se comportent pas de la même façon. La première fait du lien (avec sa voisine dans le cas 2, avec le reste de la forme dans le cas 1) et la seconde fait de la prise d'indépendance (par rapport à sa voisine ou avec le reste de la forme) 2 - l'appui fonctionne à l'aide du paradoxe lié / indépendant : il est lui-même en cause dans l'appui, ce qui implique que les parties de forme reliées (cas 2) ou les formes qui servent à faire du lien (cas 1) sont différentes de celles qui font de l'autonomie, et les premières n'ont pas un rôle plastique spécifique de lien des secondes, c'est-à-dire qu'elles n'interagissent pas les unes avec les autres 3 - il s'organise au moyen du paradoxe même / différent : les diverses parties ont des comportements différents, soit qu'elles se rapprochent, soit qu'elles s'éloignent 4 - il est noué par le paradoxe clef intérieur / extérieur : une entité générale comprend à son intérieur des entités qui prennent leur autonomie (cas 2) ou qui sont autonomes par leur comportement, soit de rapprochement, soit d'écartement (cas 1) Justification du caractère analytique de type identification dans le cas 1 : il n'y a pas de rapport visuel obligé entre les formes qui font un effet d'indépendance et les formes qui font un effet de lien Justification du caractère analytique de type lecture dans le cas 2 : il faut choisir de considérer que les formes sont liées du fait de leur grande proximité à certains endroits, ou bien choisir de considérer qu'elles sont indépendantes du fait des endroits où elles s'écartent les unes des autres |
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liste des effets propres à ce paradoxe |